L’actualité à portée de main
Abonnement à partir de 1€
Économie
L’épargne responsable pour donner du sens à vos…
Par Contenu sponsorisé
1/4
2/4
3/4
4/4
Recevez chaque semaine toute l’actualité de votre région
EDITO
L’économie responsable, c’est l’affaire de tous
Vous êtes 7 sur 10 à vouloir une épargne responsable pour un développement durable.
Pour nombre d’entre nous, la nécessité de préserver durablement le patrimoine commun est devenue une réalité quotidienne. Les enjeux autour du développement durable et de l’urgence climatique, soulignés par toutes les études dont le GIEC, nous interpellent.
C’est très vrai dans notre région Sud-Est, où la terre comme la mer sont vulnérables aux évolutions environnementales. Nous avons compris cette obligation d’agir, au-delà de nos gestes au quotidien, par la nécessité de vous proposer une épargne durable.
Et c’est parce que vous êtes en quête de conseils que nous nous sommes fixé une double mission : d’abord expliquer comment, aujourd’hui, votre épargne peut aussi bien constituer un placement rentable que contribuer à des actions positives sur l’environnement ou la société ; et d’autre part, rendre cette épargne responsable accessible à tous, avec un investissement de départ minime. Ce supplément dans votre journal, c’est une porte d’entrée vers l’épargne responsable. En espérant vous donner l’envie d’en savoir plus, nous vous donnons les clés essentielles pour bien comprendre, faire vos choix et, qui sait, vous lancer.
Très bonne lecture !
Pierre Veyres, directeur de la Région Sud-Est BNP Paribas
POURQUOI INVESTIR RESPONSABLE
Et si votre épargne contribuait à répondre aux enjeux climatiques et sociaux ? L’investissement responsable sous l’égide de labels et de certifications, permet aujourd’hui d’aiguiller ses projets de placements durables, à la fois utiles à la société et à l’environnement.
Des choix d’épargne pour agir en faveur de l’environnement et de la société
Chacun d’entre nous a ses propres motivations : lutter contre le réchauffement climatique, protéger les océans et la biodiversité, défendre une alimentation et une eau de meilleure qualité… Ou bien soutenir une économie plus locale et solidaire, quand ce n’est pas lutter contre les inégalités sociales. L’épargne responsable peut répondre à ces attentes. Investir responsable, c’est placer son épargne sur certains produits fi nanciers, répondant à des critères responsables, qui vont être investis en actions et obligations d’entreprises, majoritairement cotées en Bourse.
Concilier performance financière, impact social et développement durable
Qui dit épargne, même responsable, dit espérance de rentabilité. « Ce que recherchent nos clients, au-delà des valeurs environnementales, c’est d’abord une rentabilité, avec des critères fi nanciers purs (rentabilité, risque, liquidité). Les fonds ISR (Investissements Socialement Responsables), identiques aux fonds classiques, se distinguent par une faible volatilité sur le long terme. Aujourd’hui, réaliser un investissement responsable, c’est investir dans un produit qui vise une meilleure stabilité financière, un meilleur rendement et une meilleure maîtrise des risques grâce à des critères/filtres extra-financiers », explique Jean-Yves Lesbros, responsable des particuliers BNP Paribas en région Sud-Est.
S’appuyer sur son banquier pour investir responsable
Trouver son chemin dans le maquis de l’épargne responsable n’est pas forcément simple au départ. Votre banquier est là pour vous expliquer les nombreuses possibilités qui s’offrent à vous en fonction de votre profil d’épargnant, de vos objectifs et même de vos valeurs. Il convient de défi nir un horizon de placement, de déterminer une enveloppe de placement (assurance vie, PEA…), puis la sélection de fonds dans lesquels investir et enfin la stratégie à mettre en place (voir les articles ci-dessous).
De la protection de la biodiversité à la préservation des ressources naturelles et alimentaires, en passant par une mobilisation à caractère social et solidaire, les thèmes d’investissement ne manquent pas. « Force est de constater que de plus en plus de clients, qu’ils soient salariés, retraités ou encore chefs d’entreprise, souhaitent s’inscrire dans cette approche responsable », précise Jean-Yves Lesbros.
