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PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE
Le prix médian d’une maison unifamiliale a grimpé de 20 % depuis février dernier pour atteindre 550 000 $ le mois dernier, tandis que celui des copropriétés a augmenté de 16 % à 395 000 $.
(Québec) Les ventes de propriétés résidentielles à Montréal ont diminué de 12 % en février par rapport au même mois l’an dernier, alors que le marché était aux prises avec un manque d’inscriptions, a indiqué jeudi l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).
Un total de 4399 maisons ont changé de mains le mois dernier dans la région métropolitaine, ce qui représentait une baisse par rapport aux 5025 transactions de février 2021.
L’APCIQ a attribué le ralentissement au fait que l’activité du mois de février de l’an dernier avait été « hors du commun », et a noté que les ventes du mois dernier étaient conformes au niveau moyen des ventes observé en 2016.
Les nouvelles inscriptions se sont dénombrées à 5899 le mois dernier, en baisse de 4 % par rapport aux 6130 nouvelles inscriptions enregistrées en février l’an dernier.
Le prix médian d’une maison unifamiliale a grimpé de 20 % depuis février dernier pour atteindre 550 000 $ le mois dernier, tandis que celui des copropriétés a augmenté de 16 % à 395 000 $.
Le directeur de l’analyse de marché de l’APCIQ, Charles Brant, a souligné que la pression sur les prix demeurait élevée, ajoutant qu’il s’attendait à un relâchement après que la Banque du Canada a relevé le taux d’intérêt à 0,5 %, cette semaine.
« La décision de la Banque du Canada de débuter son processus de hausse du taux d’intérêt directeur, le 2 mars, marquera assez probablement le début d’une modération de l’excès de demande de propriétés pour le restant de l’année et un apaisement progressif du nombre et de l’intensité des situations de surenchère », a-t-il expliqué dans un communiqué.
L’entrée en vigueur de nouvelles dispositions fiscales sur la revente précipitée de propriétés immobilières va décourager les adeptes de cette pratique controversée, estime un expert du domaine, surtout dans un contexte de ralentissement de l’activité immobilière et de baisse de prix.
(Toronto) Après l’escalade des prix des dernières années sur le marché immobilier, les acheteurs espèrent que la chance jouera en leur faveur en 2023.
Qu’ont en commun Cascades, Petro-Canada, Divco, Broccolini, Montoni, Kevlar, Syscomax et Brasswater ? Ils ont tous investi dans les parcs industriels de Salaberry-de-Valleyfield ces dernières années.
Les ventes de propriétés résidentielles ont diminué de 39 % le mois dernier dans la région montréalaise, par rapport à la même période un an plus tôt, atteignant leur plus faible niveau depuis 2014 pour un mois de décembre, a indiqué jeudi l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).
(Toronto) Les ventes de propriétés résidentielles réalisées en décembre dans le Grand Toronto ont quasiment diminué de moitié par rapport au même mois un an plus tôt, la région ayant clôturé 2022 avec un « ajustement marqué » par rapport aux niveaux records de 2021, a indiqué jeudi la chambre immobilière de la métropole.
D’un point de vue économique, le ciel de 2023 est rempli de nuages noirs. Mais après la pluie vient le beau temps, dit l’adage, et l’équipe de La Presse Affaires s’est efforcée de regarder au-delà de ces nuages pour trouver les éclaircies. Aujourd’hui : l’immobilier
(Vancouver) Les ventes et les prix des propriétés résidentielles ont poursuivi leur chute en décembre dans le Grand Vancouver, diminuant respectivement de 52 % et 3 % par rapport au même mois l’an dernier, a indiqué mercredi la chambre immobilière de la région.
(Vancouver) La Colombie-Britannique est devenue la première province du Canada à exiger une pause de trois jours pour les acheteurs après la signature d’un accord d’achat d’une propriété résidentielle.
(Montréal) L’achat de propriétés résidentielles canadiennes est désormais interdit aux investisseurs étrangers pour une période de deux ans. Le gouvernement fédéral souhaite de cette façon stabiliser un marché immobilier fragilisé par la pandémie.
Chaque samedi, un de nos journalistes répond, en compagnie d’experts, à l’une de vos questions sur l’économie, les finances, les marchés, etc.
(Calgary) Alors que le marché locatif déjà effervescent du Canada devrait subir encore plus de pression en 2023, les experts conseillent aux locataires de se prémunir contre la « rénoviction » en se renseignant sur leurs droits.
(Ottawa) Les ventes de propriétés résidentielles au Canada ont diminué de 3,3 % en novembre, par rapport au mois d’octobre, en données désaisonnalisées, a indiqué jeudi l’Association canadienne de l’immobilier (ACI).
Le porte-parole de DuProprio, Martin Desfossés, redevient courtier immobilier après avoir été pendant 15 ans l’une des têtes d’affiche de l’entreprise de service de vente sans courtier immobilier. Le spécialiste en immobilier entreprend sa nouvelle aventure dans l’équipe Remax Bonjour.
(Toronto) Le coût mensuel moyen de la location d’un logement au Canada a atteint le sommet record de 2024 $ en novembre, selon de nouvelles données, et des experts affirment que la tendance à la hausse ne montre pas de signe d’essoufflement imminent.
Le marché de la revente résidentielle se rapprochera de l’équilibre l’an prochain, prévoit le regroupement des courtiers immobiliers.
Selon l’agence immobilière Royal LePage, le prix des propriétés a reculé de près de 7 % à Montréal depuis son sommet d’avril dernier. Il continuera de baisser au premier semestre 2023, mais d’à peine 3 %, selon ses plus récentes prévisions.
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