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Le marché immobilier ralentit dans la région.
Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers
Le marché immobilier en Abitibi-Témiscamingue amorce une période de ralentissement, suivant ainsi la tendance observée partout au Québec.
Une nette diminution des ventes de près de 30 % de moins que le même mois en 2021 a été observée en septembre.
Il y a eu 75 ventes de maisons unifamiliales, et c'est un des mois les plus tranquilles depuis longtemps.
Le secteur de La Sarre se démarque avec une hausse des ventes de 129 %, soit 16 ventes comparativement à 7 l'an passé.
Une légère baisse de 3 % du prix médian des maisons a été observée, passant de 233 000 $ en septembre 2021 à 227 000 $ le mois dernier .
Le nombre des inscriptions a augmenté pour un total de 393 par rapport à 343 en septembre 2021.
Selon le directeur à la chambre immobilière de l'Abitibi-Témiscamingue Robert Brière, la situation influence beaucoup le marché.
« Les acheteurs ont un petit peu plus de temps pour visiter les propriétés, prennent davantage leur temps, on se bouscule moins, la surchauffe ralentie, elle est moins présente, mais c’est encore un marché de vendeurs. »
Les acheteurs vont pouvoir respirer un petit peu plus, ils prennent le temps de visiter plusieurs maisons, ils commencent à renégocier les prix de vente, ce qu’on ne voyait pas les mois passés, insiste Robert Brière.
Il mentionne que le prix offert est souvent inférieur à ce qui est demandé, mais ça demeure un marché de vendeur quand même parce que malgré tout, il n'y a pas énormément de propriétés sur le marché et les acheteurs sont encore présents, ajoute-t-il.
Le ralentissement du marché immobilier va se poursuivre, croit une économiste
Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette situation, notamment la hausse des taux d'intérêt.
Les acheteurs sont plus prudents et craignent les répercussions sur leur hypothèque. Aujourd'hui, on ne ressent pas encore les effets […] si ce n'est [que les] acheteurs sont plus prudents. Mais au niveau de l'économie globale en immobilier, on va vraiment ressentir les effets de la hausse des taux d'intérêt dans trois ou quatre ans, lorsque les gens [qui ont pris une hypothèque pour cinq ans] vont être dus pour renouveler leur hypothèque, ajoute Robert Brière.
Le délai moyen de vente a aussi augmenté, passant de deux mois l'an passé à trois mois en septembre dernier.
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