SELON L’INSTITUT D’ÉTUDES ODOXA, LES FRANÇAIS SONT INTÉRESSÉS PAR L’ÉPARGNE RESPONSABLE ET ONT BESOIN DE PÉDAGOGIE
Plus de 4 Français sur 10 seraient prêts à épargner dans l’Investissement Socialement Responsable, c’est l’un des constats de l’enquête menée en 2021 par Odoxa pour BNP Paribas. Celle-ci révèle que 72 % des épargnants français souhaitent que leur épargne s’inscrive dans l’un de ces trois objectifs : relancer l’économie, créer des emplois et favoriser la transition écologique. Malgré tout, les Français manifestent une certaine défiance :
« L’investissement socialement responsable génère attractions et interrogations, indique Céline Bracq, co-fondatrice et directrice générale d’Odoxa. Il répond au désir d’une épargne utile, mais apparaît comme nouveau aux yeux des Français. »
L’un des doutes les plus exprimés : l’épargne est-elle réellement investie dans des projets socialement responsables ? Les potentiels épargnants se préoccupent aussi du mode d’emploi, des critères de choix et des performances fi nancières à espérer. Un sentiment dubitatif qui fait écho aux 63% de Français qui ignorent qui contacter pour s’informer et investir dans ce type de placements.
« Clairement, les établissements financiers ont un travail de pédagogie à faire, afin de convaincre leur clientèle du potentiel de l’ISR et de sa rentabilité », constate Céline Bracq.
TÉMOIGNAGE
« UN PARTENARIAT RÉUSSI » SUR L’ÉPARGNE RESPONSABLE
Alors qu’il mène une carrière de haut niveau dans l’industrie agro-alimentaire, David DaSilva tombe malade et décide alors, à l’approche de la quarantaine, de se reconvertir dans la médecine traditionnelle : « J’ai toujours eu un intérêt pour l’investissement mais pas de sensibilité particulière pour l’épargne responsable. En me lançant dans la naturopathie, j’ai pris conscience de certains enjeux sociaux et environnementaux. Pour autant, mon objectif principal restait d’abord de trouver la bonne formule pour répondre à un vrai besoin de sécurité sur le long terme ». David en parle à Claire Prédo, sa conseillère spécialisée épargne et prévoyance BNP Paribas, qui fait preuve de pédagogie : « II fallait prendre en compte le profil financier de M. Da Silva, ses objectifs et son horizon d’investissement, ainsi que son intérêt croissant pour l’économie responsable. Nous avons choisi la bonne enveloppe (l’assurance vie) et je lui ai proposé la meilleure diversification par rapport aux avoirs qu’il détenait déjà ailleurs. Parce qu’il était sensible à la ” pierre-papier “, je lui ai parlé de notre OPCI Diversipierre ainsi que deux autres fonds ISR, BNP Paribas Aqua et BNP Paribas Actions Monde ISR.
Ensemble, nous avons mis en place pour le court terme un arbitrage progressif (chaque mois, un douzième du fonds en euros est investi en unités de compte) et pour le long terme des versements programmés ». « Ce que je retire de ce partenariat, c’est de la sérénité alors qu’investir sur les marchés peut être parfois stressant, estime David Da Silva. C’est important lorsqu’on veut dynamiser son épargne de trouver un partenaire ayant des compétences. Et j’apprécie aussi de pouvoir agir de manière autonome sur le site Internet de la banque ».
FONDS THEMATIQUES, LABELS, PLACEMENTS…
Toutes les facettes de l’épargne responsable
Face au souhait des épargnants de s’orienter dans des projets durables et éthiques, de nombreux fonds permettent aujourd’hui d’investir responsable, valorisés par des labels de qualité. Comment choisir les meilleurs placements ?
Il est important d’accompagner le grand public dans sa transition responsable
Selon une étude de 2020 réalisée par l’Association Française de la Gestion Financière (AFG), le montant des investissements socialement responsables (ISR) a progressé de 32 % sur un an. Et pour cause, désormais, face à l’urgence climatique, de nombreux investisseurs se tournent vers des fonds à impact positif. Gagnant à être davantage connus, ces fonds sont proposés via différents supports que l’on appelle « enveloppes ». Pour s’y retrouver et investir au mieux, des labels et critères passent au peigne fin les fonds d’investissement afin d’apporter davantage de transparence aux investisseurs.
COMMENT ÉPARGNER RESPONSABLE ?
