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En pleine messe, un homme a fait irruption dans la cathédrale Saint-Étienne pour abandonner un colis contenant un explosif. Il a été interpellé.
Temps de lecture : 1 min

L’inquiétant paquet avait été abandonné par un homme au pied de l’autel de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse. L’édifice religieux a été évacué vendredi matin en pleine messe, à la suite de l’irruption d’un homme qui a déposé ce colis suspect avant de s’enfuir, a-t-on appris de sources concordantes. Selon une source proche de l’enquête, le colis contenait un engin explosif artisanal de forme inhabituelle, sans dispositif de mise à feu. Le quartier a aussitôt été bouclé par la police et des démineurs ont été dépêchés sur les lieux, a constaté l’Agence France-Presse.
Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui avait signalé sur Twitter une « opération de police dans le centre-ville de Toulouse » en demandant d’éviter le secteur, a ajouté moins de 45 minutes plus tard que l’opération était « terminée. Aucune victime ». 
L’homme soupçonné d’avoir placé l’engin explosif a été interpellé en début d’après-midi par la police, a-t-on appris auprès du procureur. « La personne suspectée d’avoir déposé le colis a été interpellée et placée en garde à vue, il va être entendu. Il était connu des services de police », a dit à l’AFP le procureur de la République de Toulouse.
Opération de police dans le centre-ville de Toulouse.
Nous vous tiendrons informés.
Merci d’éviter le secteur.
Le sacristain, bousculé en tentant d’intercepter l’homme, a demandé aux fidèles d’évacuer la cathédrale, qui jouxte la préfecture, et il a alerté la police après l’incident, qui n’a pas fait de blessé. « Un homme est entré avec un colis sous le bras. Je l’ai pris pour un livreur. Il a traversé la nef et a déposé le colis devant les marches de l’autel. Il m’a bousculé, il a dit quelque chose et il est parti », a déclaré le sacristain Aurélien Dreux à un correspondant de l’AFP.
L’homme a déposé « un paquet blanc qui faisait entre 20 et 25 cm de large », a ajouté pour sa part l’abbé Jean-Jacques Rouchi, qui célébrait la messe vendredi matin. « Je n’ai réalisé qu’après que ça pourrait être un attentat. Il n’y avait que 40 personnes, c’était un jour de semaine », a-t-il précisé.
La préfecture a annoncé en milieu de journée que « la circulation dans le secteur de Saint-Étienne est rouverte à la circulation. La cathédrale devrait pouvoir être à nouveau accessible dans l’après-midi », selon un communiqué. Gérald Darmanin a rappelé les consignes de vigilance données aux préfets, ainsi qu’aux responsables de la police et de la gendarmerie. Le préfet de Haute-Garonne, Étienne Guyot, a pour sa part précisé avoir donné « des instructions aux forces de sécurité d’apporter une vigilance tout à fait particulière aux édifices religieux ».

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Mes petites détestations vont à tous ceux qui posent des bombes, en particulier dans les lieux de culte et les lieux de savoir. Alors oui, vous m’en voyez désolée – ou non – mais on a dû subir tellement de propagande politiquement correcte et de contre-vérités ces dernières années, que devant un certain silence journalistique il est permis d’avoir des doutes. Mais vous avez raison, un prénom ne veut rien dire. J’aurais dû penser à l’incendie de la cathédrale de Nantes.
Le suspect s’appelle Philippe.
Nom publié par “La Dépêche” (entre autres).
Déçue de ne pas pouvoir dérouler ses petites détestations cette fois-ci, je suppose.
Mes conseils de prudence tant qu’on ne savait RIEN avaient été critiqués par les “bas-de-plafond”, toujours les mêmes, démarrant au quart de tour dans leurs fantasmes à chaque fait-divers.

Une fois encore, j’ai eu raison.

– le suspect s’appelle PHILIPPE (Zemmour sera satisfait)
– il est FRAGILE PSYCHOLOGIQUEMENT, d’après le Procureur de Toulouse
– il est déjà connu de la justice
– “ses agissements n’étonnent qu’à moitié ses voisins” (je cite).

L’incident est clos.
En espérant que les “fantasmeurs” en auront tiré des enseignements pour l’avenir.
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