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L’assurance emprunteur représente un coût important dans le cadre d’un prêt immobilier mais l’arrivée de la loi Lemoine permet de ne plus subir cette fatalité en rendant le changement de contrat beaucoup plus simple. Si vous voulez faire des économies immédiatement, changez d’assurance de prêt avec Magnolia.fr !
Adoptée en février 2022 et entrée en application le 1er juin dernier, la loi Lemoine autorise désormais la résiliation de l’assurance de prêt immobilier à tout moment, ce qui permet de substituer le contrat par une offre bien moins chère à garanties équivalentes.
Auparavant, il fallait s’y prendre durant les douze premiers mois suivant l’offre de prêt pour renoncer à l’assurance bancaire quand on le souhaitait (loi Hamon assurance), ou attendre la date d’anniversaire (loi Bourquin assurance emprunteur), ce qui rendait une issue favorable très aléatoire. La réglementation s’est révélée peu efficace pour favoriser la concurrence et rendre effectif le libre choix du contrat d’assurance : les bancassureurs détiennent 87% des cotisations annuelles, pour un coût pour l’emprunteur jusqu’à quatre fois plus élevé que les assurances proposées par les prestataires alternatifs. L’entrée en lice de la loi Lemoine ouvre de nouvelles portes aux emprunteurs.
Le changement d’assurance de prêt immobilier est strictement encadré mais facilité car la loi Lemoine fait sauter le verrou de la date butoir :
En cas de manquement à ses obligations, la banque s’expose à une amende administrative pouvant aller jusqu’à 15 000€.
La loi Lemoine est le coup de bowling du législateur dans le jeu de quilles des banques. Par cette mesure qui facilite le changement d’assurance, elle révolutionne le marché et redonne du pouvoir d’achat aux ménages emprunteurs.
 Souvent pressé par le temps pour décrocher son financement, ou/et par défaut de connaissance quant à ses droits, l’emprunteur souscrit dans l’immense majorité des cas à l’assurance du prêteur. La situation n’est pas figée grâce à la loi Lemoine. Les économies que vous n’avez pu faire lors de la souscription initiale vous sont accessibles dès le lendemain de la signature de l’offre de prêt !
Les chiffres ne mentent pas. Le gain s’élève à plusieurs centaines voire plus milliers d’euros sur la durée restante de votre prêt immobilier. Plus tôt vous engagez une démarche de changement, plus importantes seront les économies.
Voici deux profils d’emprunteurs qui ont pris leur destin en mains en mettant les offres en concurrence grâce à un comparateur d’assurance prêt immobilier :
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La crise sanitaire due au Covid-19 et ses confinements successifs ont modifié le rapport des Français à leur logement. La campagne est revenue en force au détriment des villes, surtout des métropoles qui ont révélé tous leurs inconvénients. Cette tendance a-t-elle perduré en 2022, année marquée par un contexte géopolitique et économique plein d’incertitudes ? La campagne : le rêve de tous En 2020, le Covid-19 a été le révélateur des défauts de la concentration en ville. De nombreux citadins, surtout ceux qui vivaient dans un cadre très urbain, ont sauté le pas et sont partis s’installer à la campagne. Si la ville concentre aussi des avantages que les zones rurales peuvent difficilement mettre en avant (emplois, loisirs, culture, accès aux soins, etc.), elle a été rattrapée par ses inconvénients à la faveur d’une crise sanitaire sans précédent. Une enquête Cadremploi publiée en août 2020 indiquait que plus de 8 cadres parisiens sur 10 aspiraient à quitter la capitale pour trouver un meilleur cadre de vie en campagne ou dans une petite ville. Vivre en ville ou à la campagne, le choix du bien-être a été vite tranché par ceux qui avaient les moyens d’acheter un bien avec jardin en périphérie des villes ou en zone rurale, tout en travaillant à distance. L’essor du télétravail a favorisé l’éloignement des grandes villes. Les taux d’emprunt en 2020 et en 2021 étaient à des niveaux historiquement bas, et l’offre de logements encore suffisante, avant l’assèchement des stocks dès la mi- 2021. D’aucuns ont fantasmé sur un exode urbain, vite dépassé par la réalité de l’emploi. Quitter Paris pour la campagne, il y a un gouffre du rêve à la réalité. On a vu toutefois émerger une pratique nouvelle, née des différents confinements : la résidence semi-principale, ou l’alternance ville et campagne pour les mieux lotis financièrement.  