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À combien est-il possible d'emprunter ? Quelles sont les nouvelles mesures qui vont impacter la capacité d'emprunt des ménages ? (Crédit photo: ©  harbucks- stock.adobe.com)

À combien est-il possible d'emprunter ? Quelles sont les nouvelles mesures qui vont impacter la capacité d'emprunt des ménages ? (Crédit photo: © harbucks- stock.adobe.com)

À combien est-il possible d'emprunter ? Quelles sont les nouvelles mesures qui vont impacter la capacité d'emprunt des ménages ? (Crédit photo: © harbucks- stock.adobe.com)
Par MoneyVox,
Emprunter n’a jamais coûté aussi peu cher. Ce discours entendu depuis des mois semble encore se vérifier en ce début 2021. Les taux immo sont même en train de baisser de nouveau . À combien est-il possible d’emprunter ? Quelles sont les nouvelles mesures qui vont impacter la capacité d’emprunt des ménages ? Voici l’exposé complet de la situation.
« 2021 a très bien débuté avec des taux de crédits qui sont globalement en baisse et battent tous les records y compris ceux de 2019 », expliquait récemment Maël Bernier, directrice de la communication du courtier Meilleurtaux. Le mois de février confirme cette tendance puisque les taux d’intérêt moyens sont de 0,82% sur 15 ans, de 1,02% sur 20 ans et de 1,28% sur 25 ans, d’après les barèmes des banques transmis à Meilleurtaux. Mais il est possible d’obtenir mieux encore.
Les meilleurs profils sont particulièrement courtisés. Cette mise en concurrence leur est bénéfique avec des taux d’intérêt affichés qui peuvent atteindre 0,67% sur 20 ans et 0,92% sur 25 ans. Philippe Taboret, directeur général adjoint de Cafpi, explique ce contexte : « Ces taux particulièrement avantageux, sont le signe que les banques restent agressives dans leur conquête de nouveaux clients ».
Qui sont ces Français que se disputent les banques ? Ceux que l’on appelle « les meilleurs profils », sont des ménages ayant à la fois une capacité d’épargne importante, une situation professionnelle stable (CDI ou fonctionnaires), un taux d’endettement limité et un apport conséquent. Ce dernier point est d’ailleurs une des premières questions posées par les conseillers bancaires. Apporter 15% ou plus du projet d’achat est particulièrement apprécié. Toutefois, même sans apport ou avec des revenus modestes, il est tout à fait possible de souscrire un crédit immobilier à un très bon taux, ce que confirme Julie Bachet, directrice générale de Vousfinancer : « Depuis le mois de décembre, on note un élargissement de la cible des emprunteurs qui peuvent en bénéficier, qui ne sont pas forcément ceux qui ont les salaires les plus élevés ».
Après avoir durci les conditions d’octroi des financements immobiliers fin 2019, le Haut conseil de stabilité financière rattaché au ministère de l’Economie, a fait machine arrière. En ce début d’année 2021, ses consignes changent la donne pour les emprunteurs. Désormais, le taux d’endettement maximale à ne pas dépasser n’est plus de 33%, mais de 35%. De plus, pour des achats de biens immobiliers neufs en VEFA, la durée du financement pourrait être poussée jusqu’à 27 ans, au lieu de 25 ans jusqu’ici. Conjointement à la baisse des taux d’intérêt, ces annonces ont pour effet d’augmenter la capacité d’emprunt des futurs propriétaires. Concrètement, il serait ainsi possible d’emprunter jusqu’à 10% de plus par rapport à l’année dernière, selon Sandrine Allonier, porte-parole de Vousfinancer. Seule ombre au tableau : les banques devront prendre en compte les cotisations d’assurance emprunteur dans le calcul du taux d’endettement, chose que toutes ne faisaient pas jusqu’à présent, et qui pourrait bien pénaliser certains emprunteurs.
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Quand je vois des individus, cadre parait-il, écrire deux lignes et faire deux fautes et réclamer un taux plus que 1.5% sur 25 ans, de qui se moque-t-on ? 1.5% ! Qu’ils empruntent sur 15 ans, on sera aux alentours de 1%. Mais bon, quand on n’a pas les moyens, on ne peut pas envisager cette durée… Les taux seraient à 0.5% sur 25 ans, ce serait encore trop élevé. Par contre, les 8% de frais de notaire ne les choquent pas…
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