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(Crédits photo : Rawpixel -  )

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Paris et Londres, même combat: retenir ses habitants. Ils sont de plus en plus nombreux à vouloir mettre les voiles dans les cinq prochaines années. En 2019, 36% des Londoniens envisageaient de déménager, selon un sondage Ipsos pour l’Université de Paris et le King’s College de Londres. Aujourd’hui, ils sont 44%, dont plus de la moitié (23%) sont sûrs ou quasi sûrs de vouloir franchir le pas. Idem à Paris où le choix est (presque) fait pour 26% d’entre eux.
Londoniens et Parisiens sont d’accord sur les raisons qui les poussent à partir: le coût de la vie trop élevé et la qualité de la vie pas assez satisfaisante. Mais ils les classent dans un ordre différent. Pour les administrés d’Anne Hidalgo, la vie est trop chère dans la Ville lumière (pour 47% des personnes interrogées contre 43% pour la meilleure qualité de vie) notamment pour se loger. Un souci que n’ont pas leurs voisins franciliens (17% s’en plaignent) qui sont un peu moins nombreux à vouloir déménager d’ici 5 ans (45% contre 47% en 2019). Le coût de la vie est aussi pointé du doigt par les sujets de Sa Majesté (44%) mais c’est la qualité de vie qui arrive en tête des motivations de leur déménagement (48%).
Se loger dans les grandes métropoles devient de plus en plus compliqué partout en Europe. Mais, avec la crise sanitaire, c’est également le cas pour les habitants des villes moyennes. L’envie d’espace et de verdure y a fait grimper les prix de l’immobilier. Ce qui n’est pas sans inquiéter les locaux qui pourraient, à leur tour, devoir s’excentrer voire s’exiler. Des enjeux majeurs qui sont pourtant peu relayés par les dirigeants politiques, même à l’approche de l’élection présidentielle en France. « Contrairement à la sécurité ou à l’immigration, le logement n’est pas un sujet clivant , souligne un expert. Les politiques estiment que ce n’est pas sur cette thématique qu’ils se gagneront des points par rapport à leurs adversaires ».
Et dans ce domaine, nos dirigeants sont en décalage avec les attentes des Parisiens. Le logement arrive en 4e position des enjeux majeurs auxquels la ville doit faire face aujourd’hui avec 40% de citations. Pas loin derrière le Covid-19 (47%), la propreté (44%) et la qualité de l’air (41%) mais largement devant l’immigration (26%) et le terrorisme (25%). En Petite Couronne, c’est même la deuxième préoccupation des Franciliens (34%) derrière le Covid-19 (44%). Comme pour leurs homologues parisiens, le logement se trouve aussi au pied du podium des préoccupations des Londoniens (44%) mais plus loin derrière la crise sanitaire (59%) et le coût de la vie et la criminalité et le maintien de l’ordre (46% chacun).
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et paris, ce n’est pas la France !!! personne ne les oblige à rester là-bas avec les innombrables “pollutions” atmosphériques, visuelles et “exotiques” :))
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