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CHRONIQUE – Depuis 1974, la mobilité ne cesse d’augmenter avec le coût du logement.
Entre des ressources limitées – véritable malédiction divine – et nos désirs inextinguibles, la vie économique a toujours été l’art de faire des choix. Cette triste vérité est plus actuelle que jamais avec l’envolée des prix à la consommation bien supérieure à la progression des revenus. Faire le plein de carburant ou remplir son Caddie? Voilà la question, insoluble pour beaucoup, et qui résume bien notre climat social.
L’arbitrage est d’autant plus douloureux que l’inflation des produits alimentaires n’a rien à envier à celle des biens énergétiques. Certes, les prix des carburants, du gaz et de l’électricité, mêmes «capés» par les boucliers tarifaires et autres ristournes, ont bondi de 17,9% sur les douze derniers mois. C’est bien plus que la hausse de 9,9% de l’alimentation. Mais dans la mesure où celle-ci a un poids deux fois plus important que l’énergie dans le budget des ménages (respectivement 16,49% et 8,96%), le secteur alimentaire s’avère le fauteur d’inflation numéro un aujourd’hui…
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Rebelle83700
le
Je comprends parfaitement ces gens qui ne supportent plus de vivre dans une HLM misérable dans un quartier tout aussi misérable. Avec agressions, etc.
Geneviève Meunier-dumont
le
” cette France de la bagnole ( vieille et au diésel , de la canette de bière et de la clope ) ” qui se lève à 05 plombes pour aller bosser pour un salaire de misère
Demain il fera nuit
le
Les Tuche préfèrent vivre dans leur maison de 105m2 dans un lotissement où les terrains de 550m2 sont alignés en rang d’oignons, tout ça à 10km de la ville moyenne la plus proche…. Qu’ils assument leur choix de vie !
Le constructeur automobile a perdu 69% de sa valeur boursière depuis le début de l’année, et 44% en décembre seulement.
Le CBD ne représente pas un «risque pour la santé publique justifiant une interdiction générale et absolue», indique la décision du Conseil.
Ce chiffre, porté par les pressions inflationnistes, n’avait pas été atteint depuis dix ans.
Jean-Pierre Robin: «Cette “France de la bagnole” obligée de rouler pour pouvoir se loger»
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