Pour soutenir votre journalisme local, abonnez-vous !
Pourquoi voyez-vous ce message ?
Vous avez choisi de refuser le dépôt de cookies, vous pouvez à tout moment modifier votre choix, ici.
Le contenu de ce site est le fruit du travail de journalistes qui vous apportent chaque jour une information locale de qualité, fiable, complète, et des services en ligne innovants. Ce travail s’appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l’abonnement.
Déjà abonné ?
Pour pouvoir enregistrer un article, un compte est nécessaire.
Chalon Sur Saône
mer. 11/01/2023
Si vous voyez ce champ, ne le remplissez pas
Le Journal de Saône et Loire, en tant que responsable de traitement, recueille dans ce formulaire des informations qui sont enregistrées dans un fichier informatisé par son Service Relations Clients, la finalité étant d’assurer la création et la gestion de votre compte, ainsi que des abonnements et autres services souscrits. Si vous y avez consenti, ces données peuvent également être utilisées pour l’envoi de newsletters et/ou d’offres promotionnelles par Le Journal de Saône et Loire, les sociétés qui lui sont affiliées et/ou ses partenaires commerciaux. Vous pouvez exercer en permanence vos droits d’accès, rectification, effacement, limitation, opposition, retirer votre consentement et/ou pour toute question relative au traitement de vos données à caractère personnel en contactant jslventesweb@lejsl.com ou consulter les liens suivants : Protection des données, CGU du site et Contact. Le Délégué à la Protection des Données personnelles (dpo@ebra.fr) est en copie de toute demande relative à vos informations personnelles.
L’édition du soir en numérique dès 21h30 Le journal en numérique dès 5h Accédez à tous les contenus en illimité
Chalon Sur Saône
mer. 11/01/2023
Retrouvez tous nos contenus et notre journal en numérique
Téléchargez gratuitement l’app
Vous voulez faire appel à un professionnel de l’immobilier pour vendre votre bien ? Vous avez le choix entre trois contrats. Chacun a sa spécificité.
Un mandat de vente donne à un tiers, une agence immobilière par exemple, le pouvoir de négocier la vente d’un bien immobilier. Photo Adobe Stock
Lorsque l’on n’habite pas sur place ou que l’on manque de temps, on peut solliciter l’aide d’une agence immobilière pour vendre son bien. Il faut alors signer un mandat de vente avec elle.
Il s’agit d’un contrat par lequel une personne (le mandant) donne à une agence immobilière par exemple (le mandataire) le pouvoir de négocier la vente de son bien immobilier en son nom et pour son compte.
« Chaque contrat a ses spécificités mais doit obligatoirement mentionner la durée du mandat, le montant des honoraires, le prix du bien, etc. », indique la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim), premier syndicat d’agences immobilières de France.
Ce contrat, qui lie un vendeur et une agence immobilière, laisse la possibilité au vendeur de vendre lui-même son bien et de faire appel à d’autres professionnels de l’immobilier.
Si le vendeur vend lui-même son bien, il n’a pas d’honoraires à régler aux agences immobilières mandatées, à moins que certaines aient déjà fait visiter le logement à l’acheteur…
« Une méthode qui semble intéressante mais qui motivera moins les professionnels mis en concurrence et qui risque de s’avérer finalement inefficace », remarque la Fnaim.
S’il signe un mandat semi-exclusif, le vendeur peut trouver un acheteur lui-même, mais ne peut confier la vente qu’à une seule agence immobilière.
L’accord peut prévoir le paiement en partie des honoraires de l’agence (en général réduits de moitié) même si c’est le vendeur qui a trouvé l’acquéreur.
Dans le cadre de ce contrat avec une agence immobilière, le vendeur s’engage à ne pas vendre le bien par ses propres moyens et à ne pas faire appel à un autre professionnel. L’exclusivité de la vente est donc donnée à un seul agent immobilier. Celui-ci doit tout mettre en œuvre pour réussir la vente : publier une annonce immobilière, faire visiter le bien… Ainsi, il est « fortement mobilisé pour parvenir à la vente le plus rapidement possible », souligne la Fnaim.
Si la clause d’exclusivité consentie à l’agence n’est pas respectée par le vendeur, celui-ci s’expose à payer au professionnel de l’immobilier « une indemnité forfaitaire à titre de clause pénale du montant de ses honoraires (mentionnée en caractères très apparents dans le mandat) », observe la Fnaim.
À savoir, la durée d’un mandat exclusif ne peut pas excéder trois mois. Au-delà, si le bien n’a pas été vendu, le contrat peut être résilié. Depuis la loi Alur de 2014, les reconductions tacites des mandats exclusifs sont interdites.

source

Catégorisé: