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Le gestionnaire vaudois de fortune Cronos Immo Fund a levé quelque 31 millions de francs dans le cadre d’une augmentation de capital. Plus de 273’000 nouvelles parts ont été émises
L’opération a rencontré un “vif écho” auprès des investisseurs puisque l’ensemble des titres nouvellement émis a trouvé preneur, un succès dans lequel l’entreprise basée à Pully voit “un signe clair de confiance”, selon un communiqué.
Le prix du droit de souscription préférentiel coté sur SIX Swiss Exchange entre le 28 novembre et le 7 décembre a évolué entre 1 et 12 centimes durant cette période, pouvait-on lire vendredi sur le site internet de la société.
Le produit de l’émission sera utilisé pour le financement des constructions en portefeuille, l’acquisition de nouveaux immeubles et la rénovation des immeubles les plus anciens du parc, ainsi qu’à des fins de désendettement.
Le portefeuille du fonds, orienté vers l’immobilier résidentiel en Suisse romande, est composé à 90% de logements.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Voici 20 ans, un encaveur du Vully et sa femme russe ont créé un vignoble au sud de la Russie sur les traces des pionniers suisses. Naviguant désormais entre pays inamicaux, Renaud et Marina Burnier ne pouvaient faire autrement que de poursuivre leur travail.
A la suit des événements en Ukraine, “depuis le 24 février, beaucoup d’étrangers ont quitté la Russie”, raconte Renaud Burnier à Keystone-ATS. Mais “un vignoble, ce n’est pas une échoppe de montre ou un magasin de chocolat que l’on peut fermer pendant six mois. C’est comme un enfant: on ne l’abandonne pas”.
Comme les vignerons vaudois de Chabag il y a 200 ans, le Vulliérain de Nant (FR) a amené tout son savoir-faire à Natouhaevskaia, où la tradition viticole s’était perdue pendant l’ère soviétique. En 2001, après avoir sillonné le sud de la Russie avec son épouse, il découvre la terre de ses rêves à 20 km de la mer Noire près de Novorossijsk. Un terrain à mi-chemin entre le domaine des colons viticulteurs vaudois de Chabag et celui de leurs collègues tessinois de Piatigorsk.
A l’époque, au pays de la vodka, personne ne s’intéressait à la viticulture. Les deux époux travaillent alors d’arrache-pied pour créer un domaine viticole, surmontant d’innombrables obstacles. Ils font tout eux-mêmes, “de A jusqu’à Z”, Renaud à la vigne et Marina à l’administration, au marketing et à la promotion.
Une vingtaine d’années plus tard, leur domaine est bien connu dans l’immense pays. Leur production se monte à 200’000 bouteilles annuelles, vendues aux restaurants, magasins et privés. Leur domaine de 50 hectares emploie une quarantaine de collaborateurs. Aujourd’hui, il est pionnier dans la production de vins de qualité biologique.
Sur place, “nous sommes surpris que personne ne parle de la situation par rapport à l’Ukraine. Rien n’a changé, personne n’a été mobilisé”, relève Renaud Burnier.
Pour la PME, les conséquences des événements se traduisent essentiellement par des difficultés logistiques. “En raison des sanctions, il nous est impossible de faire venir du matériel d’Europe et d’effectuer des paiements entre la Russie et la Suisse”, détaille-t-il.
La société Burnier Russie achète en effet le matériel à la société suisse. “Nous sommes bloqués sur certains produits, comme les barriques”, raconte le Fribourgeois. “Nous avons utilisé les restes de stock pour les vendanges. Pour la suite, c’est un grand point d’interrogation”.
Sans compter que les déplacements se sont complexifiés depuis le 24 février pour rejoindre Novorossisk ou Anapa. Il faut passer par Istamboul ou par Belgrade. “Avant il était possible de faire le voyage en douze heures. Dernièrement, nous avons mis 52 heures pour arriver”.
Le couple navigue ainsi entre deux nations en froid. En Russie, cela s’est notamment traduit par l’abandon d’un projet de congrès pour marquer les 200 ans de l’arrivée des vignerons suisses en Russie. “Aujourd’hui, la Suisse est officiellement un pays hostile pour les Russes”, relève Marina Burnier.
Sur territoire helvétique, où les Burnier produisent 30’000 bouteilles par an, “les gens font souvent la distinction entre le pouvoir et le peuple russe. Mais certains sont en général contre tout ce qui est russe”.
