l’essentiel La messe d’installation de Mgr Guy de Kerimel comme archevêque de Toulouse a lieu ce dimanche, dans la cathédrale Saint-Etienne.
Quelque 1 200 personnes (dont une cinquantaine de Grenoble) sont attendues ce dimanche, à 14 h 30, dans la cathédrale Saint-Etienne à Toulouse, pour la messe d’installation de Mgr Guy de Kerimel, lequel succède à Mgr Robert Le Gall à la tête du diocèse.
La présentation et l’installation seront présidées par Mgr Olivier de Germay, archevêque métropolitain de Lyon, en présence de Mgr Celestino Migliore, nonce apostolique, autrement dit ambassadeur du Pape, en France.
Pour le diocèse de Toulouse, l’arrivée d’un nouvel archevêque est un grand moment. Et pour Mgr de Kerimel, la messe d’installation promet « d’être très émouvante. Ce d’autant que j’ai un fond de timidité », glisse-t-il.
Originaire de Bretagne, Monseigneur Guy de Kerimel est nommé évêque en 2001, il devient évêque auxiliaire de Nice de 2001 à 2004 puis évêque coadjuteur de Grenoble entre 2004 et 2006 et évêque de Grenoble-Vienne en 2006. En septembre dernier, il avait eu maille à partir avec les fidèles traditionalistes au sujet de la messe en latin. « J’ai pris un décret pour faire appliquer le texte du Pape qui permet de dire la messe en français et en latin, selon le rite Paul VI, et ce milieu n’était pas d’accord, il souhaite un rite uniquement en latin et plus ancien", se défend-il.
Depuis le 9 décembre 2021, Monseigneur Guy de Kerimel est nommé archevêque de Toulouse. « Pour tout vous dire, je ne m’attendais pas à bouger. Le Pape en a décidé autrement et j’ai l’habitude de dire oui et d’aller où on m’envoie ». S’il reconnaît « être triste de quitter Grenoble » en raison des attaches profondes nouées là-bas, Monseigneur Guy de Kerimel est « content de découvrir une nouvelle région ».
Bien qu’il ne connaisse rien du grand diocèse de Toulouse, le nouvel archevêque jouit tout de même d’attaches familiales ici. L'archevêque est issu d’une fratrie de huit enfants (cinq garçons, trois filles), deux de ses frères sont agriculteurs, l’un dans l’Aude, et l’autre en Ari-ge. « Et j’ai des neveux installés à Toulouse », précise l’Homme à la Croix.
Dans un premier temps, Monseigneur Guy de Kerimel prévoit de rencontrer les diverses communautés chrétiennes et les structures du diocèse. Il a hâte notamment de découvrir Saint-Bertrand-de-Comminges.
Âgé de 68 ans, silhouette élancée (1m89), le nouvel archevêque de Toulouse est féru de « marche, de lecture et d’histoire » qu’il a étudiée à la Sorbonne ». Il adore sa Bretagne d’origine et l’Italie « où chaque village à des trésors architecturaux », avec une préférence pour Rome.
Proche de la communauté d’Emmanuel, le nouvel archevêque de Toulouse se reconnaît «spirituellement comme pasteur. Être au milieu des gens, c’est ma plus grande joie », conclut-il.
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Que l’on arrête de nous vanter l’ouverture et les adaptations de l’Église au monde d’aujourd’hui, de nous dire que la « vraie » Tradition doit être évolutive, etc., etc. ! De quelle évolution parle-t-on ?
Motu proprio Traditionis custodes) la Fraternité Saint-Pierre avec Mgr de Kerimel, évêque de Grenoble, interdit la tradition DANGER A TOULOUSE
là aussi on a l'impression qu'il y a des carriéristes , des gradés de la religion qui se planquent dans le confort avec des titres ronflants , Ce ne sont pas des abbés PIERRE !!!humilité dévouement etc Dans les petits villages et ses alentours où l'on trouve beaucoup d' églises sans curés sans abbés certains ont plus de 80 ans et sont complètement épuisés Il faudra sortir de Saint Etienne et voir dans les alentours Monseignoré
très bien dit, bravo

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