Erreur d'authentification
Votre compte a été clôturé.
Vous êtes authentifié. Nous chargeons votre espace membre.

Pour des raisons de sécurité et pour continuer à accéder à votre espace membre, nous vous remercions de bien vouloir valider votre compte membre en cliquant sur le lien suivant : Je valide mon compte membre
Vous allez recevoir un email à l’adresse indiquée lorsque vous aviez créé votre compte.
Cliquez ensuite sur le lien présent dans le mail. Vous pourrez alors de nouveau accéder à votre compte membre.
Si vous n’avez pas reçu cet email, contactez-nous

Un email de confirmation vient de vous être adressé.
8 caractères minimum
1 majuscule
1 minuscule
1 chiffre
1 caractère spécial
Différent de votre pseudo
Les deux mots de passe sont identiques
Bénéficiez gratuitement de fonctionnalités et de services additionnels. Devenez membre
Nouveau sur Boursorama ? Devenez membre

Connaissez-vous le poids de la fiscalité si vous décidez d'acheter une résidence secondaire ? ( Crédits : 123RF)

Connaissez-vous le poids de la fiscalité si vous décidez d'acheter une résidence secondaire ? ( Crédits : 123RF)

Connaissez-vous le poids de la fiscalité si vous décidez d'acheter une résidence secondaire ? ( Crédits : 123RF)
De nombreux propriétaires de résidences secondaires louent leur bien quand ils ne l’occupent pas. Ils ne sont pas dans une démarche de rendement locatif mais plutôt à la recherche de solutions pour couvrir les charges d’entretien voire les charges d’acquisition (remboursement d’emprunt par exemple). Toutefois, la location d’un bien immobilier génère des coûts dont il faut tenir compte pour faire son budget.
La location d’une résidence secondaire est logiquement saisonnière et implique de louer le bien meublé. Ceci impacte la fiscalité à laquelle sont soumis les revenus tirés de la location. Les loyers perçus sont en effet imposés selon le régime LMNP (Location Meublée Non Professionnelle). Il faudra ensuite déterminer s’ils relèvent du régime micro-BIC ou du régime réel.
Si les revenus tirés de la location sont inférieurs à 70.000 euros par an, vous pouvez opter pour le régime micro-BIC. Les loyers perçus bénéficient alors d’un abattement de 50 %, c’est-à-dire que seulement 50 % des sommes seront soumises à l’impôt sur le revenu. De plus, si vous avez obtenu le classement de votre logement en meublé de tourisme, l’abattement peut atteindre 71 %.
Avec le régime micro-BIC, les frais et charges ne sont pas déductibles des loyers étant donné que ce régime permet déjà de bénéficier d’un abattement. Si vos charges sont supérieures à 50 % des loyers, vous avez donc peut-être intérêt à opter pour le régime réel. Le régime réel ne comporte pas d’abattement sur les loyers mais permet de déduire des revenus locatifs les charges liées à l’exploitation du bien (frais d’agences, assurances, charges de copropriété, taxe foncière), aux intérêts d’emprunts, aux travaux de réparation, d’entretien et d’amélioration, d’acquisition du bien, d’amortissement du bien et des meubles qui le composent.
La suppression progressive de la taxe d’habitation ne concerne que les résidences principales. Les propriétaires d’une résidence secondaire sont donc redevables de la taxe d’habitation et ce qu’ils en soient exonérés ou qu’ils continuent à la payer pour leur résidence principale.
De plus, pour faire face à la prolifération de résidences secondaires engendrée par le succès des plateformes de location en ligne de meublés touristiques, certaines communes sont autorisées à appliquer une surtaxe d’habitation aux logements meublés non affectés à l’habitation principale, à un taux maximal de 60 %. Les communes concernées sont celles situées dans les zones tendues en déficit de logements, soit environ de 1.100 communes en France. C’est le cas par exemple de Paris, Nice Bordeaux ou encore Saint-Jean-de-Luz.
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
la france recupere tous les ressortissants de pays qui ne peuvent pas acheter de residences secondaires chez eux mais la france ne construit pas assez ce qui alimente la penurie et la hausse des prix sans oublier la corruption.il faut changer la reglementation sur l urbanisation et sanctionner ou interdire les recours abusifs contre les permis de construire.
QatarEnergy et Chevron valident un projet pétrochimique à $6 mds
Introduction en Bourse : un tout petit cru en 2022
Ali Laïdi : «La guerre économique est désormais une guerre de l’information et nous, les Européens, ne l’avons pas compris»
Rétropédalage pour l’emballage plastique des fruits et légumes
Crédit immobilier : ce qui nous attend en 2023 !
Perspectives immobilières en France pour 2023
Copyright © 2023
Boursorama Banque, SA au capital de 51 171 597,60 € – RCS Nanterre 351 058 151 – TVA FR 69 351 058 151 – 44 rue Traversière, CS 80134, 92772 BOULOGNE BILLANCOURT CEDEX

source

Catégorisé: