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Dans les 62 circonscriptions où le Rassemblement national affrontera la Nupes, la question du front républicain se pose pour la majorité présidentielle. Et visiblement, les violons n’ont pas été accordés.
Au lendemain du premier tour des législatives, la majorité présidentielle émet des avis dissonants sur l’éventuelle constitution d’un front républicain dans les 62 circonscriptions où, au second tour, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) affrontera le Rassemblement national (RN). Après avoir évoqué des choix « au cas par cas » qui ont donné lieu à une véritable cacophonie le soir du premier tour, Elisabeth Borne a tranché : « Ne jamais donner une voix à l’extrême droite. »
Mais entre la consigne nationale et celles données par les candidats locaux éliminés, il y a un monde. Quand Jean-Michel Blanquer renvoie dos à dos la Nupes et l’extrême droite, certains vont même jusqu’à appeler à voter blanc, au risque de faire gagner l’extrême droite. « L’Obs » fait le point en reprenant les consignes de vote de la majorité présidentielle dans les 62 circonscriptions.
Si Fabien Roussel est arrivé en tête du premier tour, c’est seulement avec 473 voix de plus que le candidat d’extrême droite. Mais il a reçu le soutien de la majorité présidentielle, par l’intermédiaire d’Elisabeth Borne, en personne, qui répondait à l’un de ses tweets : « Face à l’extrême droite nous soutiendrons toujours les candidats qui respectent les valeurs républicaines. C’est votre cas Fabien Roussel. »
Au niveau local, la candidate défaite Delphine Alexandre a appelé « sans aucune hésitation » à voter pour le communiste Fabien Roussel. « Défendons sans relâche nos valeurs républicaines ! », a-t-elle tweeté.
Arrivée d’une courte tête devant le RN, la députée sortante LFI Caroline Fiat a reçu le soutien d’Ergün Toparslan qui a appelé à voter pour elle : « C’est un second tour qu’on voulait absolument éviter entre l’extrême droite et l’extrême gauche. Malgré tout, pour le second tour j’appelle à voter pour Caroline Fiat. Le territoire ne peut pas se permettre d’avoir un député du Rassemblement national », a expliqué le candidat de la majorité, dans une vidéo publiée sur sa page Facebook.
Arrivé en troisième position, Nicolas Bays « appelle les électeurs qui [lui] ont fait confiance à faire battre le candidat de Marine Le Pen », indique « Libération ». Un appel qui ne vaut pas soutien au « candidat de Jean-Luc Mélenchon » dont il ne donne pas le nom.
Chantal Rybak, arrivée troisième, a affiché son soutien au député communiste sortant, Alain Bruneel : « Par défaut, je soutiens Alain Bruneel, bien que son engagement dans la Nupes, alliance hétéroclite et non démocratique, me pose question », a-t-elle écrit sur Facebook.
Troisième à 225 voix près, Letycia Ossibi a appelé « sans réserve » à voter pour Hubert Wulfranc, député communiste sortant, d’après « Paris-Normandie ».
Dans un tweet publié lundi matin, Victor Albrecht, arrivé troisième, « appelle sans réserve à voter pour Florence Loury, candidate EELV face au Front national ».
Dans un communiqué partagé sur Twitter, la candidate de la majorité Catherine Simonin précise que c’est à chacun de se positionner : « Pour ma part, je ne partage ni les idées de Marine Le Pen, ni celles de Jean-Luc Mélenchon. » Pour autant, elle reprend la déclaration d’Elisabeth Borne : « Pas une voix pour le RN. »
Le député sortant LREM Saïd Ahamada a simplement appelé à ne donner aucune voix au candidat RN : « Pour ce second tour, aucune voix ne doit aller à l’extrême droite. Il faut battre les candidats du Rassemblement national dimanche prochain », a-t-il tweeté.
Même cas de figure et même consigne de vote pour Bertrand Mas-Fraissinet. Arrivé troisième, il a indiqué sur Twitter souhaiter « qu’aucune voix progressiste ne se porte sur la candidate RN ». « Je suis en désaccord profond avec les programmes qui seront défendus au second tour », a-t-il également précisé.
