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À Paris, l’immobilier haut de gamme va-t-il échapper aux baisses de prix attendus sur le marché traditionnel ? (Crédits photo : Unsplash - Yann Maignan )

À Paris, l’immobilier haut de gamme va-t-il échapper aux baisses de prix attendus sur le marché traditionnel ? (Crédits photo : Unsplash – Yann Maignan )

À Paris, l’immobilier haut de gamme va-t-il échapper aux baisses de prix attendus sur le marché traditionnel ? (Crédits photo : Unsplash – Yann Maignan )
À Paris, l’immobilier haut de gamme va-t-il échapper aux baisses de prix attendus sur le marché traditionnel? Les avis sont partagés. « Je m’attends à ce que les prix baissent de 5% à 7% dans les douze prochains mois », affirme Richard Tzipine, directeur général de Barnes. « À moins d’un krach, les prix ne baisseront pas de manière significative, quel que soit le profil des biens, car les vendeurs ont face à eux une demande qui explose, surtout que les expatriés (Europe et Asie) et les étrangers (Allemands, Suisses, Scandinaves et bientôt les Américains) s’apprêtent à revenir », explique de son côté Alexandrer Kraft, PDG de Sotheby’s International France.
Bien que le marché retrouve des couleurs, sa structure pourrait être amenée à évoluer. Plusieurs vendeurs, anticipant cette baisse des prix, mettent leur bien sur le marché. « À ce jour, nous enregistrons une hausse de 50% de nos mandats par rapport à 2019 », souligne Richard Tzipine. « Les compromis que nous avons signés représentent un total de 400 millions d’euros au premier semestre contre moins de 300 millions l’an passé à la même époque », précise Alexander Kraft.
Ce sont aussi bien des ménages qui veulent concrétiser un nouveau projet professionnel, d’autres qui ont envie d’espaces et de verdure ou encore certains obligés de vendre à la suite d’un décès ou d’un divorce parfois liés au Covid-19. « 42% de nos biens en mandat à Paris en proche région parisienne disposent d’une terrasse ou d’un jardin. Dans les Hauts-de-Seine, ce taux grimpe à environ 70% », détaille Richard Tzipine.
Le Graal, c’est évidemment de rester à Paris avec un jardin. Mais tout le monde n’en a pas forcément les moyens, même parmi les ménages aisés. La faute au durcissement de ton des banques qui peut aussi les concerner. Conséquence: les acheteurs pourraient être soit moins nombreux soit plus attentistes. Et qui dit baisse de la demande couplée à une hausse, même légère de l’offre, dit généralement recul des prix.
Toutefois, tous les biens immobiliers ne seront pas concernés. À l’instar du marché traditionnel, le fossé risque de se creuser entre les biens de luxe sans défaut et les autres. Les biens d’exception avec vue dégagée, balcon/terrasse et verdure se vendent toujours très rapidement à des prix aussi élevés qu’avant la crise, aux dires des experts.
Le retour progressif des expatriés et des étrangers y serait pour quelque chose. « Avant la crise, le marché de prestige était essentiellement soutenu par les Français. La crise pourrait corriger cette tendance un peu en faveur des étrangers qui commencent à revenir », analyse Alexander Kraft. « Dans le 9e et 18e, nous enregistrons le retour d’expatriés à Londres qui sont actuellement bloqués à Paris pour cause de quarantaine , confirme Marie Bauchet, directrice Barnes (9e, 10e, 18e, 19e). Montmartre attire les Italiens et les Suisses ». Une clientèle qui n’a généralement pas de problème pour obtenir un crédit. Reste à savoir si elle sera suffisante pour éviter une baisse des prix.
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