Publié
le
De
Flughafen Zürich a vu le nombre de passagers progresser de 61% sur un an au mois de novembre, sans que cela ne permette d’atteindre les niveaux d’avant la pandémie. En tout, 1,8 million de passagers ont été comptabilisés, soit 19% de moins qu’en novembre 2019.
Parmi les passagers enregistrés, 34%, soit 0,6 million étaient en transit, indique lundi soir l’exploitant de l’aéroport de Zurich.
Les mouvements ont connu une ascension moins forte, de seulement 29%, à 17’110 décollages et atterrissages. Il ne manque plus grand chose pour retrouver le niveau d’avant la pandémie, alors que ce chiffre représente environ 86% du niveau de novembre 2019.
En moyenne, le nombre de passagers par mouvement a progressé de 12% sur un an, à 123. Le taux de remplissage des sièges s’est de son côté amélioré à 77%, en hausse de 10 points de pourcentage sur un an.
La hausse du nombre de passagers a fait enfler le chiffre d’affaires commercial au mois de novembre, qui est tout proche de ses niveaux d’avant la pandémie (93,1%). Il a atteint 41,4 millions de francs en novembre, en hausse de 35,4% sur un an. Le rebond a été porté par les boutiques et services de restauration situés en zone franche, soit après le passage de la sécurité, qui ont profité d’une croissance de 49% des recettes, à 21,3 millions de francs.
Si le nombre de passagers est en hausse, ce n’est pas le cas pour les marchandises. Avec 35’878 tonnes de fret transportées, les volumes sont en repli de 7% sur un an. Par rapport à novembre 2019, la baisse est de 8%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Un camion 40 tonnes à hydrogène sur les routes genevoises
Retraites: le Conseil des Etats plus généreux pour la génération transitoire
Coronavirus: toutes les infos du 27 mars 2020
Coronavirus: toutes les infos du 1er avril 2020
Coronavirus: toutes les infos du 20 mars 2020
Coronavirus: toutes les infos du 25 mars 2020
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *






