Sur le plan professionnel, Pascal Pessiot avait réussi dans l’immobilier puis à la tête de la Société française de casinos. Il avait été pilote automobile, notamment sur les 24 heures du Mans. Sur le plan personnel, il était de toutes les soirées libertines du Cap d’Agde et en organisait également, avec son épouse, Katia.
Echangisme, fétichisme, sadomasochisme, scatophilie… le couple s’adonnait à toutes les expériences. Rien de bien répréhensible jusque-là, si ce n’est que dans l’intimité, Pascal Pessiot se livrait également à des viols et agressions sexuelles sur des enfants de proches et détenait plus de 80 000 images pédopornographiques. De plus, il exposait ses jumelles à une sexualité à outrance.
Le procès a révélé que Pascal Pessiot et son épouse Katia vivaient avec l’amant de cette dernière, un homme soumis qu’elle aimait à promener en laisse comme un chien, sanglé de cuir. Les trois comparses vivaient avec les jumelles du couple, les exposant au quotidien à un mode de vie extrêmement porté sur la sexualité.
Il avait d’abord été sous le coup d’une enquête portant sur ces fichiers, téléchargés à longueur de journées, jusqu’à ce que l’enquête dévoile que l’homme avait violé de façon répétée et agressé sexuellement 4 fillettes vivant dans son proche entourage. Les victimes sur lesquelles s’était porté son dévolu étaient trois de ses nièces et la fille de l’une de ses anciennes maîtresses. Il semblerait que son épouse était au courant des agissements de Pascal Pessiot.
Devant la cour d’assises de Paris, Pascal Pessiot était jugé pour viols, agressions sexuelles et détention de plus de 80 000 images pédopornographiques, incluant notamment ses jumelles.
Ces deux dernières semaines, il comparaissait à huis clos devant la cour d’assises de Paris pour répondre de ses actes devant la justice. Le verdict est tombé le vendredi 23 septembre au soir : Pascal Pessiot, 69 ans, qui risquait jusqu’à vingt ans de réclusion criminelle, devra en purger seize. Malgré sa connaissance des fait, son épouse, qui risquait cinq ans de prison, ne fera pas de prison ferme. Pour sa part, l’amant soumis risquait deux ans de prison. Il a été relaxé.
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L’amant soumis a été relâché, pas relaxé. N’oublions pas qu’il était tenu en laisse.
Bonjour !
Quel sens de l’humour !
La rédaction
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