Pour débuter, vous devez choisir une enveloppe, c’est-à-dire un support qui va héberger les fonds dans lesquels investir : assurance vie, compte-titres, plan d’épargne en actions (PEA), plan d’épargne retraite (PER) ou plan d’épargne entreprises. Pour la sélection des fonds, vous pouvez d’abord vous tourner vers ceux intégrant les critères ESG (Environnemental, Social, Gouvernance) dans le choix de leurs actifs.
Vous pouvez aussi opter pour des fonds labellisés ISR, ce qui signifie qu’ils ont une stratégie résolument éco-responsable. C’est justement le rôle des labels (voir encadré ci-dessous ndlr) d’indiquer la qualité responsable d’un fonds. Certains fonds ISR reposent sur une thématique spécifique. Par exemple, chez BNP Paribas Asset Management, nous investissons dans des actions de sociétés internationales dont l’activité est liée à la thématique de l’eau via le fonds BNP Paribas Aqua, ou bien engagées dans la lutte contre le réchauffement climatique avec BNP Paribas Climate Impact. Tous les grands enjeux (énergies, immobilier, alimentation, solidarité) font l’objet d’un fonds dédié.
PEUT-ON AUSSI AGIR DIRECTEMENT AUPRÈS DES ENTREPRISES ?
Les investisseurs disposent de nombreux leviers pour inciter les entreprises à faire évoluer leurs pratiques. En exerçant le droit de vote pour le compte de ses clients lors des assemblées générales, un gérant d’actifs comme BNP Paribas Asset Management peut ainsi soutenir ou à l’inverse s’opposer à la stratégie de l’entreprise dont il est actionnaire, s’il juge cette dernière insuffisante. Nous-mêmes, en tant que gestionnaires d’actifs, adoptons une approche responsable : améliorer l’expertise de nos chargés de clientèle sur le développement durable grâce à leur certification diplômante par un tiers indépendant.
Investir responsable dans l’immobilier, c’est possible !
Dans la liste des investissements responsables qui s’offrent aux particuliers, les fonds immobiliers représentent une piste tout à propos. Ce qui peut sembler paradoxal tant l’immobilier, on le sait, est énergivore et polluant : 123 tonnes de tonnes de CO2 émis chaque année selon le Ministère de la transition écologique. Pourtant, les acteurs du secteur ne ménagent pas leurs efforts pour améliorer les performances des bâtiments, allant de leur conception et leur entretien à leur déconstruction. Pour encourager et accélérer la démarche, les fonds immobiliers ont été rendus éligibles à la labellisation d’État ISR en octobre 2020. Ces derniers permettent d’investir dans des actifs immobiliers tout en participant à l’amélioration de leurs performances environnementales dans le temps. Les investisseurs, notamment les particuliers, peuvent par ces fonds réaliser des placements, intégrant les enjeux ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance).
DES IMMEUBLES DU SUD-EST DANS DES FONDS IMMOBILIERS RESPONSABLES
BNP Paribas Real Estate Investment Management France, gestionnaire de fonds d’investissement immobiliers, propose ainsi aux particuliers deux fonds ISR leur permettant de diversifier de façon responsable leur patrimoine dans leur assurance vie ou dans un compte de titres :
• la SCPI à capital variable Acimmo Pierre inclut dans ses actifs l’ensemble de bureaux Carrés du Golf à Aix-en-Provence. Cet immeuble a fait l’objet de nombreuses optimisations : accessibilité des espaces aux personnes à mobilité réduite, récupération de l’eau de pluie, tri des déchets à tous les étages, chargements électriques en sous-sol, nichoirs à oiseaux… La pose de panneaux photovoltaïques est à l’étude,
• l’OPCI BNP Paribas Diversipierre intègre quant à lui Le Sextant, rue de Dunkerque à Marseille. Cet immeuble est ainsi en train d’être pourvu, notamment, de sanitaires hydro-efficients et d’un système efficace de gestion des déchets à chaque étage, tandis que la qualité de l’eau sera analysée chaque année et améliorée si nécessaire.
L’OPCI comme la SCPI se sont dotés d’une méthodologie engageante, concrète et durable, pour choisir et gérer
le patrimoine immobilier physique, dans le but de renforcer la qualité et la résilience des immeubles détenus. Une démarche vertueuse qui devrait encourager de nombreux autres organismes à s’engager dans la transition durable.
