Erreur d'authentification
Votre compte a été clôturé.
Vous êtes authentifié. Nous chargeons votre espace membre.

Pour des raisons de sécurité et pour continuer à accéder à votre espace membre, nous vous remercions de bien vouloir valider votre compte membre en cliquant sur le lien suivant : Je valide mon compte membre
Vous allez recevoir un email à l’adresse indiquée lorsque vous aviez créé votre compte.
Cliquez ensuite sur le lien présent dans le mail. Vous pourrez alors de nouveau accéder à votre compte membre.
Si vous n’avez pas reçu cet email, contactez-nous

Un email de confirmation vient de vous être adressé.
8 caractères minimum
1 majuscule
1 minuscule
1 chiffre
1 caractère spécial
Différent de votre pseudo
Les deux mots de passe sont identiques
Bénéficiez gratuitement de fonctionnalités et de services additionnels. Devenez membre
Nouveau sur Boursorama ? Devenez membre

Le promoteur britannique a admis lui-même qu'il avait construit son château au mépris des règles en vigueur. (illlustration) (Pixabay / AJEL)

Le promoteur britannique a admis lui-même qu'il avait construit son château au mépris des règles en vigueur. (illlustration) (Pixabay / AJEL)

Le promoteur britannique a admis lui-même qu'il avait construit son château au mépris des règles en vigueur. (illlustration) (Pixabay / AJEL)
Construit à Grasse (Alpes-Maritimes) au mépris des règles d’urbanismes et de l’environnement, le Château Diter, d’une valeur de 53 millions d’euros, doit être démoli. La justice française a confirmé sa décision en décembre dernier. Patrick Diter, propriétaire britannique de la demeure, a jusqu’en juin 2022 pour s’exécuter.
Patrick Diter a jusqu’au 22 juin 2022 pour démolir son gigantesque château construit illégalement à Grasse (Alpes-Maritimes). C’est ce qu’a confirmé le 8 décembre dernier la Cour de cassation, au terme d’une bataille juridique de plusieurs années. Le promoteur immobilier britannique n’a en effet pas respecté les règles d’urbanisme et de respect de l’environnement en vigueur dans la région, rapporte Business Insider .
Le château néo-Renaissance d’une valeur de 64 millions de dollars (53 millions d’euros) a été construit entre 2000 et 2011 par Patrick Diter et sa femme. Le « Château Diter » s’étend sur 3 000 m². On y trouve « un pigeonnier, une tourelle, un pavillon mauresque, une galerie à colonnade, un cloître, des fontaines, des statues, un templion à coupole » , énumère Le Monde . Mais aussi des salons de réception, une grande piscine et sept suites hôtelières. Au total, 36 personnes peuvent y séjourner.
Une débauche architecturale que Patrick Diter a entreprise au mépris des règles d’urbanisme. Le millionnaire confirme qu’il n’a jamais demandé de permis de construire et a toujours ignoré les injonctions à arrêter les travaux. Le manque de discrétion n’a pas aidé le Britannique à se fondre dans le paysage.
En effet, ce sont des voisins qui, en 2008 puis 2013, saisissent la justice. De grandes fêtes réunissant 2 000 personnes se déroulent au château, avec leurs allers et venues de voiture et d’hélicoptères. La propriété contient un système de sonorisation de 132 haut-parleurs, et les voisins n’apprécient guère la musique qu’ils entendent jusque chez eux.
Le saccage environnemental n’est pas non plus passé inaperçu. Une voie de 650 m menant au château traverse une zone forestière protégée, comme l’a rappelé la cour d’appel d’Aix-en-Provence en mars 2019. Si Patrick Diter ne détruit pas son château dans les temps, il devra payer une amende de 226 000 dollars, ainsi que 565 dollars par jour tant que l’édifice ne sera pas démoli.
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Je ne vois pas pourquoi, il est mentionné dans l’article “si P. Diter ne détruit pas son château dans les temps, il devra payer une amende”. J’aurais préféré lire “Si le château n’est pas détruit, Diter devra payer l’amende et l’armée de l’air Française fera des tirs d’entrainement au frais de Patric D.” Nous devons bien avoir quelques missiles qui trainent….
Ali Laïdi : «La guerre économique est désormais une guerre de l’information et nous, les Européens, ne l’avons pas compris»
Début de la migration du Nouvel an lunaire en Chine, hantée par le COVID-19
Bourse : profitez de la vague !
Crédit immobilier : ce qui nous attend en 2023 !
Perspectives immobilières en France pour 2023
Le dividende salarié : les grands groupes sont contre
Copyright © 2023
Boursorama Banque, SA au capital de 51 171 597,60 € – RCS Nanterre 351 058 151 – TVA FR 69 351 058 151 – 44 rue Traversière, CS 80134, 92772 BOULOGNE BILLANCOURT CEDEX

source

Catégorisé: