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L’éphémère présidente du réseau immobilier Barnes France, qui a quitté ses fonctions avec fracas en juin 2019, réclame 1,6 million d’euros de dommages et intérêts à son ancien employeur.
Par Guillaume Errard
Mis à jour le
Publié le
Barnes 1-Virginie Calmels 0. Deux ans et demi après avoir claqué la porte du réseau immobilier de luxe, l’ex-numéro 2 des Républicains a été déboutée par la justice dans son procès contre son ancien employeur où elle avait occupé, pendant seulement trois mois, les fonctions de présidente de Barnes France et de CEO (directrice générale). Contacté par Le Figaro, Barnes a confirmé cette information de la Lettre de L’Expansion.
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Au cœur du bras de fer entre les deux parties, des «manquements», des «dysfonctionnements» ainsi que des «risques face à certaines pratiques constatées», relatés par Virginie Calmels dans un rapport remis au comité stratégique du groupe Barnes. Pour justifier son départ, l’ancienne adjointe d’Alain Juppé à la mairie de Bordeaux avait en effet évoqué des «dissensions majeures» avec les actionnaires et des «risques de requalifications en fraudes fiscales massives, abus de biens sociaux, évasion fiscale ou encore fausse facture». Des déclarations que Barnes avait qualifiées de «fausses, infondées et susceptibles de faire l’objet de poursuites en diffamation».
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Le réseau immobilier de luxe, fondé par Thibault de Saint-Vincent qui a repris les fonctions de Virginie Calmels, se réjouit que «le tribunal a repris la décision de la Cour d’appel de Paris, en date du 16 septembre 2020, qui affirmait que “dans cette affaire, aucun élément ne laisse présumer la fraude dont était suspectée la filiale BGL du groupe Barnes“». À la suite de cette décision, la Direction du contrôle fiscal avait même confirmé, le 3 juin 2021, que le contrôle fiscal du groupe Barnes et ses filiales n’avaient donné lieu à aucun redressement.
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Virginie Calmels, qui réclamait pas moins de 1,6 million d’euros de dommages et intérêts en plus de ses indemnités de licenciement au groupe Barnes, a fait appel de ce jugement. Contactée par Le Figaro, l’ancienne adjointe d’Alain Juppé à la mairie de Bordeaux n’a pas répondu à notre demande. Depuis février 2020, soit 8 mois après avoir quitté Barnes, Virginie Calmels préside une école numérique dédiée aux industries créatives et au marketing digital et située à Boulogne-Billancourt (92).
Services :
Juste Ciel
Manque un renseignement : quel était l’intérêt ou le calcul de Barnes en l’embauchant ?
Hubert de la Quatrerie
Une roturière sans aucun savoir vivre…ni savoir faire d’ailleurs.
Une punaise en somme.
milos33
Le summum de la médiocrité alliée à la rapacité… Nulle sur toute la ligne

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