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Gérald Darmanin a annoncé 337 verbalisations et 54 interpellations à Paris. L’opération «convoi de la liberté», qui était interdite, n’a pas été comptabilisée.
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Ce samedi, des milliers de Français se sont mobilisés à Paris, rejoignant la route depuis toute la France en voiture les habituelles manifestations anti-passe du week-end. 
Après 8 heures de mobilisation, la situation reste tendue aux Champs-Elysées, rapportent plusieurs journalistes sur place. La Préfecture de Police de Paris a annoncé une vigilance accrue et que le dispositif serait maintenu pendant la nuit. 

PARIS – Situation toujours tendue sur les #ChampsElysees. Les incidents ont commencé à 13H sans discontinuer depuis. Il est 21H. #convoisdelalibertepic.twitter.com/OdAEcvmK5T

L’interdiction de rassemblement des convois, maintenue vendredi soir par le tribunal administratif de Paris qui a rejeté deux recours, a été confirmée samedi soir par le Conseil d’État, selon la préfecture de police. «Le droit de manifester et d’avoir une opinion sont un droit constitutionnellement garanti dans notre République et dans notre démocratie. Le droit de bloquer les autres ou d’empêcher d’aller et venir ne l’est pas», a estimé Jean Castex.
Les manifestations autorisées contre les mesures sanitaires ont rassemblé 32.100 personnes en France samedi, dont près de 7600 à Paris, selon des données communiquées par le ministère de l’Intérieur. A 19h00, le ministère a décompté au total 149 actions pour près de 32.100 manifestants (162 actions et 29.000 participants la semaine dernière). L’opération autoproclamée «convoi de la liberté», qui était interdite, n’est elle pas comptabilisée.
Merci aux policiers et gendarmes mobilisés ce week-end à travers la France, et notamment à Paris, pour faire respecter l’ordre républicain et la liberté de circulation. A Paris, 337 verbalisations et 54 interpellations.

PARIS – La nuit tombe sur les #ChampsElysees et les incidents se poursuivent. Les forces de l’ordre n’arrivent pas à disperser les manifestants de plus en plus nombreux. #convoisdelalibertepic.twitter.com/2nukRa17HQ
Le cortège avenue du Maine continue d’avancer dans le calme. À quelques mètres d’Alésia, les organisateurs entonnent un chant de la libération, revisité, dans un silence quasi-religieux, rapporte notre journaliste sur place Margaux d’Adhémar.
Alors qu’un des organisateurs entonne un chant de la libération revisité, un silence quasi-religieux s’empare du cortège #ConvoidelaLiberte@Le_Figaropic.twitter.com/T1qywe8L5w
PARIS – Interpellation sur les #ChampsElysees : tensions toujours en cours. #ConvoidelaLiberte@CLPRESSFRpic.twitter.com/Moh5QZhyYl
Les derniers véhicules sont évacués des Champs-Elysées, la police descend progressivement «la plus belle avenue du monde» jonchée de gaz lacrymogènes utilisés, rapporte notre journaliste Amaury Coutansais. Malgré quelques éruptions ponctuelles de chants et de charges de la police, les manifestants sont repoussés et dispersés direction la Concorde.
Très sporadiquement des groupes se forment, mais sont rapidement dispersés par des tirs de gaz lacrymogènes, il reste encore quelques manifestants sur les trottoirs des Champs-Elysées. Les policiers multiplient les charges pour interpeller.

Nouvelle charge policière en cours sur les #ChampsElysees. #ConvoidelaLibertepic.twitter.com/iyniC4hE4u

