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Publié le 12/09/2022 à 07:30
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Tandis que l’indice des prix à la consommation (IPC) dépassait les 7% au moment de mener le coup de sonde, les employeurs canadiens comptaient en moyenne accroître de 3,7% les revenus de leur équipe. (Photo: 123RF)
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RHÉVEIL-MATIN. En 2023, le salaire des Québécois pourrait bien bondir en moyenne de 4%, propulsé par la guerre aux talents et les pressions inflationnistes, selon une étude conduite par Normandin Beaudry.
Tandis que l’indice des prix à la consommation (IPC) dépassait les 7% au moment de mener le coup de sonde, les employeurs canadiens comptaient en moyenne accroître de 3,7% les revenus de leur équipe, si l’on n’inclut pas les gels. Notons que l’an dernier, la hausse prévue était de l’ordre de 3,4%, alors que l’IPC tournait autour des 3,5%.
«Il ne faut pas oublier que le salaire des employés augmente annuellement et que cette augmentation a été très souvent au-dessus de l’inflation, nuance l’associée et cheffe de pratique rémunération chez Normandin Beaudry, Anna Potvin. De plus, plusieurs éléments influencent l’établissement d’un budget d’augmentation d’une organisation […] comme le secteur d’activité, la capacité financière de l’organisation, ou le positionnement des employés dans leur structure salariale. L’inflation en est un parmi d’autres».
Dans la 12e édition de ce sondage mené auprès de 427 entreprises québécoises, et 750 à l’échelle du pays, la firme de services-conseils en actuariat et en rémunération globale constate qu’encore une fois, la croissance de ce poste de dépenses dépasse la moyenne historique.
Les gels, eux, semblent perdre en popularité, puisque seul 1% des répondants pensent l’appliquer en 2023. Avant la pandémie, ce chiffre vacillait plutôt entre 3% à 5%.
À l’apparence «modeste», la hausse anticipée en 2023 cache un bond de plus de 5% des revenus des employés prévus au cours de l’année dans 10% des organisations interrogées, précise-t-on dans un communiqué.
«Dans le contexte actuel où l’on parle beaucoup de l’inflation élevée et de la pénurie, plusieurs organisations (parmi nos clients) s’attendaient à des chiffres plus élevés, écrit Anna Potvin. Cela dit, ce sont des projections. Par les années passées, le budget réel octroyé est souvent légèrement plus élevé.»
En effet, les chances sont grandes que ce bond dépasse les prédictions que la société a rapporté: depuis 2018, le budget accordé surpasse toujours celui qui a été anticipé, même en pleine pandémie, peut-on constater dans un graphique fourni par Normandin Beaudry. En 2022, par exemple, les entreprises ont en moyenne augmenté de 1,9% la cagnotte.
Les employeurs se réserveront aussi en 2023 un budget discrétionnaire supplémentaire de 1,4% afin de fidéliser les travailleurs essentiels, récompenser ceux qui performent bien ou encore bonifier les salaires des employés en bas de l’échelle salariale, est-il expliqué dans un communiqué. Notons qu’en 2022, la taille de cette enveloppe a été de 1,9%, et non de 1,2% comme anticipée.
D’ailleurs, plus l’entreprise est petite, plus importantes sont les dépenses prévues pour doper la rémunération de la main-d’œuvre. Au Canada, les PME de moins de 50 salariés tablent sur une hausse de 4,5%, alors qu’elle sera de 4,1% et de 4% respectivement chez les équipes de 50 à 99 employés, et de 100 à 199.
 


 
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