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Il ne s’est pas fait prier pour poser avec le maillot vert. C’était comme s’il avait pris la machine à remonter le temps.
« La boule à zéro » à la Barthez, la petite barbe qui va bien, Loïc Chavériat est resté le même qu’il y a 12 ans à son arrivée à l’ASSE. Toujours aussi sympa et souriant. Il y a quinze jours, c’est lui qui donnait le coup d’envoi du match amical contre Béziers.
À Mèze, charmant petit village qui borde l’étang de Thau, il est chez lui. C’est là qu’il s’est « posé » avec sa famille une fois sa carrière terminée.
Après « Sainté » (de 1999 à 2001 en D1 puis en 2002-2003 en L2), Lausanne, Nîmes et Louhans-Cuiseaux (son club formateur), l’enfant de Mâcon, qui fêtera bientôt ses 35 ans, a mis le cap sur le Languedoc-Roussillon. Sète en National, Béziers qu’il a fait monter en CFA et aujourd’hui Mèze, en promotion de district, juste pour le plaisir de jouer et « s’amuser avec les copains ». La semaine, il travaille dans l’immobilier. En attendant que d’autres portes veuillent bien s’ouvrir à nouveau : « J’aimerais revenir dans le milieu du foot. Ça me manque toujours ».
En voisin, il va souvent voir briller Montpellier à la Mosson mais son équipe de cœur est ailleurs. Plus au nord : « L’ASSE était déjà mon club avant que j’arrive, ça l’est resté après mon départ. Je suis toujours fan des Verts ». Faute de pouvoir se replonger régulièrement dans le Chaudron (la dernière fois c’était en Coupe d’Europe contre le Maccabi Tel Aviv), il les suit derrière son écran de télévision. Façon supporter : « Je suis vraiment ravi du jeu qu’ils produisent, de l’envie et de la générosité qu’ils affichent. Ce sont les valeurs de Saint-Etienne. C’est une équipe assez jeune qui est bien encadrée, avec des joueurs comme Batlles, Marchal, Mignot, Clément… J’espère qu’on va pouvoir travailler dans la durée, la continuité. Pour Saint-Etienne, le mot d’ordre c’est la stabilité. En plus, je trouve que Christophe Galtier fait du très bon boulot. Il les fait progresser. On le voit au fil des matchs ». Alors jusqu’où ces Verts-là peuvent-ils bien aller ? « Je les vois finir dans les sept premiers, ils en sont capables. Défensivement on commence à être solide, les marques sont prises, il faut juste qu’ils soient efficaces offensivement et qu’ils débutent bien l’année. Les mois de janvier, février, dictent souvent la suite ».
Ça a bien commencé avec cette victoire contre Sochaux. Reste maintenant à faire chuter un cador du championnat : « Il faudrait faire un gros coup à domicile contre Lyon ou Marseille ».
Il leur manque encore ce match de légende comme Loïc, qui est resté très proche de Patrick Guillou, a pu en vivre lors de la saison 1999-2000 dans le sillage du duo Alex-Aloisio : « Mes grands souvenirs c’est le 5-1 contre Marseille (il avait remplacé Alex à la 75e minute) ou encore la victoire 5-4 sous la neige face à Montpellier. C’est plus personnel mais il y a eu aussi ce but que j’avais marqué contre l’Inter Milan en amical. Tout cela est ancré à vie ».
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