#Manifestation 📢 | Interception d’un convoi de 300 véhicules sur l’A4, avant l’échangeur de Bercy.➡️ Les forces de l’ordre procèdent actuellement à des verbalisations. pic.twitter.com/LSGFPulEa9
Jérôme Rodrigues, une des figures des «gilets jaunes» et soutien des convois anti mesures sanitaires, a été interpellé samedi aux abords de l’Elysée, a appris l’AFP de source policière.
Il a été interpellé pour participation à une manifestation interdite, a ajouté la même source, tandis que les forces de l’ordre rétablissaient la circulation sur l’avenue des Champs-Elysées où des manifestants participant aux convois auto proclamés «de la liberté» avaient fait irruption à bord de leurs véhicules.
À Paris, avenue du Maine, l’un des cortèges des « convois de la liberté » avance en musique. L’ambiance est bon enfant, certains manifestants discutent paisiblement avec des gendarmes #convoisdelaliberte@Le_Figaropic.twitter.com/sgGEwzhXOb
Des gaz lacrymogènes atterrissent vers une terrasse de café. Des familles avec enfants touchées et évacuées #convoipourlaliberte#ChampsElyseespic.twitter.com/zlzK7uiqPD
Les capsules de gaz lacrymogènes atterrissent à l’intérieur d’un café. #ChampsElysees#convoisdelalibertepic.twitter.com/4oqujumrE7
La candidate socialiste à la présidentielle Anne Hidalgo a jugé samedi à Pointe-à-Pitre qu’il fallait agir avec «fermeté» pour que «l’ordre règne à Paris», où des «convois» de protestataires anti-passe sont arrivés, les invitant à s’exprimer en «votant».

Elle a souhaité qu’on ne reparte pas dans un cycle qu’on a connu en 2018 avec le mouvement des «gilets jaunes», qui était «extrêmement dur pour les Parisiens, et d’une façon générale dans le pays», a estimé la maire de Paris. «Pour tous les citoyens qui seraient dans une attitude protestataire, il y a un moyen très simple, pas violent, de dire ce que l’on pense, c’est de voter à l’élection présidentielle», a-t-elle insisté devant des journalistes. Pour elle, «c’est dans ce cadre-là que l’on peur résoudre les tensions de la société française».

En forêt de Fontainebleau, un millier de manifestants opposés notamment au passe vaccinal ont pique-niqué samedi dans une ambiance bon enfant, s’interrogeant sur la suite : rejoindre Paris ou aller directement à Bruxelles. À 70 kilomètres au sud de Paris, ils sont un millier selon une source policière, venus avec 400 véhicules – voitures, camionnettes, camping-cars – sur une aire d’accueil de cette vaste forêt francilienne, pour une étape «pacifique».
L’accès en voiture est désormais interdit par les forces de l’ordre.
Alors que des milliers de personnes venues par route de toute la France ont afflué ce matin vers la capitale afin de protester contre le passe vaccinal et la hausse des prix, les manifestants ont recours à l’application Zello pour communiquer.

Simple à utiliser et gratuite, l’application cryptée se présente comme une version moderne du talkie-walkie et permet à de nombreuses personnes d’échanger en direct notamment via des messages vocaux. Elle permet également d’envoyer du texte et des images. 
Retrouvez notre article : Zello, l’application talkie-walkie prisée des manifestants

Des véhicules sont enlevés par la police. pic.twitter.com/McznGb83Nn
#Manifestation 📢 | À 15h15, 14 personnes avait été interpellées par les forces de l’ordre. pic.twitter.com/Q6oJftPFXJ
Des opposants aux restrictions sanitaires venus en convois de tous les Pays-Bas bloquaient samedi le centre de La Haye, où ils sont déterminés à rester malgré les appels des forces de l’ordre à quitter les lieux. «Les manifestants du centre de La Haye ont jusqu’à cet après-midi 15H30  pour quitter la commune avec leur véhicule», a déclaré la police sur Twitter, menaçant les manifestants d’une arrestation et d’une amende.
Le convoi «continue à rouler jusqu’à ce que des changements fondamentaux et durables aient été apportés», ont maintenu dans un communiqué les organisateurs, qui exigent la levée de l’ensemble des restrictions sanitaires dans le pays.
À VOIR AUSSI – Pays-Bas: un «convoi de la liberté» bloque le centre-ville de La Haye

La police s’est positionnée samedi matin aux abords du pont Ambassador pour déloger les manifestants anti-mesures sanitaires qui bloquent cet axe frontalier majeur entre le Canada et les Etats-Unis depuis lundi, a constaté un journaliste de l’AFP. «Nous exhortons tous les manifestants à agir en respectant la loi et de façon pacifique», a tweeté samedi matin la police de Windsor, où est situé le pont, en annonçant avoir commencé son intervention. Elle demande aux habitants d’éviter le secteur.
Des dizaines d’agents et de véhicules sont arrivés sur place après 08h00 et ont pris position face à la cinquantaine de manifestants installés dans leurs camions et pick-ups pour paralyser le pont qui relie Windsor en Ontario à la ville américaine de Détroit. La Cour supérieure de l’Ontario avait ordonné vendredi le départ de ces manifestants installés depuis lundi sur cet axe frontalier majeur entre les deux voisins américains, un blocage qui a poussé Washington à intervenir auprès du gouvernement Trudeau. Mais l’injonction n’avait pas ébranlé les manifestants, qui se disaient déterminés à aller jusqu’au bout de leur action.

