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Personne n’a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher le 10, 18, 20, 22, 26 et 34. Le numéro chance était le 3, le rePLAY le 7 et le Joker le 123416.
Lors du prochain tirage samedi, 15,8 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.
https://jeux.loro.ch/games/swissloto/
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Alain Berset optimiste malgré la guerre et la pandémie
Un nouveau millionnaire au tirage du Swiss Loto
Pas de nouveau millionnaire au tirage du Swiss Loto
Pas de nouveau millionnaire au tirage du Swiss Loto
Pas de nouveau millionnaire au tirage du Swiss Loto
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Alain Berset a rappelé devant les diplomates les conséquences de l’attaque russe en Ukraine et la pandémie de coronavirus. Ces deux événements ont retardé le monde, a-t-il déclaré lors du message de Nouvel-An du président de la Confédération au corps diplomatique.
Des reculs ont eu lieu dans des tâches mondiales importantes comme la lutte contre la pauvreté et la faim, le droit à l’éducation, la lutte contre le changement climatique, la promotion de la paix et de la justice, ainsi que l’égalité entre hommes et femmes, a déclaré M. Berset mercredi à Berne.
“Il est aujourd’hui plus dur que par le passé d’être optimiste. Malgré ces circonstances – ou peut-être à cause d’elles – nous devons continuer d’avancer ensemble, pas à pas. Car il y a aussi des raisons d’être confiant, par exemple en voyant le soutien déterminé apporté à l’Ukraine ou la résistance et le courage face aux régimes autoritaires”, a souligné le Fribourgeois.
Le président de la Confédération s’est aussi montré optimiste quant à une entente avec l’Union européenne (UE). En tant que membre du Conseil de sécurité de l’ONU pour les deux prochaines années, la Suisse y renforcera son engagement en faveur de la paix et de la sécurité et apportera sa grande expérience en matière de promotion de la paix et de recherche de solutions multilatérales.
Chaque année, le président ou la présidente de la Confédération reçoit au Palais fédéral les bons voeux des chefs de mission selon l’ordre de préséance du corps diplomatique. Malgré la condamnation par la Suisse de l’invasion russe de l’Ukraine et les sanctions prises contre ce pays, l’ambassadeur russe a été invité à cette réception du Nouvel-An.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le géant pharmaceutique Novartis pourrait supprimer 400 emplois en France dans le cadre de la réorganisation de ses activités – annoncée l’an dernier -, a-t-il indiqué dans un communiqué mercredi.
Le laboratoire avait lancé en avril 2022 un plan de transformation mondial, avec à la clef une nouvelle réorganisation de ses activités. Ce plan prévoit de supprimer 8000 postes dans le monde sur 108’000 au total, soit un peu plus de 7% de ses effectifs.
En France, la mise en oeuvre de ce projet “pourrait mener à la suppression d’environ 400 emplois”, écrit Novartis, qui s’est adressé mercredi aux instances représentatives du personnel.
Dans l’Hexagone, Novartis a un peu moins de 3000 salariés (2900 selon son site internet). Il dispose notamment de sites de production de médicaments biologiques à Huningue (Haut-Rhin) et aux Ulis (Essonne), qui ne seront pas touchés. Le projet concernerait le siège à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) et les forces de ventes, qui regroupent environ 1400 collaborateurs.
Une procédure d’information-consultation portera sur la mise en place d’un plan de sauvegarde de l’emploi avec une période de volontariat, et des mesures d’accompagnement pour les collaborateurs concernés, ajoute le laboratoire, basé à Bâle.
La mise en oeuvre de ce plan s’effectuera “de manière progressive” sur plusieurs mois jusqu’au début de 2024.
Cette réorganisation “doit permettre à Novartis France de répondre à la pression économique particulièrement forte qui pèse sur le médicament” et à la perte de brevets de produits majeurs, fait valoir le groupe.
En 2021, Novartis a engrangé près de 52 milliards de dollars de chiffre d’affaires.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Electrolux a lancé mercredi un avertissement sur ses résultats au quatrième trimestre 2022, avec une perte opérationnelle d’environ deux milliards de couronnes (environ 177 millions de francs), du fait de coûts élevés et de mauvaises performances en Amérique du Nord.
Dans la foulée de cette annonce, l’action du fabricant suédois d’électroménager perdait 3,5% à 152 couronnes vers 14H20 GMT.
Electrolux, qui avait obtenu d’excellents résultats durant la pandémie quand les consommateurs amélioraient leurs intérieurs, s’est retrouvé confronté à une brutale inversion de tendance ces derniers mois, avec une chute de la demande en électroménager.
Le groupe avait déjà annoncé d’importantes pertes de plus de 600 millions de couronnes au troisième trimestre, ainsi que 4000 licenciements, soit 8% de ses effectifs mondiaux, avec l’Amérique du Nord particulièrement ciblée.
La perte au quatrième trimestre inclut une charge non récurrente de restructuration de 1,4 milliard de couronnes, selon Electrolux.
Le chiffre d’affaires du groupe affiche lui un recul de 8% à périmètre constant à 36 milliards de couronnes.
