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Une maison à vendre sur le territoire de Saguenay.
Photo : Radio-Canada
Le marché de l’immobilier de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Saguenay a connu un recul de 37 % au cours du dernier trimestre de 2022 par rapport à l’année dernière. Avec un prix médian de 237 000 $ pour une résidence unifamiliale, il s’agit toutefois de la RMR la moins dispendieuse au Québec.
Selon le récent rapport de l'Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ), on dénombre 212 ventes au cours du dernier trimestre, comparativement à 337 l’année dernière au même trimestre, ce qui représente une baisse de 125.
Pour l'ensemble de l’année 2022, ce sont 1324 ventes d'unifamiliales, de condos et de plex qui ont été réalisées, ce qui représente une baisse de 17 % par rapport à 2021.
Malgré cette baisse, la valeur des ventes a augmenté de 8 %, passant d’un prix moyen de 236 000 $ à 254 000 $ pour une résidence unifamiliale, dans la région métropolitaine de Saguenay, qui comprend les municipalités de Saguenay, Bégin, Saint-Charles-de-Bourget, Saint-David-de-Falardeau, Saint-Félix-d'Otis, Saint-Fulgence, Saint-Honoré et Sainte-Rose-du-Nord.
À l’échelle du Québec, le marché a aussi connu une baisse par rapport à l’année précédente, avec un recul de 20 %.
Selon l’APCIQ, il faut néanmoins mettre en contexte cette baisse, puisque l’année 2022 se positionne au-dessus de la moyenne pour la dernière décennie.
Le prix des résidences de la RMR de Saguenay a connu sa plus forte hausse dans l’arrondissement de Chicoutimi. Le prix moyen est passé en 2022 de 244 000 $ à 308 000 $, soit une hausse de 27 %, pour une unifamiliale. 
Depuis cinq ans, le prix moyen des résidences unifamiliales a augmenté de 44 %.
Le taux d'inoccupation est actuellement de 1,7 %, comparativement à 3,7 % à l’année dernière.
Selon le directeur du Service de l’analyse de marché de l’APCIQ, Charles Brant, les conditions de marché demeurent tout de même favorables aux vendeurs.
Charles Brant est directeur du Service de l’analyse du marché de l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).
Photo : Radio-Canada
L’ampleur et la rapidité de la hausse des taux d’intérêt ont commencé à se matérialiser lors du troisième trimestre de l’année. On observe alors un net recul de la capacité des acheteurs à se qualifier pour obtenir un financement hypothécaire […]. Il est intéressant de constater que les conditions de marché ne se dégradent que très progressivement au quatrième trimestre, malgré la baisse accentuée des ventes. Elles demeurent toujours nettement favorables aux vendeurs, a-t-il commenté, par communiqué.
Selon l'APCIQ, il faut en moyenne 45 jours pour vendre une maison actuellement au Saguenay, comparativement à 71 jours pour l’année dernière.
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