Le Sud et le Sud-Ouest confirment leur attractivité auprès des acquéreurs de biens neufs. Une tendance qui devrait se poursuivre selon Jean-Brice Soler, co-dirigeant de Pierre Azur Immobilier.
C’est un marché dynamique sur lequel nous réalisons environ 150 ventes chaque année. Actuellement, le prix moyen au mètre carré d’un bien neuf s’établit autour de 4 000 euros dans l’ensemble de la région. Ces derniers mois, nous avons cependant observé une hausse importante, notamment à cause de la pénurie de matériaux. La mise en place de la RE 2020 a également impacté le prix de l’immobilier dans la région. Les constructeurs doivent, en effet, tenir compte de ces nouvelles normes environnementales dans leurs projets. La fin de l’année 2021 a été compliquée, car beaucoup de dossiers de permis de construire ont été refusés et reportés à cette année. L’année 2022 apparaît déjà comme très prolifique.
La plupart de nos clients ont entre 45 et 65 ans et ont déjà terminé de payer leur emprunt immobilier pour leur résidence principale. Ils souhaitent maintenant acquérir un logement secondaire pour les vacances et la retraite.
Globalement, le prix et l’affection pour une commune ou un territoire sont les deux critères principaux lorsqu’il s’agit de choisir l’emplacement de son bien neuf. C’est donc très variable en fonction des clients. Cependant, le bord de mer et ses environs demeurent très souvent recherchés, à la fois pour la résidence secondaire et pour l’investissement locatif.
En matière de VEFA, le projet ne peut être vendu que sous certaines conditions. En cas de vente sur plan, un programme ne démarre en général que plusieurs mois plus tard. Il faut compter, en moyenne, 3 à 6 mois, car les travaux ne peuvent démarrer qu’à partir du moment où 50 % des lots sont réservés. Le délai pour la construction d’une résidence varie entre 18 et 24 mois.
Dans l’ancien, le prix immobilier à Narbonne est de 2 189 €/m2.
Il faut compter entre 120 000 € à 130 000 € pour un studio de 30 m2 et jusqu’à 600 000 € pour un appartement avec vue sur mer de 100 m2. Un petit chalet en bois coûte, quant à lui, entre 150 000 et 300 000 €.
Il ne faut surtout pas acheter sans venir voir le terrain et faire un état des lieux complet du bien. L’emplacement demeure le critère essentiel lors de l’achat d’un bien immobilier.
En matière d’immobilier, il n’y a pas vraiment de saisonnalité. Nous réalisons des ventes toute l’année, avec un ralentissement pendant les fêtes de Noël.
Nous avons connu un ralentissement de nos projets avec une forte pénurie de logements neufs. Aujourd’hui, le rythme de vente s’est toutefois accéléré. Les réservations sont plus rapides. Les clients connaissent les garanties apportées par les logements neufs. Ils en apprécient non seulement le confort mais aussi les économies d’énergie possibles.
La montée en gamme des produits devrait se poursuivre. Les clients formulent, en effet, des demandes de prestations que nous ne connaissions pas il y a 10 ans. Par ailleurs, la partie montagne et les secteurs de bord de mer vont continuer à se développer, tout comme la vente de chalets en bois. En parallèle, le marché du neuf se complique, notamment à cause de blocages administratifs. Les terrains constructibles sont de plus en plus rares. Enfin, les projets demandent beaucoup plus d’investigations qu’auparavant. La nécessité de l’intégration au paysage, par exemple, va encore se renforcer dans les années à venir.       
Nous commercialisons depuis bientôt 20 ans des résidences neuves en VEFA en bord de mer, notamment des résidences principales et secondaires, en partenariat et en exclusivité avec des promoteurs régionaux
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