Arrivée troisième, Mariana Caillaud a publié un message sur Facebook : « D’une part, aucune voix ne doit être accordée au Rassemblement national ; d’autre part, Monsieur Caillault est un élu socialiste, et je lui fais confiance pour porter un projet républicain pour ce territoire. »
« Personnellement, mon combat a toujours été contre le RN et ses idées. J’espère qu’aucune voix supplémentaire n’ira au RN au second tour », a déclaré Jeanne Roussel au quotidien régional « l’Ardennais ».
Dans un message publié sur Facebook, Naïma Sifer a exhorté à rejeter le Rassemblement national : « Je veux appeler celles et ceux qui m’ont aimée, accompagnée et soutenue jusque dans les urnes à rejeter les idées de l’extrême droite. Rien ne peut résulter de bon dans ce choix, sinon la division, la haine et le rejet. »
Indirectement investi par le RN (qui n’a pas présenté de candidat face à lui), Nicolas Dupont-Aignan est arrivé en tête avec 33,34 % des voix. Pour le second tour, Mohamed Bida a appelé à ne donner « aucune voix à l’extrême droite ».
« Le 19 juin, le choix est celui de deux conceptions de la vie politique. Je ne me retrouve ni dans l’une, ni dans l’autre. Toutefois, je pense qu’il ne faut pas donner de voix à la candidate RN », a déclaré le député sortant battu Bruno Questel, à Actu.fr. Il n’a cependant pas donné de consigne de vote.
Indirectement investi par la Nupes qui ne lui a opposé aucun candidat, Dominique Potier (qui refuse l’étiquette de l’alliance des partis de gauche) a reçu le soutien de Marika Bret qui a salué sur Twitter le score de son opposant : « Nous n’avions pas le même projet, mais nous partageons l’attachement à la République. » Ancienne DRH de « Charlie Hebdo » et membre du Printemps républicain, cette dernière a précisé qu’au second tour « aucune voix nouvelle ne doit aller à l’extrême droite ».
Sur Facebook, Virginie Caron-Decroix (19,94 %) rejette le RN : « Mes valeurs et mes convictions me conduisent à rejeter le parti de l’extrême droite. C’est pourquoi, dimanche prochain, pas une seule voix ne doit aller vers la candidate du RN. Les électeurs devront se mobiliser et ne pas laisser place à l’abstention ! »
Dans un communiqué publié sur Twitter, Baptiste Petitjean déplore une « opposition stérile » entre un candidat LFI et un candidat RN, mais martèle : « Il faut penser clair, raison garder et prendre ses responsabilités : pas une voix pour le RN ce dimanche 19 juin. »
La candidate de la majorité Isabelle Seguin a écrit dans un communiqué publié mardi soir sur Twitter : « Les choses sont claires, pour le deuxième tour, dimanche prochain, pas une voix pour le Rassemblement national. »
Dans un communiqué de presse, la candidate d’Ensemble ! Alexandrine Pintus a indiqué qu’elle votera blanc au second tour : « Le choix est entre les extrêmes et le vote blanc. Mon vote sera donc blanc. » Une consigne de vote déjugée par le délégué général de Renaissance Stanislas Guerini. Lui-même en difficulté dans sa circonscription, il a appelé sur Twitter lundi à voter pour la candidate de la Nupes : « Soyons très clairs : pas une voix pour le RN. Face à Marine Le Pen, j’appelle à voter Marine Tondelier au second tour des élections législatives », a-t-il écrit.
Avec près du double de voix par rapport au candidat RN, François Ruffin n’aura pas le soutien de Pascal Rifflart qui a indiqué vouloir voter blanc : « Je resterai mobilisé pour la démocratie contre le chaos qu’incarnent ces deux fléaux et manifesterai ma résistance par un vote blanc », avait-il tweeté, selon « Libération ». Il a depuis supprimé sa publication.
Proche de Jean Castex, Pierre Bataille a appelé à voter blanc au second tour, selon France 3 Occitanie.
Catherine Daufès-Roux a expliqué qu’elle votera blanc dans une interview au « Midi Libre Alès ». « Personnellement je vote blanc. Après, les électeurs font bien ce qu’ils veulent », explique-t-elle. Elle renvoie dos à dos les deux candidats présents au second tour, qualifiant le candidat Nupes « d’extrême », car venant du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) avant d’être chez La France insoumise (LFI).
