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Les prix des maisons ont poursuivi leur hausse en septembre, nonobstant la fin de la politique des taux d’intérêt négatifs en Suisse. Les loyers et les prix des appartements en copropriété sont quant à eux restés quasi-stables.
“La forte demande d’espace habitable et l’offre limitée stimulent le marché immobilier suisse, malgré la fin de la politique des taux d’intérêts négatifs”, fait remarquer mardi le Swiss Real Estate Offer Index, relevé conjointement par ImmoScout24, SMG Swiss Marketplace Group et Cifi.
Durant le mois sous revue, les prix des maisons ont pris 0,8%. Le montant à payer pour acquérir un appartement a grappillé 0,2% et les loyers ont progressé de 0,3% en moyenne.
Pour les loyers, l’évolution des prix n’est toutefois pas la même dans toutes les régions: tandis que les prix affichés au Tessin (+3,1%) et dans le Mittelland (+2,1%) ont nettement augmenté, ils restent quasiment inchangés dans la région lémanique (+0,3%) notamment. Les loyers proposés en Suisse centrale (-0,7%) et dans le Grand Zurich (-0,8%) accusent quant à eux contractions.
Immoscout 24 anticipe cependant une augmentation des loyers dans les mois à venir, en raison de la forte immigration.
“D’après le décompte actuel des logements vacants, au 1er juin 2022, jour du recensement officiel, près de 60’000 logements étaient vides en Suisse, soit 10’000 de moins que l’an dernier. Le taux de logements vacants s’élève à 1,3% du parc immobilier”, indique Martin Waeber, directeur de Real Estate de SMG Swiss Marketplace Group, cité dans le communiqué, avant d’ajouter que “nous connaissons donc une pénurie de logements, même si la situation varie là encore selon les régions”.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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Le géant de l’inspection et de la certification SGS, qui a récemment annoncé une importante restructuration, veut essentiellement supprimer des postes dans l’activité opérationnelle et l’administration en Europe.
Plus de la moitié des économies visées doivent être réalisées dans la région englobant l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique et essentiellement sur le Vieux continent, a indiqué le directeur financier Dominik de Daniel vendredi lors de la journée des investisseurs. Un quart des réductions de coûts toucheront les Amériques et le reste l’Asie.
Parmi les divisions concernées, ce sont essentiellement les unités Industries & Environment et Natural Resources qui seront impactées. La direction cible les activités “n’ayant pas atteint la performance souhaitée”, a ajouté M. de Daniel.
Ce dernier a aussi apporté des précisions sur le dividende. La rémunération des actionnaires doit pour l’heure être maintenue à 80 francs. Quand le taux de redistribution atteindra 75% – après 125% en 2020 et 98% en 2021 – le groupe disposera de suffisamment de marge de manoeuvre pour éventuellement relever le dividende, a détaillé le responsable des finances.
Mercredi, le groupe genevois avait annoncé que, face à la pression sur les marges résultant de l’inflation et de la guerre en Ukraine, l’entreprise allait lancer un vaste plan de restructuration avec à la clé la suppression de 1500 postes sur les 96’000 répertoriés au niveau mondial.
Le programme d’économies doit réduire la base de coûts de plus de 50 millions de francs à partir de 2023, ce qui entraînera des charges non récurrentes devisées à 35 millions, ainsi que des initiatives tarifaires et des programmes d’efficience.
SGS avait par ailleurs indiqué s’attendre à boucler l’année sur un chiffre d’affaires situé dans le haut de la fourchette de croissance à un chiffre visée. Toutefois, la performance opérationnelle hors effets de change devrait se situer à un niveau similaire à celui de l’année précédente, alors qu’elle était prévue jusqu’ici en légère hausse.
Ces annonces avaient un effet positif sur l’action SGS, qui se bonifiait de 2% à 2302 francs, dans un indice SLI en hausse de 0,89% à peu après 14h.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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Le gestionnaire de fortune genevois Quaero Capital a pris le contrôle de Socamex, la filiale de gestion des eaux du spécialiste madrilène de traitement et de valorisation des déchets ménagers Urbaser. Le groupe basé à Meyrin s’est porté acquéreur de l’intégralité du capital-actions de l’entreprise espagnole.
“Cette opération est financée par notre fonds Quaero European Infrastructure Fund II, un fonds de type private equity infrastructure d’une taille de 600 millions d’euros”, a précisé vendredi le directeur des investissements (CIO) Antoine Turrettini.
Il n’a cependant pas souhaité s’exprimer sur les contours de la transaction, dont la finalisation remonte au mois d’août. Selon le portail d’informations financières elEconomista, sa valorisation initiale était estimée à 200 millions d’euros, dette incluse.
Quaero Capital a pris pied en Espagne en 2017 en rachetant un hôpital, avant de prendre en 2019 une participation minoritaire dans le gestionnaire des eaux Tecvasa – rebaptisé depuis Aqlara – étoffée progressivement jusqu’à en prendre le contrôle. Au début de cette année, elle a indiqué détenir 3% du capital du laboratoire catalan Reig Jofre.
“Nous avons quatre actifs en Espagne à travers nos deux fonds d’investissement d’infrastructure non cotées”, représentant 875 millions d’actifs sous gestion, a précisé le CIO du groupe genevois. Socamex emploie plus de 250 personnes et compte plus de 200 stations d’épuration couvrant une population de 6 millions de personnes, ainsi qu’une flotte de 28 camions de nettoyage industriel.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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L’industrie a vu tant sa production que ses revenus croître au troisième trimestre en Suisse. Le secteur de la construction a en revanche subi des baisses.
De juillet à septembre, la production dans le secteur secondaire a augmenté de 3,4% en comparaison annuelle. Les chiffres d’affaires se sont envolés de 7,6%, une poussée qui s’explique pour plus de moitié par des hausses de prix, a précisé vendredi l’Office fédéral de la statistique (OFS). Cette dynamique se poursuit depuis le premier trimestre 2021.
Dans l’industrie, la production a progressé en juillet (+0,1%), en août (+5,2%) et surtout en septembre, grimpant de 11,4%, pour croître de 5,2% au cours des trois mois.
Au contraire, dans la construction, la production a reculé de 6,5% au troisième trimestre. Cet indicateur a baissé dans les travaux de construction spécialisés (-5,7%), dans le bâtiment (-5,9%) mais aussi le génie civil (-13,7%).
Les chiffres d’affaires ont augmenté dans l’industrie en juillet (+4,8%), de même qu’en août (+9,6%) et qu’en septembre (+14,8%), soit un bond de 9,5% sur l’ensemble du partiel.
Pour l’ensemble de la construction, les revenus ont légèrement diminué de 0,2% sur un an. Dans le détail, ils ont augmenté de 0,4% dans le bâtiment et de 0,6% dans les travaux de construction spécialisés, tandis qu’ils ont fondu de 9,5% dans le génie civil.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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Patronat et syndicat allemands se sont accordés sur des hausses de salaires de 8,5% pour plus de 3,9 millions d’employés des industries de l’automobile, de l’électronique et des machines. L’accord écarte le risque de grèves dans un contexte d’inflation record.
L’accord-pilote, conclu dans le Bade-Wurtemberg et qui devrait valoir dans les autres régions allemandes, prévoit que cette hausse interviendra en deux étapes en 2023 puis en 2024, a indiqué le puissant syndicat IG Metall dans un communiqué, après plusieurs semaines de négociations houleuses et de nombreux débrayages dans tout le pays. “Les salariés auront bientôt nettement plus d’argent en poche – et ce de manière durable”, a salué Jörg Hofmann, président d’IG Metall cité dans le communiqué. Une “prime inflation” de 3000 euros a également été obtenue.
