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(Crédits photo: © Elnur - stock.adobe.com)

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Par MoneyVox,
Dans une récente alerte, la Banque de France prévient le grand public que des escrocs utilisent son nom pour tenter d’arnaquer des victimes. Le mode opératoire est rodé afin d’inciter les personnes contactées à verser de l’argent aux fraudeurs pour un crédit à la consommation qu’ils n’obtiendront finalement jamais. Toutes les explications sur cette arnaque aux faux courtiers.
Les arnaques aux faux courtiers sont de plus en plus fréquentes. L’opération débute par un premier contact avec la future victime. L’escroc se présente comme un courtier spécialisé dans le crédit à la consommation, aussi appelé prêt personnel . Il fait miroiter à sa victime un taux alléchant, un octroi rapide, des conditions de financement allégées, ou toute autre facilité incitant à conclure une transaction avec lui.
L’arnaque est parfois encore plus poussée, et une seconde étape peut s’ajouter. Une fois ce premier contact effectué, un second escroc peut être amené à appeler la future victime. Cette fois-ci, il se fait passer pour un agent de la Banque de France, et rassure son interlocuteur quant à l’offre faite par son complice. L’objectif ? Crédibiliser leur démarche et ainsi mettre toutes les chances de leur côté afin de récupérer de l’argent, sous couvert de frais de dossier ou de tout autre frais à payer avant l’accord de crédit définitif.
Lire aussi : Garantie : ces grandes enseignes épinglées par la Répression des fraudes
Au sujet de l’arnaque aux faux courtiers, la Banque de France explique : “Le fait qu’une personne, se présentant comme un agent de la Banque de France, intervienne dans une telle opération de démarchage commercial doit constituer une alerte pour le consommateur : il s’agit d’une arnaque”. Mais il existe bien d’autres types de fraudes, qu’elles soient réalisées par téléphone, par mail ou en ligne. Alors, comment se prémunir de toutes ?
Pour éviter de se retrouver pris au piège, certains conseils sont à appliquer constamment. En premier lieu, il convient d’éviter de fournir des données personnelles en ligne, notamment sur les réseaux sociaux. Evitez de divulguer votre numéro de téléphone, votre e-mail, votre adresse postale, votre date et votre lieu de naissance, etc. Grâce à toutes ces informations, les escrocs peuvent personnaliser leur approche et rendre leur démarche mieux ciblée, donc plus efficace.
En second lieu, il convient de ne pas donner d’information ou d’argent à la suite d’une sollicitation dont vous n’êtes pas à l’origine. Il est impératif de prendre le temps de la réflexion, et surtout celui de pouvoir vérifier la véracité de ce qui vous a été annoncé. Cela doit être le cas quelle que soit la qualité de l’interlocuteur : les escrocs sont nombreux à se faire passer pour des entreprises ou des organismes reconnus pour mettre en confiance leurs victimes, par exemple la CAF, une société de livraison, etc. Enfin, les liens contenus dans les mails ou dans les SMS ne doivent jamais être ouverts directement.
La première chose à faire lorsque l’on a donné des informations ou de l’argent à un escroc est de cesser tout échange avec lui. La Banque de France conseille ensuite de faire l’inventaire de tout ce qui a été dit, écrit ou signé. Ces éléments pourront être utiles par la suite, notamment pour signaler la fraude, même si aucun préjudice n’a été subi, sur le site internet-signalement.gouv.fr.
En cas de préjudice, il convient de se rendre à la gendarmerie ou à la police afin de déposer une plainte, et de se rapprocher de sa banque afin de tenter de récupérer l’argent indûment versé.
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