ISR :
Délivré pour 3 ans par l’État, ce label soumet le fonds à plusieurs contrôles, notamment sur sa démarche et les critères ESG, la mesure de son impact positif ou encore sa transparence.
FINANSOL :
Label historique de la finance solidaire, il repose sur des critères de solidarité et de transparence, garantissant le financement d’activités environnementales ou sociales.
GREENFIN :
Accordé par le ministère de la Transition écologique et solidaire, Greenfin se concentre uniquement sur les investissements liés à la transition énergétique et écologique.
CIES :
Le label du Comité Intersyndical de l’épargne salariale s’attache à valoriser les fonds orientés vers le volet social et solidaire.
« UN FOND ISR EST AU MOINS AUSSI PERFORMANT QU’UN FOND CLASSIQUE»
Les fonds durables sont-ils moins rentables que les fonds traditionnels ? Cette idée reçue est désormais battue en brèche.
« Nous disposons du recul nécessaire pour constater que les fonds ISR, proposés depuis une vingtaine d’années par BNP Paribas Asset Management (acteur majeur de la finance durable) sont aussi performants que les fonds traditionnels », affirme Christelle Cassimally, experte financière Banque Privée à Aix-en-Provence. Pour intégrer un fonds ISR, une entreprise est d’abord sélectionnée sur des critères de croissance : « À ces indicateurs économiques, attestant sa solidité financière et sa capacité à créer de la valeur, viennent s’ajouter, dans les fonds durables, des filtres extra financiers en lien avec l’impact durable de l’activité de la société », ajoute Christelle Cassimally. Alexis Manceau, expert financier de la Banque Privée de BNP Paribas à Marseille, renchérit : « Les mandats de gestion 100 % ISR ont même surperformé entre 2019 et 2021, avec 2 à 3 points de plus pour un même niveau de risque qu’un mandat classique. Ils se sont aussi montrés plus résilients pendant la crise du covid, notamment les fonds thématiques ».
Une offre balisée et lisible
Désormais, l’offre des fonds est balisée et lisible. Les fonds thématiques, par exemple, regroupent plusieurs dizaines d’entreprises dont les activités apportent des réponses aux enjeux de développement durable. « Ainsi, BNP Paribas Smart Food investit dans la chaîne de valeur alimentaire, des engrais organiques aux emballages biodégradables. De son côté, le fonds BNP Paribas Social Business France finance des entreprises qui luttent contre l’exclusion sociale comme le groupe La Varappe (lire ci-dessous) ou en faveur du bien-être social », explique Alexis Manceau. « En plus de leur lisibilité, leur attractivité réside dans leur performance qui, il est vrai, peut être altérée de manière conjoncturelle par des perturbations des marchés. Mais à un horizon à moyen ou long terme, ces investissements résisteront mieux que les fonds traditionnels car ils sont porteurs de thématiques d’avenir (transition énergétique, éolien, véhicules électriques…)», nuance Christelle Cassimally.
Se fixer des objectifs et diversifier ses placements
Les promesses de l’ISR séduisent. Pourtant, au moment d’investir, des questions peuvent surgir. Loraine Gorius, responsable d’expertise financière chez BNP Paribas Wealth Management, expose les points clés auxquels songer pour déterminer sa stratégie.
QUE DOIT-ON SE DEMANDER AVANT DE SE LANCER DANS L’INVESTISSEMENT RESPONSABLE ?
Avant tout, trois questions : à quels objectifs répond cet investissement ? À quel horizon le projetez-vous ? Quel niveau de risque êtes-vous prêt à faire prendre à votre épargne, pour quel niveau de rendement ? Vos réponses vont conditionner le type d’investissement le plus adapté à vos attentes. Concrètement, si vous souhaitez préparer votre retraite, vous privilégierez une enveloppe d’épargne retraite qui abritera les fonds ISR dans lesquels vous allez investir. Si vous avez 40 ans ou 55 ans, le temps ne jouera pas de la même manière pour faire fructifier vos économies, vous pourrez cibler des placements plus ou moins risqués, potentiellement plus rémunérateurs. De ces objectifs découle une partie de la stratégie à adopter.
COMMENT OPTIMISER CETTE STRATÉGIE ?
