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Pour la 4e année consécutive Explorimmo et Explorimmoneuf ont dressé le palmarès des villes où investir en France en mesurant leur dynamisme économique et leur attractivité immobilière. Cette année, Toulouse se classe première devant Lyon et Nantes.
Par Olivier Marin
Mis à jour le
Publié le
Pour cette 4e édition du palmarès Explorimmo/ Explorimmoneuf des villes où investir, Toulouse l’emporte devant Lyon et Nantes. Viennent ensuite Lille, Bordeaux, Villeurbanne, Montpellier, Nîmes, Grenoble et Le Mans. Pour établir le classement, des indicateurs économiques comme l’évolution de la démographie, l’emploi, la vitalité en matière universitaire mais aussi les critères immobiliers (prix d’acquisition dans l’ancien, dans le neuf, prix des loyers d’un studio, d’un T2, part des investisseurs dans le neuf etc) ont été pris en compte comme chaque année.
La ville de Toulouse séduit à la fois les entreprises, les salariés et les étudiants et dispose d’une attractivité immobilière de premier plan. Résistance des prix et des transactions, projets porteurs, nouveaux éco-quartiers… les atouts ne manquent pas et les investisseurs sont déjà revenus en force dans le neuf. Il faut dire qu’avec des taux d’intérêt historiquement bas, le dispositif d’investissement locatif Pinel présente de solides avantages fiscaux. Acheter pour louer sur 6, 9 ou 12 ans, permet de réduire ses impôts de 12, 18 ou 21 % sur le coût de l’opération. Autre avantage: la possibilité de louer à un ascendant ou un descendant.
Mais au-delà de la rentabilité, l’investissement dans la pierre doit s’envisager sur le moyen et long termes. Il faut avoir en tête cette règle d’or: On n’achète pas un produit, on achète un logement. Il faut toujours privilégier l’emplacement du bien, se rendre sur place, étudier le dynamisme du marché locatif local. Que ce soit dans le cadre d’un placement patrimonial, pour en profiter plus tard ou pour un complément de revenus, l’immobilier reste l’un des meilleurs investissements pour préparer sa retraite.
» Consultez l’intégralité du palmarès sur Explorimmoneuf
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Alice Schmitt
la dernière phrase me fait frémir, “l’immobilier reste l’un des meilleurs investissements pour préparer sa retraite” parlez en donc à Maryvonne 83 ans dont la maison est squattée.
Investir dans l’immobilier, secondaire ou locatif est de la folie pure actuellement en France, n’importe qui peut ne pas payer ou pire squatter chez vous, sans aucun problème, et ça va couter cher mais pas à celui auquel on pense.
Pijay
Bon, lecture faite des commentaires de nos chers lecteurs, j’en déduis qu’il y a une grande majorité de professionnels de l’immobilier dans le coin ! Pour information, si Toulouse a été élue première ville où investir, il y a plusieurs raisons : -la ville (de plus de 100k habitants) avec le plus fort taux d’étudiants => 100.000 nouveaux étudiants / locataires tous les ans – 15.000 nouveaux habitants par ans sur les 15 dernières années
-crise immobilière? Et non, nous ne sommes pas à Paris, Marseille ou Lyon, depuis 2008 4% de baisse de prix seulement et un nombre de transactions stable depuis le début de la crise -des rentabilités nettes (calculées sur 10 mois de loyer) à 5% dans l’hyper centre, jusqu’à 8% dans des quartier, où la valeur patrimoniale est moindre. -des programmes immobilier neufs dans le centre (bord de canal du midi, Jolimont, Busca…), et ville classée en zone B1 pour le conventionnement des loyers -baisse du pouvoir d’achat à cause de la crise? Encore une fois pas à Toulouse, connaissez vous Airbus? Si ce nom vous évoque quelque chose, vous avez sûrement dû entendre que leur carnet de commandes est plein à craquer! Et devinez où est implanté cette petite PME!?! Grace à Airbus, Thalès, Latécoère et autres industries de l’aérospatial, Toulouse est une des rares villes de France avec un salaire moyen en augmentation sur ces dernières années. Après, je veux bien admettre que tout n’est pas rose à Toulouse, mais l’investissement locatif a la forme !
LEGOFF3
Mon commentaire va tenir en plusieurs messages car il sera trop long pour un seul.
Mais je me suis trompé dans la numérotation qui est à l’envers (il faut les lire de 7 à 1 et non l’inverse, ou les copier-coller dans l’ordre (de 7 à 1) sur une page Word pour s’y retrouver. MESSAGE 7 (1 en réalité) : Mon métier ; conseil indépendant en investissements pour la retraite. Certains commentaires sont pleins de bon sens, je vais tenter de les développer : « le retraité, une fois les charges déduites, les travaux exceptionnels, la taxe foncière, doit supporter 15.5 % de CSG/CRDS puis supporter l’imposition dans sa tranche marginale à l’IR ! » Prenons l’exemple d’un logement qui est fini de payer (plus de crédit) dans une copropriété où il n’y a pas de gros travaux, le schéma est à peu près le suivant : pour connaitre le loyer net qui vous reste en poche, il faut en déduire la taxe foncière, les charges non récupérables sur le locataire (souvent 1/3 du total des charges), les assurances et les frais d’agence si vous ne gérez pas vous-même. Ces dépenses représentent généralement entre 1/4 et 1/3 du loyer. Puis, vous serez imposés sur le reste (impôt sur le revenu CSG à 15,5 %).

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