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En tenant compte de toutes les données, la hausse de la taxe foncière parisienne pourrait avoisiner les 60%. Photo d'illustration. (Ennelise / Pixabay)
La taxe foncière à régler par les propriétaires de logements dans la capitale va augmenter en 2023. Du jamais vu depuis 2011. L’impact de cette mesure a tout pour inquiéter les propriétaires dans un contexte où les prix de l’immobilier sont en baisse à Paris. D’autant plus que d’autres mesures ont elles aussi des effets le marché, explique Le Parisien . La hausse décidée par la mairie de Paris est de 52 %.
Selon l’Union nationale des propriétaires immobiliers (Unpi), compte tenu de l’augmentation des valeurs locatives servant de base au calcul de la taxe foncière, il faut en fait davantage compter sur une hausse de 60 % de l’impôt. Il est par ailleurs important de préciser que la taxe foncière parisienne est la plus basse des cinquante plus grandes villes de France. C’est actuellement l’équivalent sept à dix jours de loyer d’une petite surface dans la capitale, contre un mois dans des villes moyennes, analyse Mickaël Zonta, cofondateur de la société Investissement-locatif.com.
Le directeur associé d’un réseau d’agences immobilières à Paris n’imagine pas l’augmentation, même importante, modifier profondément le marché. Encore moins en matière de transactions concernant les résidences principales, pour lesquelles la suppression de la taxe d’habitation a rééquilibré les choses, a-t-il estimé. Pour les 120 000 propriétaires de logements vacants, la hausse pourrait inciter à vendre, estime toutefois Frédéric Zumbiehl, juriste à l’Unpi.
Les investisseurs locatifs voient quant à eux une autre mesure d’un mauvais œil : l’encadrement des loyers. Pour l’instant peu appliquée, la mesure va être contrôlée à partir de 2023 par la mairie de Paris au lieu de la préfecture. De solides tours de vis pourraient être observés. Les propriétaires de logement Airbnb sont aussi dans le viseur de la Ville.
Sur le marché locatif, pour un appartement de 50 m2, le rendement net moyen de la location passera « de 2,28 % à 2,25 % par an », a calculé Thierry Vignal, président fondateur de Masteos, qui juge la mesure marginale. Il n’empêche que le signal envoyé aux investisseurs pourrait contraindre ceux-ci à revoir leurs projets et compliquer pour certains l’accès au marché locatif parisien déjà tendu.
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Probablement aucun effet si ce n’est de renforcer l’achat d’immobilier par des étrangers friqués. Il n’y aura bientôt plus un seul Parisien de souche à Paris.
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