Marseille, le 25 avril 2022.- Le Conseil d’Orientation et de Surveillance de la Caisse d’Epargne CEPAC, sous la présidence de Jean-Charles Filippini, a nommé Christine Fabresse, présidente du Directoire, avec l’agrément du Conseil de Surveillance de BPCE
 
Forte de trente-cinq ans d’expérience dans la banque, Christine Fabresse remplacera Joël Chassard à compter du 30 avril prochain. Ce dernier quittera le groupe dans le cadre des règles BPCE liées à la limite d’âge des présidents du Directoire.
Christine Fabresse débute sa carrière en 1987 à Avignon, au Crédit Lyonnais. Elle évolue au sein du Crédit Lyonnais pendant 15 ans à des fonctions de Directrice de centres d’affaires entreprises, Directrice régionale du marché des particuliers et professionnels, puis à partir de 2001, dans des fonctions de Directrice du développement des Ressources Humaines. En 2003, elle devient Directrice des politiques RH groupe et de la mobilité groupe au Crédit Agricole SA.
En 2006, elle rejoint le Comité de Direction Générale de LCL en tant que Directrice du réseau retail. C’est en 2008 qu’elle intègre le Comité Exécutif de la Caisse Nationale des Caisses d’Epargne en tant que Directrice de l’animation commerciale, avant d’être nommée en 2011 au sein du pôle Banque Commerciale et Assurance de BPCE, Directrice du développement du réseau Caisse d’Epargne.
En 2013, elle est nommée Présidente du Directoire de la Caisse d’Epargne Languedoc-Roussillon, mandat qu’elle exerce durant plus de 5 ans avant de rejoindre le Directoire de BPCE en tant que Directrice Générale en charge de la Banque de Proximité et Assurances pour les réseaux Banques Populaires et Caisses d’Epargne. Elle préside alors le CA de la Banque Palatine.
Diplômée de Montpellier Business School, Christine Fabresse, 57 ans, est née à Perpignan. Méditerranéenne d’origine et de cœur, passionnée de rugby et amatrice de tous les sports qui font vibrer le public, elle est engagée depuis de longues années en faveur de la mixité et très sensible à la transition environnementale.
 
 
 
 
A propos de la Caisse d’Epargne CEPAC
La Caisse d’Épargne CEPAC est une banque coopérative régionale, membre du Groupe BPCE, qui siège à Marseille. Elle mobilise 3 150 collaborateurs, 310 300 sociétaires, 241 agences au service de 1,5 million de clients et 13 centres d’affaires dédiés aux entreprises, aux collectivités locales, à l’économie sociale, aux organismes de logements sociaux, aux SEM et aux professionnels de l’immobilier. La Caisse
d’Epargne CEPAC participe activement au développement économique de ses territoires en proposant également une large palette de métiers spécialisés : financements structurés, capital investissement et investissement immobilier. Acteur bancaire de référence en métropole et en outre-mer, la Caisse d’Epargne CEPAC est ancrée sur un vaste territoire qui couvre treize départements et/ou collectivités territoriales : Bouches-du-Rhône, Vaucluse, Alpes-de-Haute-Provence, Hautes-Alpes, Corse, Réunion, Mayotte, Guadeloupe, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Martinique, Guyane et Saint-Pierre-et-Miquelon. Elle opère sur trois continents et 30 % de son activité s’effectue en outre-mer. Elle s’investit chaque année dans de nombreux partenariats et mécénats culturels, sportifs ou de solidarité. Avec plus de trois millions d’euros consacrés annuellement à la RSE, la CEPAC est profondément engagée dans la transformation sociétale et environnementale de ses territoires.
 

 

Christine Fabresse entourée de Guy Béart qui recevait le Prix Méditerranée (2016) avec ses filles, Eve et Emmanuelle Béart, et d’André Bonet, fondateur du Centre Méditerranéen de Littérature et des Prix Méditerranée (@EtiennePerra).


Le maire de Perpignan Louis Aliot a-t-il raison de boycotter la FNAC qui vend le jeu « Antifa » ?