“Le déclin sur un an des résultats est principalement une conséquence d’une demande plus faible des consommateurs et des réductions de stock tant que des vendeurs et d’Electrolux, ainsi qu’un niveau de coût élevé”, précise Electrolux dans un communiqué.
Pour le seul quatrième trimestre, “la cause principale des résultats plus mauvais que prévu (…) est la performance de la division Amérique du Nord”, souligne le groupe suédois.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Le franc a renoué avec la parité face à l’euro mercredi après-midi, avant de retomber sous ce seuil symbolique, alors que la Banque nationale suisse (BNS) cherche à renforcer la devise nationale pour limiter l’inflation dans le pays.
Après être montée à 1,0020 franc pour un euro peu avant 17h, la paire de devises se relâchait pour se négocier une demi-heure plus tard à 0,9995 EUR/CHF. Le franc n’avait plus évolué au-dessus de la parité depuis début juillet 2022.
Pour Arthur Jurus, stratégiste à la banque Oddo BHF, “le retour de l’EUR/CHF à la parité est expliqué par les commentaires agressifs de la BCE concernant le durcissement de leur politique monétaire”. Selon le spécialiste, la Banque centrale européenne “est en retard sur le durcissement de sa politique monétaire et souhaite rattraper son retard face à une inflation galopante”.
Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, “est notamment très agressive et souhaiterait même durcir les taux au-delà du nécessaire pour atteindre rapidement l’objectif de stabilité des prix de moyen terme”, a complété M. Jurus
Le franc s’était nettement apprécié depuis l’été dernier face à la monnaie unique européenne. En raison de la flambée mondiale de l’inflation, la BNS avait modifié sa tactique. Pour freiner une inflation importée, l’institut d’émission avait dit laisser le franc s’apprécier pour limiter l’impact du renchérissement des prix en Suisse.
Lors de sa précédente réunion de politique monétaire le 15 décembre, la BNS avait indiqué qu’elle était “disposée à être active au besoin sur le marché des changes afin de garantir des conditions monétaires appropriées”.
Son président Thomas Jordan avait alors rappelé que depuis le début de 2022, le cours du franc s’est apprécié d’environ 4% en valeur pondérée par le commerce extérieur. “Cette appréciation a permis de limiter l’inflation importée et par conséquent de freiner l’inflation en Suisse”, avait-il illustré.
Revenant sur les ventes de devises, M. Jordan avait dit: “C’est ce que nous avons fait ces derniers mois, afin de garantir des conditions monétaires appropriées. Nous le ferons également à l’avenir lorsque cela sera indiqué du point de vue de la politique monétaire.”
Mais le dirigeant avait également laissé entendre que la BNS restait disposée “à acheter des devises si une pression excessive à l’appréciation du franc se faisait sentir”.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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L’offre en immobilier de bureau s’est contractée l’année dernière en Suisse, particulièrement à Zurich, mais aussi dans une moindre mesure à Genève.
Face à une demande soutenue, les loyers demandés ont pu être maintenus, voire augmentés. Avec le ralentissement de l’activité de construction, l’offre devrait encore s’amenuiser dans les années à venir.
Sur les cinq principaux marchés référencés dans l’étude du spécialiste du conseil immobilier JLL – Zurich, Genève, Lausanne, Berne et Bâle – le taux d’offre de surfaces disponibles a baissé en 2022 à 4,5%, après 4,7% l’année précédente. Le volume total de surfaces disponibles a fondu de 33’800 m2 à 878’200 m2.
Le recul a été particulièrement marqué à Zurich (-52’900 m2) et dans une moindre mesure à Genève (-5000 m2), alors que les surfaces disponibles ont augmenté à Lausanne (+1700 m2), Berne (+7000 m2) et surtout à Bâle (+15’400 m2). La forte progression dans la cité rhénane s’explique, selon JLL, par l’emménagement de Roche dans sa deuxième tour, libérant ainsi plusieurs sites localisés dans le centre.
Dans l’ensemble des régions, le niveau des loyers aux meilleurs emplacements est resté constant. Une légère hausse a même été enregistrée en raison d’une forte demande pour les bureaux bénéficiant d’une situation centrale.
A Genève, la demande pour les surfaces de bureau a été soutenue en 2022, surtout au centre-ville, avec une contraction du taux de vacance à 1,9% fin décembre, contre 3,2% un an plus tôt, dans le quartier des affaires au centre-ville. Le secteur de l’aéroport, au contraire, a vu son taux de vacance augmenter.
La ville de Lausanne fait quant à elle face à une offre limitée avec un taux de vacance de 2,2%. Dans le quartier des affaires du centre-ville, le taux de vacance atteint même 1,5%.
Quant à la région de Zurich, l’offre en surfaces de bureau disponibles a diminué de 52’900 m2 à 361’000 m2, une baisse qui s’explique par “une faible quantité de nouvelles surfaces, couplée à une demande globalement importante”, a précisé JLL.
En 2023, quelque 71’000 m2 de nouvelles surfaces de bureaux devraient voir le jour dans la métropole zurichoise, 50% de plus que l’année précédente. Cela reste toutefois inférieur à la moyenne annuelle entre 2012 et 2022 (90’000 m2). L’arrivée de nouvelles surfaces devrait continuer à baisser pour les années 2024 et 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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