Publié
le
De
L’or poursuivait l’ascension entamée en novembre dernier, atteignant jeudi après-midi son plus haut niveau en huit mois. A Londres, l’once de précieux métal, soit 31,1 grammes, testait la barre des 1900 dollars.
Les courtiers expliquent l’actuelle hausse des cours du métal jaune par l’affaiblissement du dollar américain.
Le billet vert s’est affaibli ces derniers jours, les investisseurs spéculant de plus en plus sur des hausses des taux moins fortes. Du fait que l’or se négocie au niveau international en dollars, la perte de valeur du dollar rend le précieux métal moins onéreux, renforçant ainsi la demande.
Il aura néamoins fallu attendre la publication de l’inflation de décembre au pays de l’oncle Sam, conforme aux prévisions à 6,5%, pour voir le métal jaune venir chatouiller la marque des 1900 USD, avec un plus haut à 1905,54 dollars l’once.
Depuis début novembre, le prix de l’or affiche une tendance haussière, le métal jaune s’étant apprécié de plus de 200 dollars par once. Selon Oanda, la fourchette entre 1880 et 1920 dollars l’once pourrait être une fois de plus déterminante, soit en tant que barrière de résistance en cas de déception de l’inflation, soit en tant que signal de reprise de la hausse si un rapport positif est le catalyseur d’une cassure au-dessus. Dans tous les cas, nous pourrions assister à une grande volatilité à la suite de la publication du renchérissement aux Etats-Unis en décembre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Publié
le
De
Le marché suisse des motos et scooters a connu un sérieux coup de frein l’année dernière, repassant sous la barre des 50’000 unités.
La faîtière de la branche signale toutefois que le niveau des nouvelles immatriculations se situe toujours nettement au-dessus des chiffres d’avant la pandémie de Covid-19.
De janvier à décembre 2022, 48’693 motos et scooters ont été écoulés en Suisse, soit 13,6% de moins qu’en 2021, mais 17,4% de plus qu’en 2019, dernier exercice non influencé par la crise sanitaire. Dans un communiqué, Motosuisse explique l’apparente contre-performance par un effet de base, les ventes de motos ayant été dopées en 2021 par l’harmonisation de dispositions réglementaires avec l’Union européenne (UE).
Les nouvelles immatriculations de motos ont reculé de plus de 20%. En 2022, deuxième année depuis l’abaissement à 16 ans de l’âge minimum pour l’obtention du permis pour les modèles de 125 cm3 de cylindrée, 6516 engins de cette catégorie ont été vendus, sur un total de 28’032 unités. Seules les motos de plus de 1000 cm3 ont été encore plus demandées (6762), indiquait l’association des importateurs jeudi sur son site web.
Avec un peu plus de 18’000 unités vendues, le segment des scooters a connu un recul moins marqué (-3,1%), à la faveur notamment de l’engouement du public pour les modèles à propulsion électrique (+61,2% à 2835 unités), dont la part de marché représente désormais 15,7%.
“En ce qui concerne les motos utilisées principalement pour les loisirs, la technologie électrique ne parvient toujours pas à s’imposer (…) faute d’une offre attractive”, estime Motosuisse, citant notamment l’autonomie limitée et les contraintes liées au volume des batteries.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Publié
le
De
La pandémie de Covid-19 a donné “un net coup d’accélérateur” à diverses tendances de fond dans le commerce de détail vaudois, montre une étude de l’institut CREA de l’Université de Lausanne. Les ventes en ligne ont notamment bondi, tandis que le tourisme d’achat a reculé.
Sur la seule année 2020, les dépenses effectuées dans un établissement en ligne situé dans le canton de Vaud ont grimpé de 42,4% par rapport à 2019, pour s’établir à 1,9 milliard de francs. Dans le même temps, le chiffre d’affaires du commerce stationnaire a connu une baisse de 4,7% à 7,1 milliards, indique l’étude du CREA, cofinancée par le Trade Club Vaud et le Département vaudois de l’économie.
Les habitudes d’achat dues aux restrictions sanitaires, combinées à une facilité accrue et une augmentation de l’offre en ligne, “nous font penser que ce phénomène n’est pas temporaire”, affirment les auteurs de l’étude. Et d’ajouter que la place du commerce en ligne “va encore plus s’accroître dans les années à venir.”
La part du commerce en ligne par rapport au total du commerce de détail est actuellement de 21,5%.
Autre conséquence de la pandémie, les consommateurs vaudois ont été contraints de faire leurs courses sur le territoire suisse, ce qui a permis de “freiner drastiquement le tourisme d’achat”. Il a chuté de 42% entre 2019 et 2020, passant de 721 à 415 millions de francs. Il a certes repris en 2021 (+17,4%), tout en restant toujours inférieur au niveau de 2019. “Ceci nous laisse penser que certains consommateurs ont définitivement changé leurs habitudes en faveur d’une consommation plus locale”, jugent les chercheurs du CREA.
L’étude permet aussi de mesurer le poids du commerce de détail dans l’économie vaudoise. Il génère environ 9 milliards de chiffre d’affaires annuel (2e secteur du canton derrière l’industrie). Il compte près de 30’000 emplois et regroupe environ 5200 commerces, dont 97% s’appuient sur moins de 10 collaborateurs.
Depuis 2011, le nombre de commerces (+1,5%) et d’emplois (+1,7%) dans l’alimentaire progressent. A l’inverse, le non alimentaire régresse tant au niveau du nombre des commerces (-4,2%) que de l’emploi (-5,8%).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Publié
le
De
Les distributeurs de véhicules utilitaires n’ont pas été épargnés par les soucis de livraison l’an dernier en Suisse et au Liechtenstein, avec toutefois des divergences marquées entre les catégories, rapporte jeudi Auto Suisse.
La faîtière des importateurs automobiles espère un rétablissement dès l’année en cours, considérant que le ralentissement conjoncturel sera compensé par un effet de rattrapage, pour les véhicules légers notamment.
Le nombre de nouvelles immatriculations dans cette catégorie s’est affaissé de 14,8% à 24’909 véhicules, un phénomène qu’Auto Suisse attribue aux goulots d’étranglements dans la production de pièces de sous-traitance telles que les puces ou les faisceaux de câbles issus de la production en Ukraine. Camions et tracteurs à sellette neufs en revanche n’ont reculé que de 3,3% à 3449 unités.
Le désamour pour les campings-cars au sortir de la pandémie et des persistantes difficultés de livraison ont entraîné une chute de de 16,6% du nombre de véhicules de transport de personnes autorisés à la circulation.
Adjonction faite des voitures de tourisme, le nombre total de véhicules motorisés neufs immatriculés s’est replié de 6,6% à 261’408 unités.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Publié
le
De
Le secteur de l’hôtellerie retrouve le sourire à Genève après la crise sanitaire. Selon le nouveau président de la Société des hôteliers genevois (SHG) Jean-Vital Domezon, les chiffres 2022 s’annoncent positifs. Dans un entretien publié jeudi dans la Tribune de Genève, il attribue cette reprise au phénomène du “revenge travel”.
“De nombreux voyageurs se sont rattrapés sur le temps perdu. On pensait que ce serait un phénomène très estival, mais ça s’est prolongé, on n’a jamais fait un mois de septembre et octobre pareils”, explique M. Domezon. Le nouveau président de la SHG estime que cette tendance va se prolonger.
“Les agents de voyages expriment une dynamique sur le marché américain pour 2023, c’est une clientèle importante pour Genève”, ajoute celui qui est aussi directeur de l’Hôtel d’Angleterre. Il précise toutefois que faute de Salon de l’auto, “la saison des conférences risque de commencer relativement tard dans le mois de mars”.
A noter que les chiffres officiels des nuitées 2022 ne sont pas encore sortis. Mais d’après le président de la SHG, “c’est une année, comparée à 2019, qui est très positive”. “Certains hôteliers sont au-dessus du niveau de l’avant-crise, d’autres en sont proches”, ajoute-t-il.
M. Domezon se réjouit aussi du retour le 26 janvier de la liaison d’Air China entre Pékin et Genève. “Les touristes chinois ne sont pas dans notre top 5, mais si on additionne la Chine à d’autres pays asiatiques comme Singapour, Taïwan, cela fait du monde”, estime-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Derniers titres
La densité hospitalière est trop élevée en Suisse, estime la présidente de l’association des hôpitaux H+, Regine Sauter, dans un…
Le Jardin anglais a un peu la gueule de bois après les fêtes de fin…
L’association Genève en fête se propose de faire renaître les fêtes de Genève cet été….
A Genève, la question du droit de vote et d’éligibilité des étrangers au niveau cantonal…
Standard : 022 909 69 69 – Antenne : 0842 918 918 – Rédaction: 022 807 10 15
WhatsApp: 079 918 30 00 – Contactez-nous: contact@radiolac.ch

© Copyright 2021 – Media One Group

source

Catégorisé: