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Nova Property Fund Management renforce sa présence en Suisse romande. Le gestionnaire de fonds zurichois spécialisé dans l’immobilier va ouvrir début septembre une nouvelle succursale à Lausanne. Fort de trois experts de la branche, le bureau de la capitale vaudoise sera dirigé par Michel Burgunder.
Nova Property Fund Management précise dans un communiqué diffusé mardi disposer d’une bonne position en Suisse romande. L’entreprise gère actuellement, dans son propre fonds immobilier et par le biais d’autres sociétés d’investissement immobilier et fondations de placement, un portefeuille de 20 immeubles d’une valeur de marché d’environ 430 millions de francs. Ces biens se situent dans les cantons de Genève (40%), Vaud (40%), Valais (19%) et Neuchâtel (1%).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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Emmanuel Macron a annoncé vendredi une réorganisation du travail de l’hôpital ainsi qu’une série de mesures pour faciliter l’accès des patients à un généraliste et “sortir de ce jour de crise sans fin” dans le système de santé français.
“Je sais l’épuisement personnel et collectif, ce sentiment parfois de perte de sens qui s’est installé, le sentiment au fond de passer d’une crise à l’autre”, a déclaré le président de la République en présentant, pour la première fois depuis sa première élection en 2017, des voeux spécifiques aux acteurs de la santé.
Le système est “à bout de souffle” de l’aveu même du gouvernement avec des urgences débordées et un manque criant de personnels, sur fond de triple épidémie hivernale de Covid-19, grippe et bronchiolite.
Devant des soignants réunis au Centre hospitalier Sud Francilien (CHSF) de Corbeil-Essonnes, en banlieue parisienne, il a assuré vouloir “prendre des décisions radicales”.
Le président a rappelé les mesures de son premier quinquennat, comme la suppression du “numerus clausus” qui plafonnait le nombre d’étudiants en médecine, décidée dans son plan de 2018. Ou le “Ségur de la santé” qui, après l’irruption de la pandémie de Covid-19 en 2020, avait permis d’injecter 12 milliards d’euros annuels pour mieux rémunérer les soignants et 19 milliards pour investir dans les hôpitaux.
Mais dès sa campagne pour sa réélection au printemps, il avait reconnu que c’était insuffisant, et fait de la santé l’un des deux chantiers majeurs de son second mandat, avec l’école.
Rappelant que la formation de nouveaux médecins allait prendre du temps et qu’il faudrait donc “une décennie” pour “changer” le système, il a prévenu qu’il faudrait “vivre dans les années qui viennent” avec cette pénurie de soignants.
Il a donc annoncé des solutions pour pallier ce manque en promettant d'”accélérer le recrutement des assistants médicaux” créés en 2018 pour les porter de “près de 4000” actuellement à “10’000 d’ici la fin de” 2024.
Dès la fin de 2023, les quelque 600’000 patients avec une maladie chronique sans médecin traitant s’en verront proposer un.
Le chef de l’Etat a aussi invité à une réorganisation du travail à l’hôpital “d’ici au 1er juin” pour le rendre plus attractif.
“On doit tout faire pour garder les soignants” à l’hôpital, a-t-il souligné. “Ce qui veut dire qu’on doit ensemble travailler à une meilleure organisation du temps de travail”, a-t-il ajouté, déplorant une “hyper-rigidité” dans l’application des 35 heures et un système qui “ne marche qu’avec des heures supplémentaires”.
Pour remettre les soignants davantage aux manettes, il a expliqué qu’un “tandem administratif et médical”, “sur la base d’un projet”, serait instauré à la tête de chaque hôpital.
Il a aussi annoncé la “sortie de la tarification à l’acte” à l’hôpital dès le prochain budget de la Sécurité sociale, au profit d’un financement sur “objectifs de santé publique”.
Plutôt bien reçues par la Fédération hospitalière de France (FHF, hôpitaux publics) et même l’intersyndicale des praticiens hospitaliers APH, ces annonces ont en revanche été très fraîchement accueillies par les organisations de médecins libéraux, qui ont vu “peu de moyens” concrets pour prendre davantage de gardes et de patients.
En arrivant dans cet hôpital frappé en août par une cyberattaque, Emmanuel Macron, accompagné du ministre de la Santé François Braun, a pu prendre le pouls de l’état du système de soins lors d’un échange avec les équipes du service d’urgences pédiatriques.
“C’est très dur”, “on veut vous témoigner de notre fatigue”, “la rémunération n’est certainement pas à la hauteur des efforts accomplis”, ont enchaîné infirmières, sage-femmes, puéricultrices.
Et les foyers de mécontentement se multiplient. Les médecins libéraux ont manifesté par milliers jeudi à Paris, point d’orgue d’une grève qui a débuté au lendemain de Noël pour réclamer le doublement de la consultation, de 25 à 50 euros.
Et la grogne continue de monter. FO, deuxième syndicat de la fonction publique hospitalière, a appelé à une grève illimitée à partir du 10 janvier, de même que l’Unsa qui, comme tous les autres syndicats promettent une forte mobilisation contre une impopulaire réforme des retraites.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Le taux d’inflation annuel de la zone euro a reculé en décembre pour le deuxième mois consécutif à 9,2%, après 10,1% en novembre, grâce à la poursuite de l’accalmie sur les tarifs de l’énergie, a annoncé Eurostat vendredi.
La hausse des prix à la consommation retombe sous la barre symbolique des 10% pour la première fois depuis octobre, quand elle avait atteint un record, à 10,6%, après un an et demi de hausse ininterrompue.
Le reflux est plus fort que ce qu’avaient anticipé les analystes de Bloomberg et Factset qui tablaient respectivement sur une inflation à 9,5% et 9,7% en décembre.
Le ralentissement de la hausse des prix concerne uniquement le secteur de l’énergie (électricité, gaz, pétrole…).
Cette composante reste celle qui connaît le taux annuel de hausse des prix le plus élevé en décembre, mais il diminue fortement à 25,7%, après 34,9% en novembre, selon l’office européen des statistiques.
La flambée des prix de l’alimentation (y compris alcool et tabac) se poursuit, avec une progression annuelle de 13,8%, comparé à 13,6% le mois précédent.
La hausse des tarifs des biens industriels continue aussi de s’aggraver, à 6,4% (+0,3 point par rapport à novembre), comme celle des services, à 4,4% (+0,2 point).
Parmi les 19 pays de la zone euro –la Croatie est devenue le 20ème pays à adhérer à la monnaie unique en janvier–, le taux d’inflation le plus faible a été enregistré par l’Espagne en décembre, à 5,6%, devant le Luxembourg (6,2%) et la France (6,7%).
La hausse des prix à la consommation a atteint 9,6% en Allemagne et 12,3% en Italie.
Les taux les plus élevés ont concerné les pays baltes, Lettonie (20,7%), Lituanie (20%) et Estonie (17,5%), d’après les données harmonisées d’Eurostat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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Le déficit commercial des Etats-Unis s’est brutalement contracté au mois de novembre, sous l’effet d’une baisse plus importante des importations que des exportations, principalement des produits pharmaceutiques et biens d’équipement de la maison.
Le déficit des biens et services avec le reste du monde est revenu à 61,5 milliards de dollars, en baisse de 21% par rapport au mois d’octobre, selon les données publiées jeudi par le département du Commerce.
Le recul des exportations de 2% a très largement été compensé par un repli des importations de 6,4%.
Il s’agit du plus faible déficit mensuel observé aux Etats-Unis depuis septembre 2020, en pleine pandémie mondiale et ses conséquences sur les chaînes d’approvisionnement.
Le ministère américain a également révisé à la baisse ses données pour octobre, avec un déficit désormais estimé à 77,8 milliards de dollars, contre 78,2 milliards annoncés initialement.
Pour le mois de novembre, le déficit commercial s’est résorbé bien plus qu’anticipé par les analystes, qui tablaient plutôt sur un déficit légèrement plus faible qu’en octobre, à 76,4 milliards de dollars selon le consensus publié par briefing.com.
Il s’agit d’un repli conséquent pour le déficit américain, après deux mois consécutifs de creusement, reprenant la tendance observée depuis le début de l’année 2022, qui a été globalement marquée par une réduction continue de celui-ci.
Sur les trois derniers mois, la moyenne du déficit commercial s’établit désormais à 71,2 milliards de dollars, en baisse de 1,4 milliard de dollars.
En glissement annuel, le déficit commercial sur les douze derniers mois a tout de même progressé de 15,7%, soit 120,1 milliards de dollars, par rapport à la même période un an plus tôt. L’année 2021 était cependant particulièrement marquée par les difficultés d’approvisionnement consécutifs à la reprise rapide de l’économie mondiale.
Dans le détail, les exportations de biens sont en repli de 4,9 milliards de dollars, principalement sous l’effet de la baisse des cours du gaz naturel et du pétrole, en partie compensée par une hausse des ventes de produits pharmaceutiques.
Côté importations, la baisse est de 20,7 milliards de dollars et concerne majoritairement les produits électroniques, smartphones, ordinateurs, équipements de télécommunications ou biens d’équipement de la maison, ainsi que les produits pharmaceutiques.
