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Les prix du Gaz en Europe jouent au yoyo -iStock-FedotovAnatoly
Alors que la reprise économique mondiale succédait, en 2021, à la récession liée à la pandémie de Covid-19, la très forte demande énergétique se heurtait à des difficultés de remise en route des circuits d’approvisionnement, générant un début de pénurie mondiale. Ainsi, en dépit d’un début d’année 2022 marqué par des températures plutôt clémentes, l’Europe était confrontée à des hausses de prix des matières premières sur l’ensemble des énergies fossiles (gaz, charbon et pétrole). Et les choses ne se sont pas arrêtées là… Fin février, le conflit russo-ukrainien engendrait de vives inquiétudes concernant les livraisons à l’Europe des hydrocarbures en provenance de Russie, et, dès le mois de mars, le gaz enregistrait une flambée sans précédent de son cours mondial.
La compagnie Russe Gazprom approvisionne de nombreux pays d’Europe de l’Ouest via Nord Stream 1, deux gazoducs d’une capacité de transport de 59,2 milliards de mètres cubes de gaz par an, reliant la Russie à l’Allemagne via la mer Baltique. Au motif de travaux de maintenance, le géant russe, depuis cet été, ouvre et referme le robinet de ses gazoducs, rendant incertains les flux acheminés vers l’Europe. Ces arrêts – pourtant qualifiés de « simples formalités techniques » – se reconduisent et perdurent au point qu’ils commencent à s’apparenter à un bras de fer entre Moscou et les pays occidentaux….
Malgré les craintes de pénurie et les menaces de coupures du robinet Russe, le marché du gaz enregistre depuis quelques jours, des baisses de tarifs successives qui réduisent la tension. Les raisons ? Une dépendance au gaz Russe de l’UE qui s’est amoindrie (9% des approvisionnements), les pays membres s’étant, dès le printemps, dirigés vers d’autres sources (notamment la Norvège) et ayant constitué des stocks supérieurs à la moyenne (d’où la flambée des prix du printemps dernier). Un phénomène qui, selon l’analyse de Goldman Sachs, devrait permettre de passer « tout l’hiver si ce dernier n’est pas trop extrême en termes de météo » ; ajoutant que dans ce contexte, les prix pourraient même « baisser de plus de moitié » d’ici la fin de l’année.
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