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Ce père de famille de 43 ans a un désir des plus simples, du moins en apparence, construire sa propre maison sur un terrain de 7000 m², à Toutainville, dans l’Eure (27). Une maison placée sur pilotis et non sur une dalle en béton afin de ne pas impacter l’environnement et équipée de panneaux solaires et de bacs de récupération d’eau de pluie. Pour ce faire, Cyrille achète un terrain il y a trois ans à 30.000 € et dépose trois demandes de permis de construire , en vain, selon L’Éveil de Pont-Audemer .
Sa première demande a été rejetée au motif que les photos fournies montrant l’emplacement de la maison ne convenaient pas. Selon la mairie, ce sont surtout « des pièces du dossier déposées hors délai », qui ont empêché la demande d’aboutir. Cyrille ne se décourage pas et dépose une deuxième demande . Là encore, un élément fait barrage: il manquerait des pièces en lien avec l’assainissement. Cyrille collabore alors avec un bureau d’études spécialisé qui dessine son futur réseau d’assainissement. Mais ce point coince encore lors de la troisième demande qui finit par échouer. « Il y a très peu de place, l’assainissement aurait été trop proche de la propriété d’à côté », explique la municipalité de Toutainville à L’Éveil de Pont-Audemer.
Cyrille et son épouse continuent de rembourser leur emprunt et envisagent de revendre le terrain. Sauf que là aussi le bât blesse: l’agence immobilière assure que le terrain n’est plus constructible. Sur le terrain du couple, seuls 500 m² étaient constructibles. En janvier 2020, le Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) a remplacé le Plan local d’urbanisme (PLU) de la commune. « Tout a été placé en zone naturelle » afin de lutter contre l’étalement urbain, précise la municipalité. Cyrille a « le sentiment qu’on m’a volé mon rêve », déplore-t-il.
Il aurait toutefois droit à un permis de construire sur sa parcelle, en raison d’une déclaration préalable de division en 2018, à condition de l’obtenir avant avril 2023. Cyrille qui vit actuellement dans une maison de ville de 60 m² avec son épouse et leurs deux enfants de 13 et 20 ans, s’apprête donc à déposer une quatrième demande de permis de construire, plus déterminé que jamais.
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