Pour soutenir votre journalisme local, abonnez-vous !
Pourquoi voyez-vous ce message ?
Vous avez choisi de refuser le dépôt de cookies, vous pouvez à tout moment modifier votre choix, ici.
Le contenu de ce site est le fruit du travail de journalistes qui vous apportent chaque jour une information locale de qualité, fiable, complète, et des services en ligne innovants. Ce travail s’appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l’abonnement.
Déjà abonné ?
Edition du Soir Isère
dim. 01/01/2023
Si vous voyez ce champ, ne le remplissez pas
Le Dauphiné Libéré, en tant que responsable de traitement, recueille dans ce formulaire des informations qui sont enregistrées dans un fichier informatisé par son Service Relations Clients, la finalité étant d’assurer la création et la gestion de votre compte, ainsi que des abonnements et autres services souscrits. Si vous y avez consenti, ces données peuvent également être utilisées pour l’envoi de newsletters et/ou d’offres promotionnelles par Le Dauphiné Libéré, les sociétés qui lui sont affiliées et/ou ses partenaires commerciaux. Vous pouvez exercer en permanence vos droits d’accès, rectification, effacement, limitation, opposition, retirer votre consentement et/ou pour toute question relative au traitement de vos données à caractère personnel en contactant LDLABOWEB@ledauphine.com ou consulter les liens suivants : Protection des données, CGU du site et Contact. Le Délégué à la Protection des Données personnelles (dpo@ebra.fr) est en copie de toute demande relative à vos informations personnelles.
L’édition du soir en numérique dès 21h30 Le journal en numérique dès 5h Accédez à tous les contenus en illimité
Edition du Soir Isère
dim. 01/01/2023
Retrouvez tous nos contenus et notre journal en numérique
Téléchargez l’application
Le mystère des piqûres sauvages en soirée
Piqûres sauvages en soirée : « On a senti la brûlure immédiatement » témoignent deux amies
Piqûres à la Fête de la musique d’Annecy : ce que l’on sait
Annecy : suspicion de piqûres sauvages pendant la Fête de la musique
Piqûres à Thonon : « Il y avait bien des résidus de GHB », selon la mère d’une des victimes
Piqûres : avec une nouvelle plainte à Gap, trois dossiers en cours
Le phénomène national a touché Thonon-les-Bains le week-end dernier, avec deux plaintes déposées par des jeunes femmes expliquant avoir été piquées en boîte de nuit. Il n’aura pas épargné Annecy bien longtemps. Mardi 21 juin au soir, pendant la fête de la musique, une jeune femme a été prise en charge par les services de la Croix Rouge, après être tombée au sol, sous l’effet de la panique.
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment en consultant notre politique de protection des données.
Gérer mes choix
Accueillie sous la tente du Pâquier, cette dernière a expliqué aux secouristes avoir été piquée à la cuisse par un homme passé derrière elle alors qu’elle assistait à un concert, selon nos confrères de France Bleu Pays de Savoie.
« Nous avons déjà eu des cas similaires lors d’événements ailleurs en France, ce n’est pas notre rôle de s’exprimer sur ce sujet », a commenté un représentant de la Croix Rouge.
Plusieurs cas de piqûres sauvages avec une seringue ont été signalés au cours de la soirée du mardi 21 juin à Annecy, a confirmé le préfet de la Haute-Savoie Alain Espinasse. Le représentant de l’État est resté prudent, dans l’attente du retour des policiers en charge de recenser les plaintes. Au moins une plainte aurait été déposée parmi les cas signalés, tous en centre-ville, sans permettre pour autant de cibler une scène en particulier.
Au cours de la soirée, des appels à la vigilance sont apparus sur les réseaux sociaux. « J’ai vu un homme en casquette noir délavée blanche, chemise blanche et sac à dos noir avec une seringue à la main. Vérifiez leurs mains et attention aux hommes seuls, Monsieur tout le monde », a posté une internaute. Un message qui traduit la prégnance du phénomène mais dont le fondement inconnu est à prendre avec précaution, pour ne pas alimenter de psychose.
Au sommaire du dossier

source

Catégorisé: