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La pandémie a fait souffler un vent porteur sur le marché de la cité corsaire. Peu d’offres face une demande soutenue par des Parisiens en manque d’air.
Temps de lecture : 3 min
Remparts historiques, grandes marées, embruns, plages de sable fin… Désormais accessible en deux heures et demie de train de la capitale, la carte postale de Saint-Malo attire toujours plus d’aficionados. Mais, en 2020, un vent de folie a soufflé sur le marché immobilier de cette station balnéaire et portuaire de la Côte d’Émeraude, lovée à la pointe nord de l’Ille-et-Vilaine, entre le littoral de la Manche et l’estuaire de la Rance. « Entamée il y a trois ans, la pression de la demande s’est nettement intensifiée depuis le premier confinement. Beaucoup de prétendants, peu de vendeurs. Aujourd’hui, on vend souvent à la première visite », commente Maël Roché, directeur d’agences Laforêt.
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Ces gens et leurs élites sont une vraie plaie pour 80% des français qui subissent ces hausses sans pouvoir y faire face. Argent facile. Et l’on se demande pourquoi les gilets jaunes
Cela génère beaucoup de Co2 pour les autres, pourquoi vouloir vivre à Paris si c est juste pour le job et s échapper à chaque week-end ?
Peu de chance que St Malo plaise à nos amis parisiens.
Peu de services et des malouins qui pour la plupart se présente comme Malouin et non Breton. En gros, le malouin n est pas très ouvert et peu accueillant. Cela ne deviendra pas un la Baule bis, cela restera très fermé.
Déja que Saint Malo devient infréquentable l’été.
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