Le numéro un sur le marché du smartphone aux Etats-Unis, Apple, fait d’ailleurs face à des difficultés d’approvisionnement depuis plusieurs mois, alors que les usines chinoises de son principal fabricant, Foxconn, tournent au ralenti sous l’effet des différentes phases de la politique chinoise face à la pandémie de Covid-19.
Le déficit commercial avec la Chine continue d’ailleurs de reculer, pour atteindre 20,4 milliards de dollars en novembre, principalement sous l’effet de la baisse des importations.
Celui avec l’Union européenne est également en repli, plus limité cependant, et s’établit à 19,5 milliards de dollars.
Sur le mois, les importations en provenance d’Europe sont d’ailleurs supérieures à celles venant de Chine, respectivement à 48 milliards de dollars et 33,9 milliards de dollars.
Conséquence, sur les onze premiers mois de 2022, les importations en provenance d’Europe s’élèvent à 504,43 milliards de dollars, dépassant les 499,45 milliards de dollars de celles arrivant de Chine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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Une pénurie de médicaments frappe la Suisse et le monde. Anti-douleurs et anti-inflammatoires manquent, tout comme les médicaments contre la grippe. Et en territoire vaudois aussi, il faut pallier à ce problème.
La raison : ces produits sont vendus très bon marché et les industries asiatiques ne sont donc plus intéressées à les fabriquer. La pandémie de coronavirus ainsi que la grippe ont provoqué de grandes ruptures de stock. Le canton de Vaud n’est pas épargné, comme l’explique le pharmacien Matthieu Goldschmidt.

Matthieu GoldschmidtMembre du comité de la Société vaudoise de pharmacie et pharmacien responsable à la Pharmacie Plus de L’Ile.

Parmi les types de produits qui viennent à manquer,  il y a les anti-douleurs et les anti-inflammatoire, mais aussi les médicaments contre le rhume ou la grippe.
Quelles sont les solutions pour remédier à cette pénurie ?
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Un groupe d’investisseurs, dont la société de gestion d’actifs Legal & General Investment Management et la Fondation Ethos, demandent des comptes au géant zougois des matières premières Glencore.
Ils entendent demander au groupe lors de la prochaine assemblée générale des explications quant à sa stratégie sur le charbon thermique, annoncent-ils jeudi.
Ce groupe d’investisseurs avec notamment HSBC Asset Management, la branche de gestion du géant bancaire britannique HSBC, et le fonds australien Vision Super, demande, via une résolution d’actionnaires, à Glencore d’expliquer comment sa stratégie dans le charbon s’aligne sur l’accord de Paris pour limiter le changement climatique à 1,5 degré Celsius. Il inclut aussi des membres de la fondation genevoise Ethos, laquelle représente des institutions de prévoyance.
Ces investisseurs, qui représentent ensemble quelque 2200 milliards de dollars d’actifs sous gestion, se sont appuyés sur les statuts de la société qui leur permet de déposer une résolution pour l’assemblée générale annuelle afin d’exiger “davantage de clarté” sur la stratégie du groupe concernant le charbon thermique, notamment sur ses dépenses d’investissement dans la production.
Près d’un tiers des actionnaires avaient rejeté son plan climatique en 2022, ont souligné ces investisseurs dans un communiqué commun, estimant que cette résolution constitue “une escalade significative de la pression sur Glencore”. Alors que des concurrents comme Rio Tinto ou Anglo American se désengagent du charbon, Glencore maintient le cap sur cette matière première malgré les critiques d’actionnaires, expliquant vouloir gérer ses mines de manière responsable jusqu’à ce qu’elles arrivent à épuisement au fil du temps.
“Glencore a une formidable opportunité de participer à la transition énergétique et d’en profiter”, a déclaré Michael Wyrsch, le directeur des investissements et directeur général adjoint du fonds australien Vision Super, cité dans le communiqué. Le groupe est bien placé au niveau du cuivre et du nickel tandis que ses activités de recyclage grandissent, a-t-il argumenté. “C’est pourquoi il est tellement décevant que Glencore continue d’investir dans le charbon thermique”, a-t-il ajouté, soulignant qu’il s’agit d’un secteur qui “se contracte”.
Fin 2021, Glencore s’était déjà trouvé dans le viseur du fonds activiste Bluebell Capital Partners qui avait exhorté le groupe à séparer le charbon du reste de ses activités, estimant qu’il ne s’agissait pas d’une “matière première d’avenir”. Il avait mis en avant que les investisseurs ne veulent plus être exposés au charbon dans leurs portefeuilles, sans toutefois parvenir à infléchir la stratégie de Glencore.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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