l’essentiel Des manifestants ont perturbé et interrompu la séance du Conseil départemental hier midi, ils ont pu rencontrer Serge Rigal.
Des 8h30, des manifestants faisaient le pied de grue devant le Conseil Départemental pour l'avenir de la ligne ferroviaire Cahors-Capdenac. À l'abandon depuis 2003, la ligne fait l'objet d'un projet de voie verte, l'Association de défense de la gare d'Assier et de promotion du rail (ADGAPR) et le syndicat CGT cheminot de Cahors demandent un débat et souhaitent la relance du train. Ils appellent notamment à un moratoire sur le déferrement.
Certaines personnes du collectif ont donc interrompu la séance du Conseil départemental après 2h30 de débats, séance qui a pu reprendre une demi-heure plus tard. Le président Serge Rigal a accepté de rencontrer une délégation de quatre personnes : Jérome Delmas, Secrétaire général de la CGT du Lot, Philippe Jorrey représentant des cheminots CGT, Christophe Schimmel et Jacques Montal de l'ADGAPR.
Le timing a été soigneusement choisi par les opposants. Puisque ce mardi a lieu la signature de la convention de transfert de gestion pour trente ans de la ligne Cahors-Capdenac entre le Syndicat mixte des voies vertes du Lot dont le président est justement Serge Rigal et SNCF Réseau. "On est très satisfait de notre rencontre, on a mis un pied dans la porte. Serge Rigal, nous a assuré qu'il va consulter la commission exécutive du Syndicat mixte pour demander un moratoire sur le déferrement. Il faut reposer la problématique de relancer cette voie ferrée, on va aussi voir avec la Région" raconte Jacques Montal.
De son côté, le Département assure qu'il y a peu d'espoir que ce moratoire soit accepté par les élus du Syndicat mixte. Pour Serge Rigal, le collectif se trompe de cible, les responsables de l'abandon étant l'Etat et SNCF Réseau. "J’avoue être stupéfait du procès d’intention qui est fait au Département vis-à-vis d’un projet validé dans les urnes et par toutes les communautés de communes du Lot. Un projet d’ailleurs qui vise à investir là où d’autres n’ont rien fait depuis 40 ans" a-t-il déclaré dans son discours d'ouverture de séance.
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A L'heure du covoiturage du transport plus vert de train légers et on démonterais des voies ! on marche sur la tête , alors que le département est déja pénaliser par ses infrastructures vieillotes des ponts construit en 1850 ! un département qui a aidé railcoop et lui supprimerais un futur outils possible ! Quand Beynac relance ses travaux d'intérêt publique , et nous le T3/d96 lotois toujours rien , le changement de direction a la tête d'un groupe agroalimentaire va t'il changer les choses ? Actuellement Andros s'oriente sur Brive sortie 51 c'est plus facile sur une carte de visite, 60% des fruits viennent d'ailleurs source bassin Biars ! un département sans route correcte , entraine un taux de chomage ou une desertification dans certain domaine ! et vayrac 2024 sans camion ? c'est comment ???
bravo en effet railcoop est tout a fait capable d exploiter cette ligne tant en fret qu e voyageurs !!
et l ete le touristique peut largement ramener des fonds !! voir le succes pase de quercyrail !!
bravo en effet railcoop est tout a fait capable d exploiter cette ligne tant en fret qu e voyageurs !!
et l ete le touristique peut largement ramener des fonds !! voir le succes pase de quercyrail !!
QUI VA PAYER ?
A part les contribuables…
le defferage va couter aussi cher si ce n est plus que la voie verte !!!!!
enlever les rails les traverses ( a faire recycler en usine specilisee archi polluante ) puis les milliers de tonnes de ballast ( en camion ) bonjour le bilan carbone al!ors que le train serait plus utile pour les voyageurs et aussi le fret a expulser de nos routes
il existe a proximite une socitete tout a fait capable de gerer la ligne
RAILCOOP !!!

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