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Dans la trentaine de villes françaises qui accueilleront des épreuves des Jeux olympiques en 2024, les demandes de location meublées vont grimper en flèche. Photo d'illustration. (michaelwedermann / Pixabay)
Dans la trentaine de villes françaises qui accueilleront des épreuves des Jeux olympiques en 2024, les demandes de location meublées vont grimper en flèche. Photo d'illustration. (michaelwedermann / Pixabay)
A l’instar d’autres grands événements, les Jeux olympiques de Paris en 2024 risquent de faire exploser les prix des locations meublées à la nuitée. Dans la trentaine de villes concernées par cet événement planétaire, des propriétaires réfléchissent à mettre leur bien en location, rapportent nos confrères des Echos .
« C’est souvent à dix-huit mois avant la tenue de l’événement que les réservations s’effectuent et avec un regain d’activité pour les demandes de dernières minutes » , a analysé un expert du secteur. Au total, l’événement durera deux semaines, auxquelles il faut aussi ajouter deux semaines pour les Jeux Paralympiques.
Cependant, la billetterie n’ouvrira qu’à la fin de l’année 2022 avec un échelonnement jusque dans le courant de l’année 2023. Les propriétaires qui souhaitent donc mettre leur bien en location ont encore du temps pour se décider, notamment au niveau des tarifs.
Nul ne sait pour l’heure si des mesures restrictives seront mises en place pour éviter que les prix ne grimpent trop haut. La Mairie de Paris a tenu à rappeler certaines règles à ce sujet. Une résidence principale ne peut être louée par son propriétaire que 120 jours par an ou moins après avoir rempli en ligne une déclaration de meublé tourisme. Les locataires peuvent eux aussi sous-louer leur logement s’ils ont le feu vert de leur bailleur.
Dans le même temps, il convient de s’assurer que le règlement de copropriété n’interdit pas ce type de location. Cependant, un arrêt de la Cour de cassation du 18 février 2021 indique que « le fait de louer, à plus d’une reprise ou au mois au cours d’une même année, un local meublé pour une durée inférieure à un an, telle qu’une location à la nuitée, à la semaine ou mois, à une clientèle de passage, constitue un changement d’usage d’un local destiné à l’habitation, et par conséquent à une autorisation préalable » . Alexis Alban, directeur général adjoint de Lodgis note que l’utilisation de l’expression « à plus d’une reprise » rendrait « possible de louer une fois et exceptionnellement en 2024 et en toute légalité » .
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Oui popo27g, cela fait 50 ans qu elle doit exploser..ne confondez pas Espagne et France !
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