Dans un post Facebook publié lundi midi, Mathilde Tastavy a indiqué voter blanc : « J’indique que je voterai blanc car, pour moi, aucune des deux candidates participant au second tour ne fait partie du champ républicain tel que je l’entends. » Elle précise cependant ne « pas donner de consigne de vote » et que « chacun votera en son âme et conscience ».
Dans un entretien à « la Dépêche », Olivier Damaisin a expliqué qu’il votera blanc : « Pour moi, et je l’ai toujours dit, c’est tout sauf LFI et le RN. Il n’y a pas de différence, c’est ni mieux ni pire. » Il précise d’ailleurs : « Si c’était quelqu’un des rangs du Parti socialiste, il n’y aurait pas de souci, j’aurais appelé à voter pour lui. »
Eliminé, Jean-Michel Blanquer est arrivé 189 voix derrière le candidat de la Nupes. S’il a annoncé faire un recours juridique sur l’élection, il n’a pas donné de consigne de vote et a renvoyé dos à dos le représentant de l’extrême droite et le candidat communiste : « Je le dis très solennellement, l’extrême gauche est un danger aussi important que l’extrême droite aujourd’hui. »
Eliminée, la députée sortante Laurence Vanceunebrock a reconnu sa défaite et déplore son faible score : « Déception pour la circonscription, puisque les électeurs auront à choisir entre la peste et le choléra, car on se retrouve avec deux extrêmes qui sont dangereux pour notre démocratie », a-t-elle déclaré dimanche soir selon France Bleu Pays d’Auvergne.
« Pour le second tour, les voix ne doivent pas aller aux extrêmes », a déclaré Séverine Gineys à « l’Hebdo de l’Ardèche ». Si elle laisse entendre qu’elle ne votera pas ou qu’elle votera blanc, elle ne donne pas d’informations explicites.
Interrogée par France 3 au soir de sa défaite, la candidate de la majorité Danièle Hérin a affirmé qu’elle ne pouvait pas « pas prendre une décision toute seule dans [s]on coin ». Ajoutant : « J’appartiens à un mouvement, à un parti. Et on n’avait pas tout à fait prévu ce résultat. »
Sur BFM Marseille, Alexandra Louis a affirmé que « c’est aux électeurs de choisir » pour qui ils vont voter au second tour. « Ça fait bien longtemps que les consignes de vote ou les alliances ne sont pas attractives pour les électeurs », conclut-elle.
Se présentant sur Twitter comme « la seule candidate capable de battre les extrêmes », Véronique Bourcet-Giner a pourtant été éliminée dès le premier tour. Et elle n’a pas voulu choisir entre la Nupes et le RN : « Je vous engage à aller voter dimanche en votre âme et conscience », a-t-elle déclaré dans une courte vidéo publiée dans la nuit du premier tour.
Thierry Boissin a redoublé d’imagination pour appeler à voter contre le RN sans le dire : « J’attends de la part de M. Dharréville une réelle prise de position vis-à-vis des Martégaux [habitants de Martigues]. Dans le même temps, je ne voterais pas pour le RN », a-t-il tweeté dans un premier message. Avant de poursuivre dans un second message : « Dimanche, je vous invite à aller voter en hommes et femmes libres, en citoyens éclairés que vous êtes. » L’ambiguïté à son maximum.
Députée sortante, Nadia Essayan a indiqué sur Facebook qu’elle ne votera pas pour le RN, sans donner de consigne de vote : « Je souhaite bon courage aux électeurs qui ont maintenant le choix entre Mélenchon et le RN. Ce n’est pas la France que j’aime. »
Arrivé troisième, le maire de Mirmande Benoît Maclin n’a pas non plus souhaité donner une consigne précise de vote. « A titre personnel, je ne pourrai jamais voter pour le Rassemblement national. Donc clairement dimanche prochain, je ne mettrai pas un bulletin RN dans l’enveloppe », a-t-il répondu à un journaliste de France 3 Rhône-Alpes. Est-ce une consigne de vote ? « Les électeurs l’entendront comme ils le veulent. »
Le maire de Saint-Privat-des-Vieux, Philippe Ribot, n’appellera pas à voter pour un candidat ou un autre : « Les gens n’ont que faire des consignes et je n’ai pas la prétention d’en donner », rapporte « Midi Libre ».