Le syndicat réclamait initialement une augmentation de 8% de salaire sur douze mois, sa plus forte revendication depuis 2008, pour ce secteur stratégique de la première économie européenne. Il comprend les milliers d’entreprises de l’automobile, de l’électronique ou encore des machine-outils et les négociations dans l’électrométallurgie sont pour cette raison particulièrement scrutées.
Les salariés avaient fait monter la pression en Allemagne: d’abord par des manifestations depuis plusieurs semaines, puis depuis le 29 octobre par des “grèves d’avertissement”, des débrayages coordonnés à durée limitée qui accompagnent souvent les négociations salariales dans ce pays. Si patronat et syndicat n’étaient pas parvenus à s’entendre, des grèves plus dures de 24 heures menaçaient le pays.
“Nous n’hésiterons pas à faire grève, les carnets de commandes sont bien remplis, il n’y a pas de raison de ne pas obtenir gain de cause”, avait prévenu des représentants syndicaux à l’ouverture des négociations en septembre.
Les représentants du patronat, qui jugeaient initialement irréaliste le niveau de hausse de salaire, ont estimé que le risque était trop grand : “Un conflit social aurait causé des dommages encore plus importants”, a estimé l’organisation patronale Gesamtmetall dans un communiqué. “C’est au final un accord coûteux mais nous pouvons maintenant nous concentrer sur notre travail et faire notre part pour surmonter la récession annoncée le plus rapidement possible”, ajoute l’organisation.
Son président Stefan Wolf avait mis en garde sur la charge que représentaient les revendications syndicales au moment où de nombreuses industries ploient déjà sous le coût de l’énergie. “Certaines luttent pour leur survie”, avait-il prévenu. L’accord prévoit une hausse de salaire de 5,2% en juin 2023, suivie par une hausse de 3,3% au 1er mai 2024.
Cet accord pourrait envoyer un signal aux autres branches qui négocient ou vont entamer des négociation sur les salaires, comme le secteur de la fonction publique. Pour les quelque 2,5 millions d’employés de ce secteur, le syndicat Verdi demande 10,5% de hausse. En Allemagne, l’évolution des salaires est négociée branche par branche entre syndicats et employeurs.
Ce bras de fer s’est déroulé alors que l’inflation a dépassé les 10% en octobre dans la première économie européenne –du jamais vu depuis le début des années 1950–, en raison de la cherté de l’énergie provoquée par la guerre russe en Ukraine. Après une hausse surprise de la croissance du Produit intérieur brut (PIB) de 0,3% au troisième trimestre, l’Allemagne s’attend à de prochains mois difficiles: Berlin table sur une baisse du PIB de 0,4% et une inflation de 7% en 2023, selon les dernières prévisions du gouvernement.
Comme dans d’autres pays d’Europe, la baisse du pouvoir d’achat engendre en Allemagne mécontentement et tensions sociales qui se traduisent par des manifestations contre la vie chère. Le gouvernement d’Olaf Scholz a débloqué une enveloppe colossale de plus de 200 milliards d’euros pour soulager ménages et entreprises, comprenant plusieurs volets notamment des versements d’aides ciblant les plus vulnérables et la mise en place au début de l’année prochaine de subventions plafonnant les prix de l’énergie jusqu’au printemps 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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Le ministre des Finances britannique Jeremy Hunt a dévoilé jeudi un budget de rigueur pour redresser les finances du Royaume-Uni, avec 55 milliards de livres d’économies et de hausses d’impôts, bien que le pays soit déjà entré en récession.
“C’est un plan de stabilité équilibré”, “j’ai essayé d’être juste en demandant à ceux qui ont plus de contribuer plus”, a fait valoir M. Hunt, au ton sobre, devant le Parlement.
