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Il ne fait pas bon de vouloir devenir propriétaire ces temps-ci. Car tenter de contracter un prêt immobilier relève d’un parcours de combattant. Les taux d’intérêt remontent en flèche et les banques sont de plus en plus frileuses à accorder des crédits. Ainsi, sur les mois d’août et septembre, le nombre de prêts immobiliers signés a reculé de près de 35 % (34,7 % exactement) sur un an, selon les derniers chiffres de l’Observatoire crédit logement CSA, publiés mardi 18 octobre, et relayés par La Tribune . À noter que ce recul est encore plus marqué qu’en 2020 lors du premier confinement.
Aujourd’hui, si les crédits immobiliers chutent autant, ce n’est plus en raison du coronavirus, mais bien en lien avec la conjoncture économique qui provoque, selon l’Observatoire crédit logement CSA, une « dégradation de la profitabilité des nouveaux crédits ».
Crédits : des taux encore bon marchéEn effet, une banque n’a pas pour objectif de faire signer des prêts immobiliers à tout prix et de mettre en danger la santé financière de ses clients. Le but est tout de même qu’ils soient capables de les rembourser.
Le taux d’usure, qui est un taux maximal imposé par la Banque de France aux organismes prêteurs, est réévalué tous les trimestres. Et sur les trois derniers mois, il a empêché les banques d’augmenter leurs taux d’intérêt face à l’inflation galopante. Résultat, un prêt
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