“Le vin est une boisson de dialogue, une boisson de paix”, affirme Renaud Burnier. Il n’a pas de couleur politique. Notre devoir, c’est de continuer à faire du bon vin tout en préservant la nature”. Et de constater “qu’autant la situation géopolitique se péjore, avec des conflits partout dans le monde, autant la nature a explosé cette année: le rendement et la qualité de la récolte étaient exceptionnels”.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Un total de 226’000 voitures ont été immatriculées en Suisse en 2022, soit 12’000 de moins qu’une année auparavant, indique l’association suisse du commerce automobile indépendant (VFAS). Plus de 300’000 nouvelles immatriculations étaient enregistrées avant le Covid.
Les femmes ont acheté 20% des voitures, les hommes 40%, précise la VFAS dans un communiqué diffusé dans la nuit de samedi à dimanche. Le reste concerne des immatriculations professionnelles.
Seule une voiture sur douze nouvellement immatriculées fonctionnait avec une boîte à vitesses manuelle, ajoute le communiqué. La puissance moyenne des nouveaux véhicules était de 208 chevaux-vapeur (CV) et le poids moyen 1,7 tonne.
Une voiture importée sur deux roule désormais à l’électricité ou avec une motorisation hybride. L’évaluation de la VFAS se base sur des données librement accessibles de l’Office fédéral des routes (OFROU).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les CFF vont rénover leurs bâtiments et développer les offres, indique leur directeur Vincent Ducrot. Les petites gares seront remises à neuf pour un demi-milliard de francs au cours des six à sept prochaines années. Les toilettes seront d’abord assainies.
Les gares “doivent devenir plus agréables et plus propres; les passagers doivent s’y sentir à nouveau à l’aise”, précise M. Ducrot dans un entretien diffusé dimanche par la NZZ am Sonntag.
Pour rendre le rail plus attractif, les CFF vont aussi élargir l’offre, souligne leur patron. “A l’avenir, le train doit devenir en Suisse un grand système de RER”, avec un trafic ferroviaire beaucoup plus dense, explique-t-il. “C’est pourquoi nous allons lancer cette année un appel d’offres pour des postes d’aiguillage numériques”. Il faudra toutefois attendre dix à quinze ans pour que le projet soit mis en ½uvre, poursuit-il.
Des tests sont en cours avec un nouveau logiciel de planification des trajets. “Il veille à ce que chaque trajet soit planifié en un seul processus, de la réservation de la ligne à l’heure de départ correcte jusqu’à la programmation des aiguillages du poste d’aiguillage”, relève M. Ducrot. Le coût de l’opération est estimé à un demi-milliard de francs.
Interrogé dans Le Matin Dimanche, le Fribourgeois note que les CFF ont retrouvé 90% des pendulaires de la période précédant le Covid-19. Mais le trafic pour les loisirs est en revanche au-dessus de celui de 2019, ajoute-t-il. “Les habitudes changent: on se déplace moins pour son travail et plus pour ses loisirs. Les CFF doivent accompagner les tendances du marché”. Cette situation implique par exemple davantage de liaisons à court terme lors de grandes manifestations ou par beau temps, précise-t-il dans la NZZ am Sonntag.
Mais le développement du rail n’est pas une garantie de confort à tout moment, avertit M. Ducrot dans le journal alémanique. “Aucun système de transport ne peut être conçu en permanence pour couvrir les pics de trafic”. Selon lui, il faut accepter qu’il y ait des cohues et parfois de devoir rester debout dans le train.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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2022 aurait dû être une année de célébration, celle de la colonie de Chabag fondée il y a 200 ans par des vignerons vaudois au bord de la mer Noire. Mais la guerre en Ukraine a bouleversé la donne. Dans le canton de Vaud, une pièce de théâtre a sobrement marqué l’anniversaire.
Partis en été 1822 de Vevey (VD), ils furent trente à entreprendre un périple de 2500 km en direction des bords du delta du Dniestr pour échapper à la pauvreté. Par l’entremise de son ancien précepteur Frédéric-César de la Harpe, le tsar de Russie Alexandre 1er avait en effet accordé aux Vaudois des terres conquises sur les Ottomans et certains privilèges.
Leur voyage a duré plus de trois mois. A bord de chars tirés par des chevaux, la petite troupe venant de Chexbres et Rivaz a traversé l’Europe, passant par St-Gall, Munich, Vienne et Brno sur des routes cahoteuses afin d’arriver avant les grands froids de l’hiver.
Emmenée par le cultivateur et botaniste Louis-Vincent Tardent, elle a atteint son objectif: Chabag en Russie, devenu aujourd’hui Shabo en Ukraine, un village situé à l’embouchure du fleuve Dniestr, environ 70 km au sud-ouest d’Odessa.
