Lire le
journal
Lire le
journal
Se connecter
Dans un cercle urbain à proximité du centre, la Ville de Cavalaire-sur-Mer envisage une future zone de logements et d’équipements publics. Pour cela, elle a signé une convention avec l’EPF-PACA.
Dans le prolongement du centre-ville, la commune a déterminé un secteur, à proximité des écoles, qui sera l’axe de développement majeur de l’urbanisation à moyen terme, souhaité par la municipalité sur le territoire de Cavalaire.
Le vœu de la commune pour cette Zone d’aménagement concerté du Petit-Prince (ZAC): la réalisation d’une opération d’envergure afin de permettre aux actifs locaux de bénéficier de possibilités de logements multiples.
Dans sa version programmatique, le projet vise la création d’environ 300 logements. Parmi ce chiffrage, 40% correspondraient à des logements aidés (locatifs sociaux; accession sociale de type bail réel solidaire), avec un volet en accession libre.
Le programme visera aussi à la relocalisation d’équipements publics.
Le terme de “sobriété foncière” est utilisé pour ce dossier destiné à maîtriser l’urbanisation du futur qui devrait dans le même temps, ouvrir les espaces à la nature, avec une prise en compte des modes doux.
D’où le partenariat noué (approuvé lundi en conseil) avec l’établissement public foncier (EPF PACA) dont la vocation est d’optimiser le foncier par l’acquisition de terrains destinés à la construction de logements sociaux, ou pour la création de nouveaux quartiers, ou encore, l’implantation d’équipements publics.
La Convention d’intervention foncière sur le site de cette ZAC porte donc sur une superficie d’une dizaine d’hectares. Elle bénéficiera d’une enveloppe d’investissements maximale de 10M d’euros.
Concrètement, le tracé validé par les élus intègre l’avenue Pierre-Rameil, axe de connexion entre les groupes scolaires et le centre de la ville.
Le périmètre forme un quadrillage entre le ruisseau de la Castellane (au Nord); l’école élémentaire et les accueils de loisirs (à l’Ouest); le square Albert Gleizes (à l’Est); des propriétés foncières à proximité du centre-ville (au Sud).
Après une dernière phase de négociation très encadrée, le lot n°8 a été concédé à l’EURL Marina Viva.
En marge du conseil, le titulaire de ce lot à la plage du Parc, Eric Duvert (exploitant sortant) a, sans dévoiler l’architecture du futur établissement annoncé “un projet tout nouveau créé de toutes pièces, intégré au site”. Marina Viva devrait recevoir habitués et estivants à partir du mois de juin.
Pour la première fois aussi, une partie de la redevance due par les exploitants sera indexée sur le chiffre d’affaires à hauteur de 1% (à compter de 2023).
7 lots ont déjà été attribués, avec une ouverture espérée pour Pâques, selon une mouture architecturale “bien plus qualitative: « Transparence en direction de la mer, végétalisation, mobilité”, commentera le maire.
Avec des concessions de 9 ans au lieu de 6 en raison d’un plus fort investissement de départ; un dernier lot reste à attribuer, un retard lié à un point de procédure en cours de règlement.
La politique du stationnement payant évolue cette année sur le territoire communal. Face à la pression exercée sur le stationnement dans la cité balnéaire en été, cette période de haute saison a été élargie: elle s’étendra désormais du 1er juin au 30 septembre.
Par ailleurs, la commune procédera à la création d’une zone orange, une 3e zone de stationnement payant concentrée sur le parking du Rivage.
“Solution proposée suite à une enquête auprès des commerçants, avec 66% de réponses favorables”, précise le 7e adjoint Philippe Vandevelde (délégué au domaine public).
Propos confirmé par le maire Philippe Leonelli, dans une volonté de résoudre “ce problème de voitures-tampons qui se garaient trop longtemps sur cet espace”.
“Il y aura toutefois des périodes en gratuit, à la pause méridienne de 12h30à 14h30 cet été”, tempère l’adjoint. [Quant au parking de Pardigon, il sera payant du 15 juin au 15 septembre].
“Rhôooooooooo!”
Vous utilisez un AdBlock?! 🙂
Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.
Et nous, on s’engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

source

Catégorisé: