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(Crédits photo: © jeson - stock.adobe.com)

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Par MoneyVox,
Des véhicules coûteux, suréquipés en matière d’électronique, et des pièces détachées dont les prix s’envolent : voici le cocktail détonnant à l’origine d’une potentielle explosion des cotisations d’assurance auto pour certains véhicules. Plus précisément, ce sont les SUV, les véhicules hybrides et les voitures électriques qui sont concernés. À quoi doivent s’attendre les propriétaires, de plus en plus nombreux, de ces véhicules ?
Selon le cabinet de conseil spécialisé en assurance Fact&Figures (F&F), 42 % des véhicules neufs immatriculés en 2021 étaient des SUV. Une proportion très importante, à laquelle il faut ajouter les véhicules électriques et hybrides, également très en vogue. Or, l’augmentation de la représentation de ces véhicules dans le parc automobile français pose un problème d’envergure aux assureurs : les réparations leur coûtent de plus en plus cher.
En cause ? Des véhicules suréquipés, dans lesquels l’électronique est omniprésente, et qui sont donc plus onéreux à réparer. Ce risque, les assureurs n’ont donc d’autre choix que de le répercuter sur leurs assurés. Si l’augmentation moyenne estimée par le cabinet Fact&Figures devrait être de 3 à 5 % sur 2023, cette hausse devrait se faire avec “une intensité plus forte” pour les SUV et les véhicules hybrides ou électriques, par rapport aux traditionnelles berlines et citadines.
Lire aussi : Assurance : pourquoi la carte verte pourrait disparaître de nos véhicules ?
Les prix des pièces détachées nécessaires à la réparation des véhicules endommagés ne cessent d’augmenter, impactant nécessairement le budget des compagnies d’assurance… et donc celui des automobilistes au travers de leurs cotisations d’assurance auto. Par exemple, le prix des pare-brises a augmenté de 8 % entre 2021 et 2022. Un tarif également dopé par des pare-brises de plus en plus grands, et parfois complétés par une vitre panoramique, particulièrement coûteux lors du remplacement.
Le prix des rétroviseurs avant gauche, côté conducteur, a lui aussi bondi de 7,7 % sur la même période… et de 11 % pour les SUV ! Même son de cloche pour les pare-chocs, avec +6,8 % en moyenne, toutes catégories de véhicules confondues, mais +10,5 % pour les seuls SUV. Associé à l’augmentation du coût de la main d’œuvre, ces hausses des prix des pièces détachées expliquent la nécessité pour les assureurs de faire évoluer la tarification de leurs contrats d’assurance auto.
Pour palier au problème du coût des pièces détachées neuves, les compagnies d’assurance peuvent parfois recourir à l’utilisation de pièces de réemploi. Autrement dit : des pièces détachées d’occasion. Pare-chocs, rétroviseurs, carrosserie… cette possibilité permet de réduire le coût de la réparation d’un véhicule, mais reste encore sous-utilisée selon France Assureurs, et représenterait “seulement 3 % des pièces remplacées dans le cadre des sinistres couverts par les assureurs”, avec néanmoins de forts écarts selon l’âge du véhicule, ce chiffre grimpant jusqu’à 20 % pour les véhicules de plus de 15 ans.
Cette option est pourtant plus vertueuse, notamment en termes d’écologie et d’enjeux environnementaux. Toutefois, elle ne suffit pas encore à endiguer le problème du coût des réparations rencontré par les compagnies d’assurance. Le comparateur Assurland table ainsi sur une hausse allant de 2,5 à 3 % pour les cotisations d’assurance auto en 2023 : “Le prix des pièces détachées affiche une hausse moyenne de 10% contre 2,2% en 2021 et celui des réparations de 3,5% sur les douze derniers mois”.
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