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Les prix enregistrent une baisse sur un an dans certaines villes, notamment à Paris (Crédit photo: Fotolia)

Les prix enregistrent une baisse sur un an dans certaines villes, notamment à Paris (Crédit photo: Fotolia)

Les prix enregistrent une baisse sur un an dans certaines villes, notamment à Paris (Crédit photo: Fotolia)
Ces derniers mois, le marché immobilier était resté très dynamique dans les plus grandes villes françaises, enregistrant parfois des records de prix. Mais le mois de juin marque une inflexion dans cette dynamique. Selon le baromètre national de l’immobilier de MeilleursAgents, les prix enregistrent une baisse sur un an dans certaines villes, notamment à Paris où ils ont perdu 2,2 % depuis juin 2020. C’est également le cas de Bordeaux et Montpellier où ils ont chuté de 1,1 % et 1,5 % sur la même période. À Toulouse et Lyon, l’accalmie se traduit pour l’instant par une stagnation des prix. En revanche, Nantes, Strasbourg, Lille et Rennes sont toujours sur une tendance à la hausse et enregistrent une nouvelle augmentation de leurs prix de 1 % au cours du mois de juin tout comme Marseille (0,5%).
Il y a un an et demi, les prix dans la Capitale flirtaient avec les 11.000 euros / m2 et rien ne semblait pouvoir stopper leur progression. Depuis, Paris enchaîne les baisses, affichant aujourd’hui un prix moyen de à 10.297 euros / m2, soit une baisse de 0,5 % depuis le début de l’année et de – 0,3 % pour le seul mois de juin. Les prix sont tirés vers le bas par les grandes surfaces (-0,8 % depuis janvier et -3,3 % au cours des douze derniers mois), alors que les petits appartements résistent encore un peu (- 1,3 % en un an). La crise sanitaire et les confinements successifs semblent peser sur les prix des appartement familiaux. Les familles avec enfants se tournent davantage vers la proche banlieue où, à budget égal, elles peuvent acquérir un bien plus grand et surtout doté d’un extérieur.
Ainsi, selon le baromètre MeilleursAgents, dans le 11ème arrondissement les grandes surfaces n’ont perdu que 1,2 % en un an, mais elles ont chuté de 6,6 % dans le 5ème, de 4,2 % dans le 3ème, de 4 % dans le 6ème ou encore de 3,8 % dans le 7ème, 10ème et le 15ème. À l’inverse, les prix ont augmenté dans les départements de la petite et de la grande couronne : en un an, ils ont augmenté de + 4,8 % en Seine-et-Marne, de + 4,4 % dans le Val-d’Oise, de + 3,9 % dans l’Essonne, de + 3,7 % en Seine-Saint-Denis, de + 3,6 % dans le Val-de-Marne, de 3,4 % dans les Hauts-de-Seine et de + 1,4% dans les Yvelines.
L’attentisme des acheteurs semble de mise dans la majorité des onze plus grandes villes de France où MeilleursAgents observe une baisse de l’indice de tension immobilière. À Lille, par exemple, on compte désormais 11 % d’acheteurs de plus que de vendeurs contre 14 % il y a à peine un mois. Même constat à Montpellier (11 % contre 13 %) et à Lyon (10 % contre 11 %).
Cette accalmie pourrait s’expliquer par les incertitudes économiques liées à la crise sanitaire couplées dans certaines villes aux problèmes récurrents en termes de pouvoir d’achat immobilier (Lyon) et d’emploi (Montpellier).
Les interrogations sur les éventuels durcissements des conditions d’octroi de crédit, suite à la réunion du HCSF, ne semblent pas avoir d’impact à ce stade car les recommandations sont d’ores et déjà globalement bien respectées par les établissements bancaires. Il n’y a donc pas de raison pour que les banques durcissent plus leurs conditions d’accès au crédit à court terme.
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2 mois après avoir commencé une recherche d’appartement 3/4 pièces sur Strasbourg, je vois que ma sélection se complète, mais il n’y a pas de “vendus” qui sortent de la liste … Les acheteurs ne se jettent pas sur les offres, il y a clairement de l’attentisme .
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