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Deux transactions par carte bleue, l'une de 500 euros et l'autre de 1 500 euros, ont été effectuées auprès d'un commerçant bulgare. Photo d'illustration. (mastersenaiper / Pixabay)
Un retraité de 83 ans habitant dans le Tarn a été victime début septembre d’une escroquerie pour un montant total de 2 000 euros. Une somme dont le remboursement lui est aujourd’hui refusé, au grand dam des filles de l’octogénaire. Celles-ci font tout pour que leur père recouvre cet argent, raconte La Dépêche du Midi . Tout a commencé le 7 septembre dernier.
L’une des filles, Laurence, a reçu un appel de l’agence bancaire de Gaillac (Tarn) l’informant que le compte de son père était à découvert. En cause, deux paiements par carte bleue effectués le même jour, l’un de 500 euros et l’autre de 1 500 euros. Laurence a comblé le découvert et fait le déplacement jusqu’à la banque. Elle a fait opposition à la carte bleue et réalisé un signalement sur le téléservice Perceval du ministère de l’Intérieur
Le titulaire du compte a de son côté signé un courrier de contestation précisant qu’il n’avait ni initié ni autorisé les transactions en question. Laurence s’attendait donc à ce que son père soit remboursé mais il n’en a rien été. L’assurance a répondu après quelques jours ne pas pouvoir « procéder au remboursement pour ce type de transaction ».
L’organisme a motivé sa décision en indiquant que les transactions ont été effectuées en utilisant un terminal de paiement, au moyen du code secret de la carte bleue. La fille de la victime s’est alors tournée vers la banque de son père, qui a avancé les mêmes arguments. Son père aurait dû protéger son code secret, a expliqué l’agence, précisant que les paiements avaient été réalisés auprès d’un commerçant bulgare dans le secteur de la couverture et de construction.
La victime n’utilisant sa carte bancaire que pour son pain et son journal, il n’a pas été déterminé comment les escrocs s’étaient procuré son code de carte bancaire. Le scénario le plus plausible est qu’une personne est venue chez le retraité avec un terminal de paiement. L’octogénaire a pourtant certifié n’avoir reçu aucune visite. Sa fille a témoigné vouloir aller « jusqu’au bout ». Elle a consulté un juriste du conseil départemental d’accès au droit et a l’intention de saisir le médiateur bancaire.
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d’autant que les sommes de 500 et 1500 € sont conséquentes…donc curieux ce buzz sur cette histoire et la réaction de la banque et de l’assurance qui refusent mais surement avec des biscuits pour motiver leur décision …çà sent une drôle d’odeur d’histoire de famille.
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