🇷🇪 LA RÉUNION : un #ConvoidelaLiberte s’est aussi formé sur l’île de La Réunion. Environ 200 véhicules se sont réunis pour protester contre la politique sanitaire en place.#ConvoiFrance2022#convoisdelalibertépic.twitter.com/SxYWQhaq3L
Le #ConvoiDeLaLiberté tente de bloquer les #ChampsElysees : nombreux #GiletsJaunes. Intervention des forces de l’ordre. pic.twitter.com/SWBplwCVtb
Premières lacrymogènes pour lancer les festivités Place d’Italie à Paris / rien de tel pour échauffer les esprits #ConvoidelaLiberte#convoisdelaliberte#GiletsJaunespic.twitter.com/oalOvehQAV
pic.twitter.com/1nfWWXesvi
Résumons : l’État autorise ce jour une manifestation woke du Comité Adama contre un supposé « racisme d’Etat » et envoie les #blindés contre une manifestation pour les libertés publiques ? L’inversion des valeurs, voilà la signature du macronisme à l’agonie. #convoisdelalibertepic.twitter.com/MaTBRIQ1cd
La police a réévalué dans la nuit le nombre de véhicules à 3000, pour 5000 manifestants, dont certains comptaient rejoindre l’un des quatre cortèges anti-passe prévus à partir de 11h dans Paris. Pour ces défilés, les autorités attendaient dans toute la France entre 25.000 à 30.000 personnes, un chiffre en ligne avec les rassemblements des derniers samedis.
Le président du Modem François Bayrou, allié d’Emmanuel Macron, a dit samedi voir dans les convois anti-passe vaccinal et d’opposants au chef de l’État, qui visent Paris et Bruxelles, un mouvement «de sécession d’une partie du pays» qui a «un désir de révolte».
Pour le Haut-commissaire au plan, ce mouvement rappelle «bien sûr» celui de contestation sociale des «gilets jaunes» qui avait culminé fin 2018 et donné lieu à des manifestations partout en France, parfois violentes, contre la baisse du pouvoir d’achat et la hausse des carburants.
«Il y a, toutes les semaines et tous les jours, des personnes qui meurent encore à l’hôpital de cette maladie, de la Covid-19 et il y a ce mouvement, qui est un mouvement de protestation avec volonté de blocage du pays pour obtenir, on ne sait pas quoi exactement, mais nous voyons bien qu’il s’agit d’un mouvement que j’appellerai de sécession d’une partie du pays, qui ne comprend pas, ne se retrouve pas et a un désir de révolte», a-t-il déclaré sur France Inter.
«Nous constatons bien qu’une partie de nos compatriotes, une partie importante et significative de nos compatriotes ne croit plus rien de ce qu’on lui dit», les «politiques», «les journalistes», les «scientifiques» et les «médecins», a-t-il ajouté. Et «c’est la première fois que l’on en vient», explique-t-il, «dans un pays comme le nôtre, qui était un grand pays scientifique, un grand pays de médecine, à mettre en doute la parole de ceux qui sont chargés de soigner».
#Manifestation 📢 | Place Denfert-Rochereau : 5 interpellations pour des personnes munies de fronde et de matériel de protection.➡️ Saisies de matériel + verbalisations pic.twitter.com/i0aQFleoXT
La candidate à la présidentielle Marine Le Pen a fustigé Emmanuel Macron, «le candidat qui démarre sa campagne avec des blindés», en référence à l’interdiction de manifester samedi à Paris pour des opposants au pass vaccinal.
Sur l’application de la DiRIF @sytadin, peu de perturbations du trafic hormis aux abords de la porte de Saint-Cloud, porte d’Orléans et porte des Lilas. pic.twitter.com/WXLHj9haET
#Manifestation 📢 | Intervention en cours des BRAV-M de la @prefpolice pour intercepter et verbaliser 2 camping-cars et 1 camion dans le secteur des Champs-Élysées. pic.twitter.com/QNKDrFHQKW
PARIS – Des campings cars du #ConvoiFrance2022 sont escortés par la BRAVM hors des #ChampsElysees. #convoisdelalibertépic.twitter.com/LrWbkyUI1K
Le mouvement d’Ottawa a fait des émules, en France et dans d’autres pays du monde, où se rassemblent les opposants au passe sanitaire.
Au Canada
Dans la capitale fédérale Ottawa des centaines de camions bloquent les rues depuis deux semaines. Après Ottawa dimanche, l’état d’urgence a été décrété vendredi dans tout l’Ontario. Ces protestations se sont étendues à d’autres grandes villes canadiennes (Toronto, Winnipeg, Québec…) ainsi qu’à trois axes frontaliers avec les États-Unis, avec l’objectif de frapper l’économie. Ils ont ainsi notamment bloqué le pont Ambassador, qui relie la ville canadienne de Windsor à Detroit aux États-Unis, crucial pour l’industrie automobile ainsi que pour les hôpitaux américains, où travaillent de nombreuses infirmières canadiennes. 
En Nouvelle-Zélande 
En Nouvelle-Zélande, des manifestants anti-vaccin campent depuis mardi devant le Parlement, dans un «Camp de la liberté». Jeudi, la police a essayé de les disperser, sans succès, donnant lieu à de violents affrontements. Plus de 120 personnes ont été arrêtées. Le nombre de manifestants est passé d’environ 250 au début à près de 1500 vendredi.
En Autriche 
En Autriche, la police a annoncé jeudi l’interdiction des «convois de la liberté», invoquant une nuisance «inacceptable», alors que plusieurs centaines de véhicules avaient prévu de converger vendredi vers le centre de Vienne ainsi qu’à proximité d’un grand parc public.
En Belgique 
Les autorités ont annoncé jeudi interdire l’accès à Bruxelles d’un convoi attendu lundi dans la capitale belge, selon un appel circulant sur les réseaux sociaux qui évoque une «convergence» depuis toute l’Europe.
Aux États-Unis 
Les États-Unis ont demandé au Canada d’employer les «pouvoirs fédéraux» pour lever les blocages à la frontière des deux pays. La Maison Blanche dit avoir été avertie de l’organisation d’un «convoi de la liberté» à Washington début mars et assure «prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer que ce convoi ne perturbe pas le commerce ou les transports, et n’affecte pas le travail du gouvernement fédéral, des forces de l’ordre et des secours».
Les manifestants anti-mesures sanitaires au Canada continuaient samedi matin de paralyser un axe frontalier majeur avec les Etats-Unis, défiant l’injonction de la justice à quitter les lieux, deux semaines après le début d’un mouvement qui ne cesse de s’amplifier.
Le blocage pendant plusieurs jours du pont Ambassador, qui relie Windsor, en Ontario, à la ville américaine de Détroit, a poussé Washington à intervenir auprès du Premier ministre Justin Trudeau pour résoudre la crise.
La fermeture, depuis lundi, de cet axe frontalier majeur, qui relie l’Ontario et la ville américaine de Detroit aux Etats-Unis, a déjà entraîné des perturbations pour l’industrie automobile des deux côtés de la frontière.
«Convoi de la liberté» qualifié de «convoi des provocateurs» : «Oui, je l’assume», affirme Geoffroy Didier, dans #LaMatinaleWEpic.twitter.com/8D7ja6gbC2
#Manifestation | Interception par les forces de l’ordre de deux convois :➡️ 30 véhicules au niveau de la porte de Champerret ➡️ 20 véhicules au niveau de la porte Maillot➡️ verbalisations en cours pic.twitter.com/TuUDiKJ0oq
Des milliers de manifestants ont défilé samedi dans la capitale australienne Canberra en direction du Parlement pour dénoncer l’obligation vaccinale contre le Covid-19, suivant l’exemple des autres rassemblements de ce genre organisés à travers le monde.
Les manifestants sont venus se masser, certains avec leurs enfants, devant le Parlement, brandissant parfois l’Australian Red Ensign, une version du drapeau australien ayant un fond rouge associé au mouvement des «citoyens souverains» qui estiment que les lois nationales ne s’appliquent pas à eux.

Looks like Australia’s had it with being one of the last remaining vestiges of strict COVID tyranny, as hundreds of thousands march on the capital of Canberra today as part of Australia’s freedom convoy.pic.twitter.com/dKQqFdFMqX

Ils étaient 10.000 manifestants selon la police, avec «en général un bon comportement», a précisé un porte-parole des forces de l’ordre, qui ont procédé à trois arrestations.
#Manifestation 📢 | Dispositif de sécurité renforcé aux abords des #ChampsÉlysées.➡️ Les forces de l’ordre sont prêtes à intervenir. pic.twitter.com/LgpF0E8UMt
PARIS – De nombreuses portes du périphérique sont fermées pour empêcher l’accès au #ConvoidelaLiberte à la capitale. pic.twitter.com/U8XPLCcXej
#Manifestation interdite à #Paris.A 06h, la @prefpolice avait procédé à 95 verbalisations. pic.twitter.com/84P7wrgC7t
Près de 7200 policiers et gendarmes «sont déployés sur les 3 prochains jours pour faire respecter les interdictions de convois de véhicules», selon la Préfecture de Police
Dans un tweet, peu après minuit, la Préfecture de Police a salué d’un «Merci aux policiers engagés toute la nuit» les forces de l’ordre mobilisées pour prévenir toute manifestation motorisée dans la ville.

#Manifestation 📢 | Merci aux policiers engagés toute la nuit. pic.twitter.com/aDcm3hEuoX

Le préfet de police Didier Lallement a «créé un certain nombre de fourrières provisoires qui (…) permettront avec plusieurs dizaines de véhicules de remorquage de mettre fin à tout blocage», a-t-il déclaré. Des blindés de la gendarmerie ont aussi été déployés dans la capitale, une première depuis les manifestations des «gilets jaunes» fin 2018.
Des milliers d’opposants au passe vaccinal venus en convois de toute la France, et qui ont campé aux portes de la capitale, reprenaient la route samedi matin pour entrer dans Paris et manifester malgré l’interdiction par la préfecture de police, déterminée à empêcher tout blocage.
Certains automobilistes, comme ceux du convoi qui s’est arrêté vendredi soir sur un parking en périphérie de Chartres, sont repartis dès 5h, à petite vitesse, en direction du périphérique parisien. Selon leurs messages, ils veulent devenir «une masse de véhicules impossible à contenir par les forces de l’ordre à moins que ces dernières ne bloquent elles mêmes les axes principaux de la capitale».
Salluste10
le
La France est divisée comme elle ne l’ a jamais été!
Même aux pires heures de notre histoire ;les bonnes volontés savaient se regrouper!
Quelle décadence!
l36
le
Castex sur la manifestation : “Le droit d’empêcher d’aller et venir n’est pas [constitutionnel].” Le premier ministre reconnait ainsi que le passe vaccinal qui empêche à des citoyens d’aller et venir : restaurants, cinémas, théâtre, piscine, bibliothèques, spectacles, n’est pas constitutionnel. Honte à ce gouvernement autocratique. Le passe vaccinal n’a aucune justification sanitaire, c’est un déni de liberté.
Mouais59
le
Vous lancez une manifestation avec le nom “liberté machin-truc” autoproclamé. Vous vous faites interpellez et verbalisé et, après, vous criez haut et fort : “z’avez vu, on avait raison hein ?” ou encore “ils nous arrêtent, c’est la dictature”
Dans une tribune au Point ce mercredi, Michel Houellebecq a rétorqué à la Mosquée de Paris, affirmant, notamment, qu’«il serait curieux d’imaginer que mes prises de position puissent avoir une influence concrète».
EN IMAGES – 500.000 personnes étaient initialement attendues par la mairie.
Le Bureau de presse du Saint-Siège a publié dans la soirée du 31 décembre 2022 ce texte rédigé par l’ancien pape décédé dans la matinée, le 29 août 2006.
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Mobilisations contre les mesures sanitaires : 32.100 manifestants en France, dont près de 7600 à Paris, selon l’Intérieur
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