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Cette fois, ce ne sont pas des maisons individuelles qui vont être détruites pour construire une barre d’immeuble au nom de la densification des villes. C’est un immeuble de 40 logements (10 T3 et 30 T4) sur 4 étages, datant de 1961, situé à Bethoncourt, dans le Doubs (25) qui va être démoli, rapporte L’Est Républicain . Aucune construction n’est prévue à son emplacement afin de « donner la part belle à un environnement verdoyant », selon le bailleur social Néolia mais 20 pavillons seront construits non loin de là, dans la même rue notamment, où 8 maisons de quatre à cinq pièces dotées chacune d’un jardin privatif et d’un garage verront le jour au troisième trimestre 2024. Dix autres pavillons pousseront dans une autre rue en 2024 qui profiteront d’un jardin privatif clos et arboré.
Le motif de cette démolition lancée ce mardi? Seize logements collectifs sur 40 étaient vacants, soit un taux de vacance de 40%. Ces logements « ne correspondaient plus aux besoins. Le pavillon, c’est la réalité d’aujourd’hui, le fantasme pour tout client », justifie Xavier Llamas, directeur territorial développement et aménagement au sein du bailleur social Néolia, à L’Est Républicain . Effectivement, trois quarts des Français plébiscitent la maison individuelle selon une consultation menée par le précédent ministère du logement. Surtout depuis la crise sanitaire où le besoin d’espaces verts s’est encore plus fait sentir lors des confinements.
Le bailleur social l’a bien compris et préfère donc « démolir de la vacance », selon les mots du directeur du patrimoine locatif chez Néolia, Cyril Debuys, et substituer à ces appartements qui ne trouvent plus leur public un terrain engazonné. « Aujourd’hui et plus encore en période post-Covid, les appétences des clients pour le logement individuel ou collectif intermédiaire, sont réelles et en constante augmentation. Cette forme urbaine offre un cadre de vie plus agréable », affirme Néolia dans un communiqué.
La société espère ainsi répondre à la demande des locataires et n’a pas hésité à débourser 633.400 € pour la démolition de l’immeuble, quitte à reconstruire moins de logements. « Démolir est parfois nécessaire pour dédensifier un quartier », assure le bailleur dans ce même communiqué. Les huit pavillons locatifs qui verront le jour dans la même rue nécessitent un investissement de 1,7 million d’euros. « La construction de pavillons individuels en lieu et place de bâtiments collectifs imposants de type «tours» et «barres», permet de poursuivre la mue et le changement d’image du quartier via notamment la dé-densification et la mixité des formes urbaines », conclut Cyril Debuys, contacté par Le Figaro .
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