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Pour limiter les mauvaises surprises, il est recommandé de s'intéresser aux nuisances sonores d'un bien lors de sa visite. Illustration. (Pixabay / Harry Strauss)
S’il est souvent négligé à l’occasion de la visite d’un bien, que ce soit pour un achat ou de la location, le bruit peut rapidement se révéler être un véritable problème au quotidien. Il est donc vivement conseillé de s’attarder sur ce point pour éviter les mauvaises surprises, comme le rapporte Capital jeudi 27 octobre 2022.
Et plusieurs solutions existent. L’une des possibilités est de faire réaliser par un professionnel un diagnostic acoustique global du bien. Cela va permettre d’évaluer à la fois le volume et la perception des différents bruits, qu’il s’agisse des bruits extérieurs au logement ou des bruits intérieurs.
Au sein du dossier de diagnostic technique (DDT), il y a également l’état des nuisances sonores et aériennes (ENSA) qui est obligatoire depuis le 1er juin 2020. Ce diagnostic ne concerne cependant que les logements situés à proximité de certains aéroports et aérodromes et ne référence donc que ces nuisances.
L’ancienneté du bien est aussi un bon indicateur concernant les éventuelles nuisances sonores. « Quand on achète un logement neuf, on limite déjà les risques par rapport au bruit, car la réglementation pour la construction de bâtiments neufs est très stricte, et va encore se renforcer » , explique Antoine Desbarrières, directeur de Qualitel, une association proposant des prestations de certification et d’information sur la qualité du logement en France.
Il est également possible d’effectuer des travaux pour améliorer la performance acoustique d’un bien, mais cela coûte souvent cher. D’où l’intérêt de se renseigner en amont de l’achat. Enfin, dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants, des cartes de bruit stratégiques (CBS) sont accessibles. Elles permettent d’en savoir plus sur les impacts sonores liés aux infrastructures routières, autoroutières, ferroviaires et aériennes.
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