Sur France 3 Limousin, Shérazade Zaiter a réagi avec amertume sur son élimination due, selon elle, au candidat dissident LREM Jean-Luc Bonnet : « On se retrouve avec un vote extrême, extrême à gauche, extrême à droite, parce qu’un monsieur avec un ego surdimensionné a voulu absolument se présenter en disant qu’il était soutien de la majorité présidentielle. » Elle a par ailleurs précisé qu’elle ne donne pas de consigne de vote au second tour et n’appelle pas à faire barrage au RN.
Le candidat de la majorité Jean-François Audrin a publié un communiqué lundi soir dans lequel il a fustigé « la communication bien ficelée » de la Nupes et déploré « la campagne de dédiabolisation » du RN et la xénophobie qui règne dans le parti, sans préciser de consigner de vote.
Interrogé par France 3 Grand Est, Richard Lioger « n’appelle à voter pour personne ». Avant de préciser : « Maintenant, en tenant compte des valeurs républicaines et de ce que je connais de la candidate de la Nupes qui est sur la 3e circonscription de Moselle, à titre personnel, je voterai pour elle. »
Député sortant, Brahim Hammouche a donné sa position sur Facebook : « Dans ce deuxième tour, chaque électeur saura faire un choix en conscience et en responsabilité pour ne pas contredire ses propres valeurs et entacher sa propre valeur. »
Interrogé par « la Voix du Nord », Frédéric Cauderlier a déclaré qu’en vue du deuxième tour, il ne donnera aucune consigne de vote. « Pour moi, les extrêmes restent les extrêmes », a-t-il expliqué.
Dans un entretien vidéo donné à « l’Indicateur des Flandres », Claude Nicolet a regretté un « duel entre l’extrême droite et l’extrême gauche ». S’il « encourage vivement » les électeurs à voter au second tour, il ne donne pas de consigne.
Alors que l’extrême droite est au plus haut, Emmanuel Cherrier n’a pas donné son soutien au candidat de la Nupes : « Nous appelons nos électeurs du premier tour à voter selon leur conscience, considérant qui plus est que le temps des “appels à voter” de ceux qui s’estiment propriétaires de leurs voix a vécu », a-t-il écrit sur Facebook.
Député sortant, Pascal Bois estime dans l’« Oise Hebdo » que le second tour sera « un choix à faire entre deux extrêmes ». Amer, il précise au « Courrier picard » qu’il n’a pas encore donné de consigne de vote : « Il y a cinq ans, je n’ai vu personne en faire, alors il faut que je réfléchisse. »
Près de 15 points derrière le candidat de la Nupes, Patrick Debruyne n’a pas appelé à voter pour lui contre l’extrême droite largement en tête. « Il faut analyser la situation à l’échelle du département et se laisser le temps de la réflexion », a-t-il déclaré à « la Voix du Nord ». Et d’ajouter : « La question fondamentale est : est-ce que chacun est prêt à faire battre le RN ? »
Sur Twitter, Alexandra Monet a écrit ne pas donner de consigne de vote « parce que ce n’est pas ma philosophie politique ». Avant de poursuivre : « En revanche, je veux dire que jamais, à titre personnel, je ne voterai pour un représentant de l’extrême droite. »
Sur le même réseau social, Joachim Le Floch-Imad a annoncé qu’il ne donne aucune consigne de vote. « Cela ne correspond pas à l’idée que je me fais de la politique. Les électeurs sont des citoyens autonomes, qui sauront décider en leur âme et conscience », a-t-il écrit. Il précise qu’« à titre personnel, absolument tout m’oppose à Elise Leboucher, la candidate de la Nupes ».
Dans un post Facebook, Jean Delalandre évoque le second tour : « Notre circonscription se retrouve face à un triste choix entre deux options brutales, entre deux options radicales et extrêmes, entre la figure de Marine Le Pen et celle de Jean-Luc Mélenchon. »
Toujours sur Facebook, Muriel Roques-Etienne explique pourquoi elle ne donnera pas de consigne : « Je considère que chacun vote en son âme et conscience et que je n’ai pas à dire comment chacun doit voter. Clairement, je ne donnerai pas de consignes de vote non plus, car je me bats et me battrai toujours contre les extrêmes, le populisme et la fracture prônés par la Nupes et le RN. »
La candidate de la majorité Zivka Park a écrit dans un post Facebook lundi soir : « Je souhaite le meilleur à notre territoire, sans cacher ma tristesse de le voir réduit au choix entre deux extrêmes qui ne font que diviser notre pays. Jamais je ne les cautionnerai. »
« Merci pour nos chaleureuses rencontres, merci pour votre confiance qui m’a portée, merci pour nos échanges », a écrit Mireille Robert sur Facebook. Et puis, c’est tout.
Dans un tweet accompagné d’un montage de photos souvenirs de la campagne, Karine Nouette Gaulain remercie ses électeurs.
Après sa défaite, le candidat de la majorité Jean-François Eliaou a remercié ses électeurs sur les réseaux sociaux et fait part de son « honneur » d’avoir servi la France pendant cinq ans. Il n’a pas évoqué de consigne de vote.
Dans un court tweet, accompagné d’une photo de lui regardant l’horizon, le député sortant Philippe Huppé s’est dit « heureux d’avoir servi la France pendant cinq ans ».
Député sortant, Christophe Euzet a remercié ses électeurs sur Twitter. « Ce fut un immense honneur de le représenter à l’Assemblée nationale pendant cinq ans », a-t-il conclu.
A 249 voix près, Laure Miller était au second tour à la place de la candidate d’extrême droite. Un résultat qu’elle conteste, évoquant une « une erreur administrative ». La candidate d’Ensemble ! a indiqué dans un communiqué, formuler un recours « pour l’ensemble des électeurs […] qui sont aujourd’hui l’otage d’un second tour entre les extrêmes ».
Sur Facebook, Elisabeth Roblot a exprimé sa « déception » face à « l’abstention et la poussée confirmée du RN » qui l’ont empêché d’être au second tour. « Pour autant, la vie continue », conclut-elle.
Lisa Broutté a remercié sur Twitter ses électeurs avant d’évoquer le second tour : « La semaine prochaine, je souhaite que le maximum de candidats Ensemble l’emporte : la perspective d’une Assemblée nationale sans majorité absolue, paralysant l’action publique et livrant le pays à cinq années de guérilla parlementaire permanente me paraît mortifère. »
Sur Facebook, Fatna Mekidiche remercie « chaleureusement » ses électeurs. Mais ne donne pas de consigne.
Eliminé à 94 voix près, Rodrigue Kokouendo a lui aussi publié un post Facebook de remerciement, sans donner de consigne.
Dans un communiqué sur Facebook, la candidate de la majorité Souad Zitouni est revenue sur sa défaite et son engagement en tant que députée, et a souhaité « le meilleur pour notre territoire », sans préciser de consigne de vote.
Le candidat de la majorité Paul Audan ne s’est pas exprimé sur sa défaite.
La candidate de la majorité Karine Legrand ne s’est pas exprimée sur sa défaite.
La candidate de la majorité Sira Sylla, députée sortante, ne s’est pas exprimée sur sa défaite.
"Le chat de la voisine qui aime la bonne cuisine …." Et la France, pas celle de Macron la Zombie inféodée au néolibéralisme mondialisé ! Non, notre Marianne celle qui conduit un Peuple qui ne rougit pas de son passé, fier de sa culture Judéo Chrétienne et refuse de s'agenouiller devant l'slam et ses meurtriers. Marianne donne ta fougue et ta foi aux Patriotes, Macron et ta clique, dehors !
Front Républicain = RAS LE BOL ! les candidats RN ne sont pas d'ignobles fascistes et des pestiférés ! il faudrait d'ailleurs regarder de près l'antisémitisme sournois, discret mais réel, de LFI ! chiche ! l'Obs va lancer une enquête !
Ils sont franchement ridicules. Ils appellent à voter pour ceux qui veulent les empêcher d'avoir la majorité. Plus schizo tu meurs.
Ils sont franchement ridicules. Ils appellent à voter pour ceux qui veulent les empêcher d'avoir la majorité. Plus schizo tu meurs.
Le RN est sans doute plus républicain que EELV, LFI et le PC qui ont défilé avec les islamistes du CCIF en 2019. Le front anti-républicain ne fonctionne plus.
EXACTEMENT !

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