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ENQUÊTE 2/2. Un mois et demi après sa disparition, l’infirmière de Cagnac-les-Mines reste introuvable. Les gendarmes s’efforcent de percer le mystère.
Temps de lecture : 7 min
Que s’est-il passé dans la nuit du 15 au 16 décembre, rue Yves-Montand ? Cette nuit-là, il faisait environ 3 degrés à Cagnac-les-Mines ; pour la France entière, c’était la fin du deuxième confinement et le début du couvre-feu. Pourquoi la jeune infirmière serait-elle sortie après 20 heures, dans ce quartier mal éclairé, en doudoune blanche, téléphone portable en poche mais sans ses papiers, alors qu’elle n’était pas de garde ? Pour promener les chiens qu’elle ne promenait que rarement et qui avaient pour habitude de dormir dehors ? Les shar-peïs Klusky et Oprey ont bien été vus devant la maison, sur la terrasse, donc en liberté puisque le terrain n’était pas clôturé. Serait-elle sortie pour passer un appel confidentiel avant de faire une mauvaise rencontre ? Son téléphone a cessé de « b…
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Je m’intéresse surtout au buzz que cela génère et à ceux qui supputent, Columbo ratés.
Cela relève de la sociologie plus que du contenu de faits divers comme il en existe des centaines au quotidien dans ce pays.
Mais le choix gourmand et du bon sujet et des bons clients est un classique du genre (depuis France Dimanche, Ici Paris, Détective, et consorts).
Pour le reste, il est difficile d’échapper à ces marronniers-là, ce qui ne contraint pas pour autant à supputer…
Mais supputez, supputez : vous êtes la cible !
Surtout quand on part faire du jogging la nuit.
Vous intervenez 2 fois sur ce sujet, preuve qu’il vous intéresse.
Ne vous posez-vous donc aucune question, pour juger que d’autres ne puissent s’interroger et émettre des hypothèses ?
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