Parce qu’on cherche à limiter ses émissions de gaz à effet de serre en circulant à vélo ou qu’on participe à des campagnes de ramassage de déchets, on peut souhaiter placer son argent dans le fonds thématique correspondant. Toutefois, la diversification lisse les risques inhérents à tout placement et plus cette logique est poussée, plus les risques s’équilibrent. D’où l’intérêt de répartir son investissement dans plusieurs fonds, sachant que les valeurs appartenant à des secteurs variés risquent moins de toutes baisser en même temps si la Bourse est agitée. Ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier !
INVESTIR DANS DES FONDS RESPONSABLES EST-IL INTÉRESSANT POUR TOUS LES TYPES DE PROFILS ?
Les fonds ISR sont accessible à tous les profils d’épargnants particuliers. Dès lors que vous avez sécurisé une épargne de précaution pour faire face à d’éventuels imprévus, vous pouvez investir dans des placements responsables, au sein d’une enveloppe d’épargne à plus long terme (assurance-vie, contrat retraite, ou encore PEA). En fonction de votre capacité d’épargne, vous pouvez envisager de consacrer quelques centaines, voire quelques dizaines d’euros par mois en placements responsables. En mettant en place un versement programmé, mensuel par exemple, vous vous constituez un patrimoine financier de manière indolore, en lissant votre effort d’épargne sur la durée.
Favoriser le développement d’une entreprise solidaire
Success story de l’ESS (Économie Sociale et Solidaire), La Varappe est un groupe d’entreprises d’insertion créé à Aubagne en 1991, qui réalise aujourd’hui un chiffre d’affaires de 70 millions d’euros. Son président Laurent Laïk, explique l’impact d’avoir intégré un fonds ISR.
DANS QUELLE ACTIVITÉ EST INVESTI LE GROUPE LA VARAPPE ?
Notre mission fondamentale est d’aider des personnes éloignées de l’emploi à reprendre confiance. Nous travaillons au développement de leur capacité d’agir. En 30 ans, le groupe La Varappe est devenu un acteur majeur de l’insertion avec 70 sites implantés à travers la France et plus de 80 000 personnes accompagnées depuis sa création, dont 80 % sortent avec une solution d’emploi ou de formation à la clé.
QUE VOUS APPORTE VOTRE INTÉGRATION AU FONDS SOCIAL BUSINESS France DE BNP PARIBAS ?
Le capital de La Varappe se décompose en trois blocs, garantissant notre indépendance.
L’association historique La Varappe Développement en détient 20 % ; l’épargne salariale, 15 %, une part qui va doubler. Le reste est maîtrisé par plusieurs fonds à impact. À travers les deux principaux, dont Social Business France de BNP Paribas, plus d’un million et demi de particuliers participent au capital de notre groupe et lui permettent par ce biais de relever le défi qui se présente aujourd’hui, changer d’échelle. En finançant notre croissance, ils prennent leur part dans la construction d’une société plus inclusive et plus solidaire.
QUELS SONT VOS AXES DE DÉVELOPPEMENT DANS LES PROCHAINES ANNÉES ?
En parallèle à nos ambitions de croissance, nous misons sur l’innovation sociale pour déconstruire ces boucles de renoncement, qui fabriquent l’exclusion sociale. Nous investissons aussi dans les métiers de demain.
Sur ces sujets, le financement apporté par les fonds d’investissement n’est pas direct, mais la sécurisation capitalistique qu’ils offrent nous permettent de nous projeter sur un temps long nécessaire au développement.
Malgré son opposition à la réforme, le RN votera la retraite minimum à 1 200 euros
Compromis en vue pour un relèvement plus régulier du taux maximum des crédits immobiliers
Grèves sur les retraites : Borne appelle les syndicats à “ne pas pénaliser les Français”
Pour Edouard Philippe, on ne peut pas “acheter la paix sociale” en “faisant des chèques”
Réforme des retraites : “Il serait irresponsable de bloquer le pays”, juge Larcher
Emirats : le PDG de la compagnie pétrolière nationale nommé président de la COP 28
Réforme des retraites : la CGT Pétrole appelle à plusieurs jours de grève
Novartis pourrait supprimer 400 emplois en France
Votre journal numérique disponible sur tous vos supports.
9 millions de foyers vont recevoir un virement des impôts la semaine prochaine
Les Pennes-Mirabeau : 30 ans d’amour entre Aude, 55 ans, et Gaby, 100 ans, racontés sur France 2
Quelle température fera-t-il dans les principales villes de Provence en 2050 ?
Toute l’actu directement par mail