Immobilier
Dans un marché immobilier en constante évolution, les français qui souhaitent vendre un bien immobilier se tournent massivement vers les professionnels de l’immobilier. C’est ce que révèle la dernière étude exclusive de Guy Hoquet l’Immobilier et YouGov. En effet, près d’un Français sur trois envisage de vendre son bien d’ici la fin de l’année. Face aux inquiétudes liées à la négociation du prix de vente et à l’obtention d’un financement pour les acquéreurs, les vendeurs plébiscitent l’expertise et l’accompagnement des agents immobiliers.
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Dans un marché immobilier en constante évolution, les Français souhaitant vendre leur bien immobilier se tournent vers les professionnels de l’immobilier. C’est ce que révèle la dernière étude exclusive de Guy Hoquet l’Immobilier et YouGov. Une enquête réalisée du 14 au 24 janvier 2024 sur un échantillon de 1004 personnes âgées de 30 ans et plus ayant un projet immobilier (achat/vente) passé ou futur.
Le contexte économique incertain est marqué par une chute de plus de 20% du nombre de transactions en 2023. Pour autant, près d’un Français sur trois envisage de vendre un bien immobilier d’ici la fin de l’année. Mais, ils font face aux inquiétudes liées à la négociation du prix de vente et à l’obtention d’un financement pour les acquéreurs. C’est pourquoi, les vendeurs plébiscitent l’expertise et l’accompagnement des agents immobiliers.
Comme le souligne Stéphane Fritz, président de Guy Hoquet l’Immobilier, “ avec la forte contraction de marché de 2023, nous sommes passés d’un marché de confort à un marché de besoins”.
L’étude Guy Hoquet x YouGov met en lumière les principales raisons qui poussent les Français à vendre leur bien immobilier en 2024. Parmi les personnes interrogées, 35% souhaitent changer de région ou de ville. Tandis que 24% aspirent à acheter un logement plus grand, plus lumineux ou avec un extérieur.
Par ailleurs, 19% des vendeurs envisagent d’acheter plus petit ou moins cher. Une tendance qui peut s’expliquer par la volonté de réduire ses charges. Mais également de se constituer un apport plus conséquent pour un prochain achat. De même, les changements de situation personnelle, comme une naissance ou un divorce, motivent 18% des projets de vente. Suivent, les changements de situation professionnelle (13%).
Enfin, 14% des futurs vendeurs souhaitent vendre leur bien immobilier pour acheter à deux. Un chiffre qui témoigne de l’importance du projet de vie commune dans les parcours résidentiels. Et, 7% désirent se mettre en location. En effet, cette option est parfois privilégiée pour plus de flexibilité ou dans l’attente d’une opportunité d’achat future.
L’un des enseignements majeurs de l’étude est la confiance accordée aux professionnels de l’immobilier par les vendeurs. En effet, 89% des Français ayant l’intention de vendre un bien immobilier cette année souhaitent se faire accompagner par un intermédiaire.
> Consulter notre article sur : “Chasseur immobilier et agent immobilier : quelles différences ?”
Cette proportion est nettement supérieure à celle observée lors d’une précédente étude menée par l’IFOP en 2019. Puisque 74% des vendeurs déclaraient avoir recours à un professionnel. Les femmes sont légèrement plus enclines à solliciter cet accompagnement (90%) que les hommes (87%). De même, les vendeurs âgés de 45 à 54 ans sont les plus enclins à faire appel à un professionnel (95%). Ils sont suivis de près par les 35-44 ans (92%). Deux tranches d’âge où les enjeux familiaux et patrimoniaux sont souvent prégnants.
Contrairement aux idées reçues, le recours à un professionnel ne se résume pas à une estimation du bien dans le but de vendre seul ensuite. En effet, cette motivation n’arrive qu’en 3ème position (11%) parmi les raisons évoquées par les vendeurs potentiels. En réalité, ceux qui souhaitent vendre un bien immobilier attendent principalement d’être aidés pour la négociation (61%). Car, c’est une étape cruciale qui nécessite une fine connaissance du marché local. Et, souvent, cela fait appel à une capacité à défendre les intérêts du vendeur. À titre de comparaison, une étude IFOP pour l’UNIS en 2021 indiquait que 68% des vendeurs ayant eu recours à un agent immobilier avaient pu obtenir un meilleur prix de vente.
De même, les vendeurs ne souhaitent pas réaliser eux-mêmes les visites (16%). Selon eux, c’est une tâche chronophage qui requiert disponibilité et sens commercial.
Si 45% des Français ayant un projet de vente immobilière se disent sereins, certains expriment néanmoins des inquiétudes. La principale crainte formulée (22%) concerne la baisse du prix de vente. Car, les contraintes budgétaires pèsent lourdement sur les acquéreurs.
Cette préoccupation fait écho aux difficultés rencontrées par de nombreux ménages pour financer leur projet immobilier. Alors que le contexte est à la hausse des taux d’intérêt et au durcissement des conditions d’octroi des crédits. Selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA, le taux moyen des crédits immobiliers s’établissait à 2,34% en janvier 2024, contre 1,12% un an auparavant. Vient ensuite la difficulté des acheteurs pour obtenir un financement (14%). Puis, la crainte de ne pas trouver le “bon acheteur” (10%). C’est un enjeu particulièrement présent dans les zones détendues ou pour les biens atypiques.
Face à ces préoccupations, les professionnels de l’immobilier apportent des solutions concrètes. Comme leur expertise en matière de négociation et d’estimation de la valeur d’un bien sur son marché local. De plus, ils sont reconnus pour leur capacité à mettre en valeur le bien auprès des acquéreurs potentiels. Par exemple, ils réalisent des visites virtuelles et diffusent des annonces attractives sur les principaux portails immobiliers.
Pour Stéphane Fritz, président de Guy Hoquet l’Immobilier, cette étude vient confirmer l’importance de la formation continue pour les professionnels de l’immobilier.
“ L’étude Guy Hoquet x Yougov valide la nécessité de former toujours plus et toujours mieux les conseillers en immobilier. C’est pour élever la qualité de service et parce que je crois qu’une société s’élève par la formation de ses hommes et de ses femmes, que j’ai opéré un changement radical dans le modèle de franchise de Guy Hoquet il y a 3 ans. Désormais, la formation continue est illimitée, en présentiel comme en distanciel pour les franchisés et les 3200 collaborateurs de la marque”, souligne Stéphane Fritz.
Cette politique volontariste va au-delà de l’obligation légale en matière de formation professionnelle. Puisque celle-ci impose aux agents immobiliers de suivre 42 heures de formation continue tous les trois ans (décret n° 2016-173 du 18 février 2016).
Comme le résume Stéphane Fritz, “ la véritable valeur d’une entreprise se crée entre un collaborateur et son client final”. Lorsqu’il s’agit de vendre un bien immobilier, un constat s’impose : les agents immobiliers jouent un rôle central dans la réussite de ces transactions. Cela met également en lumière l’importance de la formation continue pour garantir un service de qualité aux particuliers.
Rédactrice en chef de Monimmeuble.com. Isabelle DAHAN est consultante dans les domaines de l’Internet et du Marketing immobilier depuis 10 ans. Elle est membre de l’AJIBAT www.ajibat.com, l’association des journalistes de l’habitat et de la ville. Elle a créé le site www.monimmeuble.com en avril 2000.
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