Il a dévoilé “trois priorités: la stabilité, la croissance et les services publics”. La stabilité, après les turbulences financières du précédent gouvernement, vient en haut de la liste, et avec elle la lutte contre l’inflation, qui dépasse 11% dans le pays et “qui touche le plus les plus pauvres”.
Le nouveau ministre des Finances avait la lourde tâche de rassurer des marchés échaudés par les annonces budgétaires choc non financées de la précédente Première ministre Liz Truss, qui avaient fait plonger la livre sterling à son plus bas historique et s’envoler les coûts d’emprunt pour le pays comme pour les Britanniques.
La Banque d’Angleterre avait dû intervenir pour protéger la stabilité financière du pays menacée, et l’ex-Chancelier Kwasi Kwarteng avait été limogé après à peine cinq semaines en poste, remplacé par Jeremy Hunt en pompier budgétaire.
En énumérant un ensemble de mesures de “consolidation” budgétaire de 55 milliards de livres au total, il a mentionné l’abaissement du seuil le plus élevé de l’impôt sur le revenu, et un relèvement de la taxe sur les revenus exceptionnels des géants pétroliers et énergétiques.
Un peu moins de la moitié de cette somme viendra des hausses d’impôts, le reste d’une réduction des dépenses, sauf dans la Santé et l’Education : “la politique budgétaire va être resserrée nettement l’an prochain, amplifiant une récession déjà en cours”, estiment les économistes de Pantheon Macro.
La potion est amère. Le pays est déjà entré en récession et le produit intérieur brut devrait se contracter encore d’1,4% l’an prochain, prévoit l’OBR, l’organisme de prévision budgétaire public.
La livre sterling chutait lourdement face au dollar après l’intervention de M. Hunt.
Le contexte rappelle aux Britanniques les heures sombres de la crise financière de 2008 et 2009, qui avait été suivie d’une cure d’austérité aux conséquences durables sur les services publics, et particulièrement le NHS, le service public gratuit de santé chroniquement sous-financé.
M. Hunt a insisté sur le fait que la lutte contre l’inflation prend le pas sur la croissance qui selon lui mange les revenus des Britanniques encore plus que les hausses d’impôts.
Il a attribué le panorama morose du pays à des facteurs mondiaux: la pandémie de covid et la crise énergétique générée par la Russie et son invasion de l’Ukraine.
Outre le Covid et la guerre en Ukraine, le Royaume-Uni souffre de l’impact du Brexit qui plombe le commerce avec son grand voisin européen et entrave l’embauche de travailleurs du continent, ce qui contribue à l’inflation et la perte de productivité.
Le ministre a pris grand soin de s’appuyer sur des chiffres de l’OBR, dont l’absence lors du désastreux “mini-budget” du gouvernement précédent avait contribué à causer une panique sur les marchés. L’institut anticipe aussi une augmentation du taux de chômage, actuellement à 3,6%, jusqu’à 4,9% en 2024.
Outre la hausse de la taxe exceptionnelle sur les profits des géants énergétiques, M. Hunt a aussi annoncé “une nouvelle taxe temporaire de 45% sur les producteurs d’électricité”.
Une réduction des seuils d’imposition des taxes des dividendes et sur les plus-values viendra aussi augmenter les recettes fiscales, et la baisse de taxe consentie sur les transactions immobilières sera limitée dans le temps.
La Santé et de l’Education tirent leur épingle du jeu et voient leurs budgets augmenter, mais les autres ministères verront la hausse de leurs dépenses ralentir au cours des des cinq prochaines années pour générer 30 milliards de livres d’économies.
Rares bonnes nouvelles: les retraites vont être revalorisées au rythme de l’inflation, tout comme certaines allocations, et le salaire minimal va augmenter.
La responsable travailliste de l’opposition Rachel Reeves a déploré une “pagaille” découlant “d’un chaos de 12 semaines” lors de l’éphémère mandat de Liz Truss, mais aussi de “douze ans d’échec économique conservateur”.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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