Autre tendance forte : vivre éloigné de son lieu de travail. Impossible de renoncer à l’attractivité et au dynamisme des métropoles comme Lyon, Nantes, Aix-Marseille, Toulouse, Rennes ou encore Bordeaux, toutes reliées par le TGV, mais aujourd’hui, l’hyper urbain, comme l’hypermarché et l’hyperconsommation, ne correspond plus aux attentes des Français. La maison, le nouveau graal immobilier Les chiffres des notaires offrent toujours le meilleur éclairage sur l’état du marché immobilier. La réforme sur le DPE (Diagnostic de Performance Énergétique) et l’interdiction annoncée en 2021 d’une partie des logements de la classe G dès janvier 2023 ont accéléré la décision de vendre chez les propriétaires de ce type de bien énergivore. En 2021, 41% des transactions de logements anciens avec étiquette F ou G, communément appelés passoires thermiques, ont été réalisées dans les zones rurales, et parmi ces ventes, 66% concernaient les maisons. Toutes étiquettes confondues, les zones rurales totalisaient 30% des ventes immobilières dans l’ancien. L’année 2022 devrait creuser le phénomène à cause de la pression réglementaire sur les propriétaires bailleurs.  En 2020 et 2021, les maisons dopent les prix de l’immobilier et qui dit maison, dit bien souvent une localisation en périphérie des grandes villes, dans les petites et moyennes communes, également à la campagne. L’année 2022 semble poursuivre cette tendance, puisqu’on s’oriente vers une baisse des prix dans les grandes villes en 2023. La hausse des prix des logements anciens s’est poursuivie au deuxième trimestre 2022, mais un début d’une inflexion est observé. Les prix des maisons ont augmenté de 8,5% sur un an au T2 2022, contre 4,5% pour les appartements. Depuis le début de l’année 2021, les prix des maisons en province progressent plus fortement que ceux des appartements (+9% sur un an au T2 2022, contre +7,6%). Les zones rurales les plus prisées pour l’immobilier En 2022, la campagne et le littoral continuent de faire rêver les citadins. Le journal Le Figaro a dressé un classement des zones rurales selon l’évolution des prix moyens des ventes de maisons de campagne entre 2018 et 2021. Le Calvados arrive en tête de ce palmarès, département doté d’un beau linéaire côtier qui jouit de sa proximité avec Paris. Les prix ont bondi de 32,5% en quatre ans. Autre département proche de la capitale (environ 230 km de Paris intra-muros), la Haute-Marne voit elle aussi ses prix flamber : +29,5%. En troisième position, le Finistère où l’inflation immobilière atteint 27,7%.  Quatre départements voient en revanche leurs prix baisser entre 2018 et 2021 : les Ardennes (-8%), la Haute-Corse (-5,88%), l’Ariège (-1,77%) et les Hautes-Alpes (-1,74%), quatre zones qui ont le moins profité de l’attrait pour le télétravail à cause de leur isolement et de leur éloignement des grandes métropoles. Revers de la médaille pour les zones prisées par les habitants des grandes villes, les locaux ne peuvent plus acheter. En bord de mer, les prix ont augmenté jusqu’à 50% pour les biens de charme ou de caractère, comme les maisons à colombages ou au toit de chaume de la côte normande, qui sont souvent acquises en tant que résidences secondaires. Les primo-accédants sont exclus de ces marchés qui nécessitent un apport personnel hors norme (plus de 25%). Un collectif s’est même formé en Bretagne (Dispa’ch) pour dénoncer l’augmentation folle des prix immobiliers et réclamer de réserver les achats de logements dans la région aux personnes qui y résident depuis au moins un an. La pénurie de biens en Bretagne crée une tension sur le marché comme jamais. Certaines communes de zones tendues proposent des alternatives dans les modes d’accès à la propriété, comme le Bail Réel Solidaire qui dissocie bâti du foncier et permet d’acheter jusqu’à 40% moins cher que le prix du marché.  Dans son ensemble, le marché immobilier 2022 s’est progressivement dégradé compte tenu des conditions d’emprunt. Les taux sont au plus haut depuis 7 ans, on assiste à une chute abyssale du nombre de prêts à cause des taux d’usure qui placent le crédit immobilier en sous-régime. Selon les notaires, 19% des projets immobiliers sont aujourd’hui compromis à cause de la problématique de l’usure, ce qui incite certains à attendre 2023 pour emprunter.