“Paradoxe de l’histoire, aujourd’hui ce sont les Ukrainiens qui trouvent refuge en Suisse”, souligne le journaliste Olivier Grivat, auteur du livre “Vignerons suisses de la mer Noire”, qui retrace l’épopée de ces colons.
Vivant en deux siècles de multiples péripéties, des mauvaises récoltes à la peste en passant par une annexion, les colons ont joué un rôle de pionnier à Chabag. Ils ont développé la culture de la vigne et du vin et ont produit un nectar de qualité.
Après le traité de Versailles de 1919, la colonie située en Bessarabie passera en mains roumaines. Elle subsistera jusqu’en 1940, au moment de l’arrivée de l’Armée rouge. Beaucoup de descendants des colons s’enfuiront ou trouveront la mort dans des camps. Si aujourd’hui, il ne reste que peu de traces des pionniers suisses, la culture viticole a cependant subsisté.
En Suisse, le bicentenaire a été marqué par une pièce de théâtre relatant l’émigration des premiers colons sur la base de leurs journaux de voyage, explique Olivier Grivat, auteur du texte. “Le tout a été mis sur pied sans les autorités vaudoises qui ont boudé la première à Chexbres”, déplore-t-il. L’ambassadeur de Suisse à Kiev, le syndic et quelques députés étaient présents.
Mise en scène par Gérard Demierre, la pièce a ensuite été jouée dans plusieurs communes vaudoises, mais aussi en Bulgarie à Varna. Pour l’Association du bicentenaire de Chabag, la réussite a finalement été au rendez-vous, note M. Grivat.
En 2012, nombre de politiciens de tous bords s’étaient rendus sur place à Shabo, à l’invitation du consul honoraire de Russie dans le canton de Vaud, se remémore-t-il. Par la suite, en 2019, “le chariot Tardent”, un monument dédié aux premiers colons a été inauguré à Chexbres.
Aujourd’hui, même si le domaine de Shabo, qui couvre une surface égale au Lavaux, s’est modernisé, il s’inspire toujours des méthodes suisses de l’époque, avait rappelé à cette occasion Giorgi Iukuridze, directeur et fils du propriétaire de Shabo-Wine. Sur place, un centre culturel, qui accueillait avant la guerre quelque 50’000 visiteurs annuels, raconte l’histoire des colons helvétiques.
Le livre de Charles Tardent, “Viticulture et Vinification” (1854), publié par le fils du fondateur de la colonie, reste par ailleurs une bible. “On le trouve encore”, rapporte Marina Burnier, du domaine viticole du même nom.
Keystone-ATS a tenté sans succès de joindre Shabo-Wine à plusieurs reprises. En septembre, son directeur expliquait dans une interview à Wine Business International que, comme le reste de l’Ukraine, la société traversait des moments difficiles, mais qu’elle faisait de son mieux pour soutenir son pays.
Au chapitre des difficultés, Giorgi Iukuridze évoquait entre autres les incertitudes, la mobilisation des employés, la fermeture de nombreux restaurants, un marché du vin diminué de moitié. Sans oublier les problèmes de logistique, la destruction des entrepôts, le prix du verre, le manque de matériaux essentiels à la production.
La fermeture du principal marché à l’exportation, la Russie, consiste également un gros problème, ajoute Olivier Grivat.
Les vendanges 2022 ont néanmoins été réussies, a annoncé récemment le directeur de Shabo-Wine sur les réseaux sociaux. Il relève que les vignes ont été préservées et que la récolte est “unique et géniale”. Le vin de l’entreprise est vendu dans 20 pays, du Japon au Brésil, en passant par la Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le mastodonte du négoce des hydrocarbures Vitol, basé à Genève, a annoncé vendredi avoir vendu sa participation dans le projet pétrolier russe Vostok Oil à l’émirati Fossil Trading. Le montant de la transaction n’a pas été divulgué.
Le groupe genevois détenait sa participation dans Vostok Oil par l’intermédiaire d’une coentreprise avec son homologue Mercantile & Maritime Group. La décision pour cette cession avait été prise en juillet, a précisé Vitol dans un bref communiqué.
Vostok Oil est un vaste projet pétrogazier dans l’Arctique russe qui prévoit de produire entre 50 à 100 millions de tonnes de pétrole par an à pleine capacité. Les réserves totales de ce projet sont estimées à 2,6 milliards de tonnes. Selon l’agence Bloomberg, Vitol et Mercantile & Maritime Group avaient acquis en 2021 une participation de 5% pour 3,5 milliards d’euros.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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