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Impossible de ne pas craquer pour les spécialités locales, mises à l’honneur par des petits producteurs et des restaurateurs passionnés. Sans compter que la perle de l’Atlantique entame tout doucement sa conversion au bio.
Restos à gogo, cabanes à huîtres dans les marais ou le long de la mer… Se régaler à l’île de Ré, c’est simple. Manger bio, un peu moins. La perle de l’Atlantique entame sa conversion tout doucement. Sans doute freinée dans cette évolution par la qualité et la bonne image de ses produits locaux, à commencer par la pomme de terre de l’île de Ré, qui a obtenu son AOP (appellation d’origine protégée) dès 1998.
Alors souvent, le visiteur entend ces propos dans la bouche d’ostréiculteurs, de maraîchers, de restaurateurs : « Mon objectif n’est pas d’avoir le label bio, mais de vendre au maximum des produits locaux et artisanaux. » Une nouvelle génération d’artisans et de commerçants fait pourtant la bascule et veut croire que les mentalités évolueront.
Car partout où l’offre bio se développe, les clients sont au rendez-vous. Le risque étant de tomber dans un bio « de façade » attirant le chaland avec des crevettes bio, certes, mais de Madagascar…
Ils sont ostréiculteurs, maraîchers ou confituriers et leurs produits sont parmi les meilleurs de l’île. Galerie de portraits.
« Je suis le premier ostréiculteur bio de France ! » affirme Frédéric Voisin, 61 ans, pas peu fier de ce titre. Peu importent les ricanements de ses confrères. « J’ai conscience que l’huître bio est encore un concept étrange pour la plupart des gens, dit-il. C’est pourtant la seule façon d’être sûr de ne pas manger d
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J'ai eu la chance de connaitre l'ile de Ré en 1960 !! A l'époque , on n'y mangeait que les araignées de lmer, la pomme de terre n'était pas AOC, et l'ile était propre et bien fréquentée. Aujourd'hui, y'a qu'à voir ! Meme Jospin y a une maison ( payée des queues de chique ) et on n'y voit plus que des trafiquants de tout , partout, toute la journée.
à quel prix tout ça ? faut comprendre les locaux : il n'ont que deux mois pour entuber les estivants ! Fuyons !
"Vendredi 9 juin 2017, dans la salle des conférences des Archives départementales , , Jeanne Bernard-Grit a présenté son ouvrage. Les livres concernant l’affaire Dreyfus se comptent par centaines. Jeanne Bernard-Grit, responsable de l’action culturelle et éducative aux Archives départementales de la Charente Maritime, vient de publier un ouvrage traitant du passage de Dreyfus au bagne de Saint-Martin-de-Ré (du 18 janvier au 21 février 1895). C’est le fruit du travail mené pour assurer l’exposition qui s’est déroulée l’année dernière du 17 mai au 28 octobre 2016 aux Archives départementales et dont nous avons fait écho dans Ré à la Hune N° 137 (lire sur www.realahune.fr). Un bref rappel historique Le capitaine Alfred Dreyfus est arrêté le 15 octobre 1894, sur ordre du général Mercier, ministre de la guerre. Le 22 décembre de la même année, il est condamné pour haute trahison. Le 5 janvier 1895, il est dégradé dans la cour de l’Ecole militaire. Incarcéré à la prison du Cherche-Midi, à Paris, il arrive le 18 janvier au bagne de Saint-Martin-de-Ré. Le 28 février, il embarque pour la Guyane. Dreyfus, à la suite d’un rude et courageux combat relayé par de nombreux soutiens extérieurs, est grâcié par le président Emile Loubet. Il sera innocenté et réhabilité par la cour de cassation le 11 juillet 1906.
1984bi a posté le 29 juillet 2019 à 13h18 En même temps , la pomme de terre de Noirmoutier ressemble beaucoup à celle de Ré mais on n'en fait pas des frites pour accompagner les moules , l'été , les huîtres sont laiteuses et je n'aime pas le pineau . Il reste le tourteau et les bigorneaux . A la limite, le homard est d'un prix raisonnable par rapport à celui des huîtres car comme disait Coluche , pour l'artichaut, avec les huîtres, à la fin, , il reste plus de coques que de chair et encore sans la perle. Il faut aller à Yeu , pour le port de la Meule puis en revenant, il faut lire le livre de Boris Vian en s'arrêtant sur la tombe de Pétain. On pourrait même y laisser la couverture mais bon .
L'été, les huîtres ne sont plus "laiteuses" (leur semence) car les ostréiculteurs vous servent de la triploïde. Je rentre pas dans les détails (pas la ramener…). Cela étant, Ré, à mon humble avis, faut pas y aller en bagnole (c'est cher et on voit rien), ni même à vélo (dans mon souvenir récent, c'est encombré de vélos élecs qui font demi-tour sans faire le petit signal comme dans les pays du nord, persuadés d'être seuls sur le site propre). Faut y aller à pinces (bus gratos pour passer le pont). Ré, c'est le fourre-tout des clichés, dont on aurait pu espérer que les journalistes de l'Obs se détournent. Un des seuls bouquins, à ce jour, qui révèlent Ré « de l'autre côté du miroir » (la face cachée, les lieux magiques et donc désolés/pas fréquentés), c'est pour moi, un petit truc à couverture bleue qui s'appelle, je crois, « Ré, balades insolites ». Je le conseille aux journalistes pour leur supplément annuel, s'ils veulent faire montre d'un peu d'originalité…
Passez au guide du routard ..
et le Bagne , ah rien

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