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LES TRADERS FOUS. Il a fait perdre 2,3 milliards de dollars à UBS, la plus grosse perte de trading de l’histoire de la finance britannique.
Temps de lecture : 5 min
La scène se déroule en pleine nuit dans les bureaux londoniens d’UBS, mythique établissement financier helvétique, installé au 1, Finsbury Avenue. Kweku Adoboli, jeune trader ghanéen de 31 ans, est arrêté à 3 h 30 du matin, le jeudi 15 septembre 2011, par des policiers de Scotland Yard venus en nombre. Il est soupçonné d’être à l’origine d’une malversation géante : il aurait fait perdre à la banque suisse 2,3 milliards de dollars…
Huit ans après son embauche, Adoboli franchit une dernière fois le grand porche noir du QG d’UBS, orné de trois clés et des trois lettres rouge vif qui sont la signature de la maison. Son visage apparaît dans les journaux télévisés du monde entier, son père John est sous le choc : « J’ai le cœur brisé. Il est possible qu’il ait fait une erreur ou une faute de j…
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C’est exactement le cas et je suis en accord avec votre commentaire. Cet article est nettement plus explicite sur la situation. Ces traders fous comme ils les définissent, servaient de pions à ces dirigeants scrupuleux et lâches.
Après la STE générale, la banque britannique deux fois centenaire acculée à la faillite, et l’UBS de Londres, trois affaires identiques de trader fou drogue au profit.
Mais qui les y incite si ce n’est l’appétit monstrueux pour les gains rapides de ces mêmes banques ?
Il n’a pas détourné d’argent. Apparemment il y avait un grave défaut de supervision. Comme dans l’affaire Kerviel. C’es traders ont fauté parce que la règle de la confiance n’exclut pas le contrôle n’a pas été appliquée. D’ailleurs le groupe suisse l’a implicitement reconnu puisque le patron du bureau local a été immédiatement remercié.
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