Erreur d'authentification
Votre compte a été clôturé.
Vous êtes authentifié. Nous chargeons votre espace membre.
Pour des raisons de sécurité et pour continuer à accéder à votre espace membre, nous vous remercions de bien vouloir valider votre compte membre en cliquant sur le lien suivant : Je valide mon compte membre
Vous allez recevoir un email à l’adresse indiquée lorsque vous aviez créé votre compte.
Cliquez ensuite sur le lien présent dans le mail. Vous pourrez alors de nouveau accéder à votre compte membre.
Si vous n’avez pas reçu cet email, contactez-nous
Un email de confirmation vient de vous être adressé.
8 caractères minimum
1 majuscule
1 minuscule
1 chiffre
1 caractère spécial
Différent de votre pseudo
Les deux mots de passe sont identiques
Bénéficiez gratuitement de fonctionnalités et de services additionnels. Devenez membre
Nouveau sur Boursorama ? Devenez membre
Le taux d'usure pris en compte par les banques pour accorder un crédit va être rehaussé. Photo d'illustration. (moerschy / Pixabay)
Le taux d'usure pris en compte par les banques pour accorder un crédit va être rehaussé. Photo d'illustration. (moerschy / Pixabay)
La décision était très attendue par les professionnels du courtage. Le taux d’usure va être relevé de 0,15 à 0,20 % en moyenne ce vendredi 1er juillet selon une information du Parisien . Le taux maximum auquel une banque peut prêter à un particulier va ainsi être relevé « de 15 à 20 points de base environ, selon la durée » , a confirmé la Banque de France au quotidien.
Dans le détail, le taux va atteindre 2,60 % pour les prêts courant sur 20 ans et plus. Pour les crédits de 10 à 20 ans, le plafond sera fixé à 2,58 % ou 2,63 % alors qu’il atteignait 2,43 %. Ce taux d’usure est recalculé chaque trimestre en fonction des taux d’intérêt constatés lors des trois derniers mois écoulés. Pour le prétendant au prêt, il ne faut pas qu’en ajoutant l’assurance emprunteur, les frais de garantie (caution, hypothèque) et de dossier, et le taux que lui accorde la banque, l’ensemble dépasse le taux d’usure. Sans quoi, la banque est obligée de refuser le prêt.
Avec un taux d’usure rabaissé et des taux nominaux en hausse (passant de 1,06 % en décembre 2021 contre 1,38 % en mai), les plus modestes subissaient un « effet ciseaux », les empêchant d’emprunter. Les courtiers avaient notamment demandé au ministre de l’Economie Bruno Le Maire que soit changé le mode de calcul et que le taux soit relevé. Mais pour la Banque de France, il n’y a pas d’érosion du crédit. « Nous ne relevons cependant pas à ce stade d’effet d’éviction (rejets de crédits) mesurable associé à ces taux plafond » , précise l’institution. De leurs côtés, les courtiers sont déçus.
« À partir du 1er juillet, des banques prévoient d’augmenter leurs taux d’intérêt de 0,30 % » prédit Olivier Lendrevie, président du courtier Cafpi. Toutefois, personne ne semble d’accord sur les chiffres et les conséquences d’un taux bas. A l’UFC – Que Choisir, l’association constate très peu de remontées concernant un « refus de crédit en raison du taux d’usure » . « Nous sommes très étonnés par le discours tenu par les professionnels du marché » , précise Matthieu Robin, chargé de mission de l’association.
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Les actions repartent de l'avant, reflux des craintes sur la Fed
Teleperformance, plus forte hausse du SBF 120 à la clôture du vendredi 18 novembre 2022
Alstom, plus forte baisse du CAC 40 à la clôture du vendredi 18 novembre 2022
Assurance emprunteur : dans quels cas êtes-vous protégé ?
Les logements neufs ne trouvent pas preneurs, certains promoteurs proposent des ristournes aux acheteurs
Rénovation énergétique : des aides boostées pour 2023