La campagne de vaccination contre la grippe saisonnière a débuté le 18 octobre 2022. Qui est prioritaire ? Où se faire vacciner ? Combien ça coûte ? Peut-on faire le vaccin anti-Covid en même temps ? Toutes les réponses avec Magnolia.fr Les personnes prioritaires au vaccin anti-grippe Entre le 18 octobre et le 15 novembre 2022, la vaccination contre la grippe saisonnière est réservée en priorité aux : personnes âgées de 65 ans et plus personnes de moins de 65 ans atteintes de pathologies chroniques femmes enceintes personnes obèses (IMC supérieur ou égal à 40) professionnels de santé en contact avec des patients à risques proches en contact avec des nourrissons de moins de 6 moins à risques et des personnes immunodéprimées aidants à domicile de personnes à risque de grippe grave. La campagne 2022-2023 cible également et pour la première fois les professionnels exposés aux virus influenza d’origine porcine ou aviaire. Au-delà du 15 novembre, tout le monde a accès à la vaccination antigrippale, et ce, jusqu’au 31 janvier 2023. Procédure pour se faire vacciner contre la grippe Si vous faites partie des personnes prioritaires, vous avez reçu ou recevrez une invitation et un bon de prise en charge de la part de votre caisse d’Assurance Maladie. Le vaccin vous est remis gratuitement en pharmacie sur présentation de ce bon et l’injection par le professionnel habilité de votre choix (médecin, infirmier, sage-femme et pharmacien d’officine), est prise en charge à 100% si vous souffrez d’une affection de longue durée (ALD) ou au titre de la maternité. Si vous n’avez pas reçu d’invitation par la Sécu et que vous êtes éligible à la vaccination gratuite, demandez à votre médecin traitant, à une sage-femme, un infirmier ou un pharmacien d’éditer un bon de prise en charge vierge qui permet de vous prescrire le vaccin. Si vous n’êtes pas prioritaire, vous pouvez acheter le vaccin anti-grippe en pharmacie sans prescription médicale et vous faire vacciner par le professionnel de votre choix habilité. Pour les mineurs, une ordonnance du médecin est nécessaire pour se procurer le vaccin. L’injection et le vaccin ne sont pas pris en charge par Ameli ; le remboursement du vaccin de la grippe peut être proposé par votre mutuelle santé dans le cadre du forfait prévention. À noter que la vaccination par les pharmaciens est autorisée depuis le 7 novembre 2022 pour tous les vaccins obligatoires et leurs rappels.  Vaccins grippe et Covid en même temps ? La Haute Autorité de Santé (HAS) précise que la co-administration des vaccins contre la grippe et contre el Covid-19 ne comporte aucun danger. Elle encourage même cette co-vaccination, et conseille de réaliser les deux injections le même jour, mais sur deux sites différents, c’est-à-dire un vaccin dans chaque bras. Pour les personnes qui ne pourraient bénéficier de leur dose de rappel contre le Covid et du vaccin anti-grippe au même moment, il y a aucun délai spécifique à respecter entre les deux vaccinations, une règle qui s’applique quelle que soit l’association entre le vaccin anti-Covid et tout autre vaccin du calendrier vaccinal. La co-vaccination contre la grippe et le Covid peut se faire dans un centre de vaccination Covid si vous vous présentez avec votre vaccin anti-grippe, ou en pharmacie si vous faites partie des personnes concernées par les recommandations. Pas de changement depuis l’automne 2020 du côté du prix du vaccin Covid et de son remboursement : le produit comme l’injection, en primo-vaccination comme en rappel, sont gratuits pour tous. Le 3 octobre dernier, le ministère de la Santé a lancé une campagne de vaccination anti-Covid de rappel avec les nouveaux vaccins bivalents, plus adaptés aux variants Omicron du virus Covid-19 à destination des personnes les plus fragiles.
