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L’autopsie des deux corps aura lieu dans les prochains jours pour déterminer les causes de la mort et confirmer cette hypothèse.
Un homme est soupçonné d’avoir tué sa femme avant de se donner la mort par immolation à Ille-sur-Têt (Pyrénées-Orientales), a appris l’AFP auprès du parquet de Perpignan ce dimanche 30 octobre. «Une enquête a été ouverte pour meurtre sur conjoint suivi du suicide du mari, c’est l’hypothèse sur laquelle on va travailler», a déclaré à l’AFP Jean-David Cavaillé, procureur de la République de Perpignan. «L’examen des corps ne permet pas de déterminer les causes de la mort», a-t-il précisé, alors que les deux autopsies auront lieu en début de semaine prochaine.
Le corps d’un homme, «possiblement le propriétaire des lieux» âgé de 60 ans, a été retrouvé «en partie carbonisé» devant le domicile du couple qui venait de se séparer, selon le procureur. Dans la maison, les gendarmes ont trouvé le corps d’une femme, que le parquet pense être celui de son ex-compagne, âgée de 40 ans.
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Les gendarmes ont été prévenus par un membre de la famille du sexagénaire samedi en fin d’après-midi, avant de se rendre sur place, dans cette petite ville à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Perpignan.
Durant l’été, la victime avait dénoncé des violences de la part de son conjoint, qui n’avait pu être caractérisées. Dans des messages envoyés au cours du mois d’octobre, la quadragénaire affirmait toutefois que la séparation se passait bien, indique le parquet. L’enquête a été confiée à la brigade de recherches de Prades.
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Aujourd’hui, en période de revendications féministes, la Justice doit s’assurer que c’est bien le mâle qui a commencé.
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il aurait dû commencer par s’immoler
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L’immolation est une tradition Pyrénéenne, c’est bien connu.
Retrouvé par sa propriétaire, l’animal avait été présenté à un vétérinaire qui a constaté des lésions génitales.
L’animal souffre de multiples fractures, brûlures et a le visage déformé par les coups. Un couple d’«influenceurs» serait mis en cause.
Les plaignantes s’étaient rassemblées mardi 22 novembre devant l’hôpital Tenon pour exiger la suspension de ce spécialiste réputé de l’endométriose.
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Pyrénées-Orientales: un homme soupçonné d’avoir tué sa femme avant de s’immoler
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