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Joan Faggianelli donne le coup d’envoi de «Mission Gulliverse» ce dimanche 13 novembre à 17h45 sur la chaîne pour enfants. Une émission hebdomadaire innovante à mi-chemin entre la réalité et le monde virtuel.
Depuis son arrivée sur Gulli il y a quinze ans, Joan Faggianelli est aux bambins ce que Neymar est aux supporters du Paris Saint-Germain. Une véritable star dont les plus jeunes espèrent un jour croiser le chemin. La chaîne du groupe M6 offre à ces téléspectateurs une occasion en or de le rencontrer en chair et en os, grâce au tout nouveau concept lancé ce dimanche 13 novembre, à 17h45. Dans «Mission Gulliverse», avec l’animatrice SoAnne, il accueillera chaque semaine deux binômes âgés de 8 à 13 ans, qui s’affronteront au cours d’épreuves en plateau, mais aussi dans un univers virtuel. Entretien avec un apôtre de la farce, qui a transformé son plateau en cour de récréation.
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TV MAGAZINE. – «Mission Gulliverse» s’installe à la place de Jamie et des tentacules. Qu’avez-vous envie de dire aux enfants, qui seront déboussolés par cette nouvelle programmation?
Joan FAGGIANELLI. – Franchement, ce dessin animé est un hit, donc ça va être compliqué de sécher leurs yeux. Mais je vais essayer d’essuyer quelques larmes en leur annonçant qu’un nouveau jeu arrive, avec une ambiance du tonnerre! Ils pourront y participer s’ils le souhaitent et ce divertissement s’enracinera dans la réalité mais aussi dans un monde virtuel, avec le Gulliverse.
Comment décririez-vous cet univers?
C’est un endroit extrêmement positif dans lequel tout le monde aime danser. C’est le Gulli 3.0. Néanmoins, dans un espace voisin, cohabitent des gens vraiment aigris. Un petit mec peu sympathique à la voix désagréable règne à la tête de cette population. Et pour prendre le pouvoir sur le Gulliverse, il a décidé de se transformer en DJ maléfique en montant à bord d’un énorme robot qui s’appelle le Juke Boss. Avec cette machine, il ne va jouer que des mauvaises notes pour gâcher la fête. Les enfants vont donc tout faire pour vaincre cette créature, afin de redonner des couleurs et de la joie de vivre au Gulliverse.
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Comment les joueurs vont-ils faire pour vaincre cet ennemi?
Je suis très fier de l’annoncer: c’est une première mondiale car aucun pays n’a lancé un jeu où les participants sont confrontés à la réalité virtuelle. Une partie de l’émission se déroulera en plateau et sera plutôt classique, avec des épreuves physiques et un quiz musical. Et, dès lors qu’une équipe remporte une manche, elle rentre le Gulliverse. Très concrètement, l’un des deux aventuriers part dans ce monde et l’autre reste dans la réalité pour le guider dans son aventure virtuelle.
« Créer le Gulliverse a représenté trois à quatre mois de boulot »
Comment avez-vous créé le Gulliverse?
Je ne pensais pas que c’était aussi pointu! Au départ, nous voulions proposer aux téléspectateurs de Gulli un nouveau concept qui colle à leurs délires. Nous avons construit ce monde avec une société géniale qui s’appelle Back Light. Et on a inventé, avec les équipes de la chaîne, un lieu que l’on pourrait qualifier d’idéal. Cela représente trois à quatre mois de boulot, avec cinquante personnes qui s’activent tous les jours dessus.
Gulli s’est repositionné sur un public plus familial en prime time. Est-ce pour vous l’occasion rêvée de vous adresser à un public plus âgé?
Je laisse la place aux Stéphane Plaza et autres, qui font super bien leur boulot. Ma position ciblée sur les enfants me convient très bien et je suis très à l’aise avec ça. Avec Gulli, on s’entend super bien. Ça fait quinze ans qu’on travaille sur des projets qui sont novateurs et les dirigeants me proposent toujours des projets dans lesquels je suis aussi partie prenante en tant que producteur. Ils me poussent à trouver des idées et ça me stimule tellement que j’ai du mal à lever la tête pour aller voir ailleurs. Je suis extrêmement bien avec cette chaîne, dont les valeurs me correspondent à fond. Donc, pourvu que ça continue!
Prochaine diffusion à la TV
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«C’est une première mondiale»: Gulli lance un jeu télé révolutionnaire
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