Alors que la hausse des taux d’emprunt continue en novembre 2022, que les prix immobiliers ne mollissent pas ou peu et que l’usure est toujours un facteur de blocage, nombreux sont les ménages à espérer des conditions plus favorables en 2023. Est-ce la bonne attitude ? Hausse continue des taux d’emprunt C’est le marronnier de l’année 2022 en matière de crédit immobilier : les taux d’intérêt n’en finissent d’augmenter depuis février 2022 dans le sillage de la guerre en Ukraine, qui bouleverse les conditions monétaires et propulse l’inflation à son plus haut niveau depuis mars 1981 (6,2% sur un an fin octobre 2022). Les banques commerciales empruntent auprès de la Banque Centrale Européenne à des taux qui ont plus que doublé en quelques mois : entre fin juillet et octobre de cette année, le taux de refinancement est passé de 0% à 2%, et un nouvel ajustement de 50 points est programmé en décembre 2022. Comme facteur aggravant, il faut ajouter la hausse du rendement de l’OAT 10 ans. L’emprunt obligataire de l’État français sur 10 ans, indice sur lequel se basent les banques pour déterminer les taux d’emprunt fixes, affiche un taux au-delà de 2% depuis fin août 2022.  Fin 2021, les taux des crédits immobiliers se situaient autour de 1% (hors assurance emprunteur et coût des sûretés). En novembre, ils dépassent les 2%, et tutoient les 2,50% sur les durées les plus usitées (20 ans et plus). Les taux sont au plus haut depuis 7 ans selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA, organisme qui analyse chaque mois les nouveaux prêts immobiliers octroyés aux particuliers. Le graphique ci-dessous permet de mesurer l’évolution et la rapidité du mouvement :   source Observatoire Crédit Logement/CSA  Cette course en avant va-t-elle s’arrêter ? Le pouvoir d’achat immobilier est en chute libre en 2022 et les courtiers en crédit immobilier pronostiquent des taux à plus de 3% début 2023, avant une stabilité autour de 3,50% vers la mi-2023. Avec une capacité d’endettement de 1 000€ par mois, vous pouvez emprunter aujourd’hui 188 714€ sur 20 ans (taux assurance déléguée à 0,13%), contre 217 442€ en décembre 2021. Vous avez perdu 28 728€ de pouvoir d’achat immobilier ! Si le taux grimpe à 3,50%, le montant empruntable chute à 172 426€.  Pour relativiser, précisons qu’en Grande-Bretagne et aux USA, les ménages empruntent en moyenne à 7%. Les Français sont et resteront plutôt bien lotis, en dépit des perspectives de hausse en 2023.  Augmentation des prix immobiliers en 2022 La hausse des taux d’emprunt se télescope avec celle des prix immobiliers. À l’échelle nationale, les valeurs ont gagné 4,6% dans l’ancien depuis janvier 2022. La progression est plus forte dans les zones rurales (+7,2%), alors que les métropoles affichent une hausse moyenne de 4,7%.  Même si on note une décélération, les prix continuent d’augmenter, sauf à Paris où ils perdent 0,4%. On s’oriente probablement vers une baisse des prix dans les grandes villes en 2023 en lien avec les contraintes réglementaires qui pèsent sur les propriétaires bailleurs. Ceux qui n’ont pas les moyens financiers de rénover leur bien mal classé sur l’échelle du DPE (Diagnostic de Performance Énergétique) n’auront plus le droit de louer à partir de janvier 2023, d’où cet afflux de passoires thermiques sur le marché. Mieux vaut se débarrasser au plus vite d’un logement bientôt inlouable, quitte à réduire ses prétentions. Crédit immobilier ou le couperet du taux d’usure La problématique du crédit immobilier ne repose pas sur la hausse des taux, qui restent à des niveaux propices à l’achat, car très nettement inférieurs à l’inflation, mais sur les taux d’usure 2022, incapables de s’ajuster à l’évolution des taux d’emprunt en temps réel. Les taux d’usure sont calculés à un rythme trimestriel sur la base des TAEG moyens octroyés, alors que les taux débiteurs bougent constamment ces derniers mois. Ce décalage de trois mois voire plus prend en tenailles les candidats à l’emprunt par le redoutable effet ciseau.  Les banques ne prêtent plus, et ce n’est pas une intox ! Malgré la hausse du taux d’usure au 1er octobre 2022, une demande de crédit immobilier sur deux est actuellement refusée. On parle de dossiers parfaitement finançables, dont le taux d’endettement n’excède pas les 35% selon la norme en vigueur depuis deux ans. Il est impossible d’intégrer dans le TAEG (Taux Annuel Effectif Global) tous les frais inhérents au crédit avec un taux débiteur à 2,50%, tout en restant sous le taux d’usure à 3,05% (sur 20 ans et plus). Seuls les profils premium accèdent au crédit immobilier, ceux qui peuvent emprunter sur les durées les plus courtes, mettre sur la table un apport personnel conséquent (au moins 20% du montant de l’opération), qui bénéficient d’une belle épargne de précaution (au moins 6 mensualités) et respectent haut la main tous les critères de solvabilité (emploi stable et bien rémunéré, comptes dans le vert). Ceux-là ont la chance de concrétiser leur projet immobilier, et même de profiter des bénéfices de la loi Lemoine 2022, qui leur permet de changer d’assurance emprunteur dans la foulée pour réduire le coût de leur crédit.  Si votre achat immobilier est une nécessité, jouez contre la montre ! Les taux augmentent vite, ne tardez pas pour faire éditer une offre de prêt, indispensable pour signer le compromis de vente, au risque de voir votre capacité d’endettement s’amenuiser encore plus. On peut toutefois raisonnablement parier sur une amélioration de la situation au printemps 2023, avec la stabilisation des taux, et peut-être, une réforme des taux d’usure en 2023, comme l’appellent de leurs vœux tous les professionnels de l’immobilier, à commencer par les courtiers, aux premières loges du désarroi des ménages emprunteurs.

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