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Louis Baloffi, dit « Petit-Louis », second sur notre photo (@rchives MM) à partir de la gauche.     C’était l’an passé, pour ses 100 ans, la commune lui avait rendu un bel et vibrant hommage populaire. Autochtones, artistes, saisonniers : la foule était au rendez-vous pour lui faire une exceptionnelle haie d’Honneur. Guy Llobet, maire de Collioure, Louis Baloffi, dit « Petit-Louis », Pierre Aylagas, ancien député-maire d’Argelès-sur-Mer et Michel Moly, ex-maire de Collioure et ancien 1er vice-président du Conseil général des P-O.   Il venait de souffler sa 101e bougie, le 19 septembre dernier, Louis Baloffi est décédé durant le week-end des suites d’une chute à son domicile. La nouvelle s’est vite répandue comme une trainée de poudre dans le village de Collioure, depuis l’Hostellerie des Templiers et le Café Sola, où Petit-Louis avait ses habitudes quotidiennes, jusqu’à l’ermitage de Consolation et au hameau du Rimbau sur les hauteurs de la « perle de la Côte Vermeille ». Très estimé de la population, personnage attachant, toujours sourire aux lèvres même lors de ses coups de gueule toutes voiles dehors, solidement arrimé à un comptoir, entre bâbord et tribord – coquin de sort ! -, pour les Colliourencs il était autant célèbre et précieux que leur clocher, avec son décès, c’est tout un pan de l’Histoire locale qui disparait. Il était LE Copain d’abord. Le « dernier des Mohicans » s’en est donc allé, mais son empreinte demeurera indélébile pendant longtemps, encore et encore. Grand pêcheur devant l’éternel, aucune baie ancré sur le littoral nord-catalan n’avait de secret pour lui. Il en connaissait la faune et la flore par cœur et les respectait comme le Graal. La Mer était une véritable passion pour lui et chez lui, à tel point qu’il avait transformé le rez-de-chaussée de sa maison de pêcheur, située dans le centre historique de Collioure, en atelier dans lequel il fabriquait en miniatures de légendaires barques catalanes, à voiles ou à rames, ne négligeant aucun détail face aux faibles brises de la Méditerranée mais aussi aux vents violents comme la tramontane… Une fabrication unique qui lui a valu d’être (re)connu jusque dans la littérature consacré à la Marine, à la fois capitaine au long cours et matelot s’il le fallait. Localement, aucun navigateur ne lui arrivait à la cheville, et c’est peu dire ! Louis Baloffi est parti rejoindre son ami le cinéaste Jacques Perrin, acteur et réalisateur, décédé au printemps dernier, et avec lequel il avait noué une grande et belle histoire d’amitié depuis que ce dernier, en 1961, avait planté sa caméra à Collioure pour le tournage de « Et Satan conduit le bal », produit par Roger Vadim et avec au casting Catherine Deneuve, Bernadette Lafont, Françoise Brion… A sa famille, son fils Jacques et son épouse, à ses proches, à ses nombreux et inconsolables amis, La Rédaction de Ouillade.eu adresse ses plus sincères condoléances.   L.M.   Au Café Sola, Petit-Louis avec la présidente de la Région Occitanie/ Pyrénées-Catalanes, Carole Delga, lors du réveillon de la Saint-Sylvestre, le 1er janvier 2017. Toujours au Café Sola (septembre 2021) : Guy Llobet, « Petit-Louis » et le cinéaste Jacques Perrin.
Dans un bistro, à Collioure, au comptoir, sans masque et sans tabouret…   -Franchement, dis moi, notre Premier sinistre Jean Castex, dit « Jean Casse-Tête », quand il ne sera plus « Matignonesque », qu’aura-t-il apporté à notre département, lui qui se raconte à la moindre occasion comme un bon Catalan pour se rappeler à notre bon souvenir ?… Il est quand même chef du gouvernement ! « Ben si, il nous a quand même refilé l’entretien des routes nationales en tant que contribuables à la Région. Même qu’il a demandé aux Andorrans de participer à l’addition pour l’autogestion de la Route 116 ! Qu’est-ce que tu peux être mauvaise langue ! » -Les Andorrans qui vont payer ? Tu rigoles. Tu plaisantes. Tu les connais bien, t’es toi même originaire de Cerdagne ! Si on doit espérer que les Andorrans mettent la main à la poche pour aider les Roussillonnais, alors on n’est pas sortis de l’auberge espagnole ! « Pour revenir à ta question première, Jean Castex a quand même refilé la Légion d’Honneur à Jérôme Ripoull… » -Ah qui ça ? « Jérôme Ripoull, il est Perpignanais, c’est le mari de Clotilde qui s’était présentée aux élections à Perpignan, contre Paul Alduy je crois… ». -Qui c’est celui-là ? Qu’est-ce qu’il a fait pour que le Premier ministre lui refile la Légion d’Honneur ? « Il a pris l’avion avec lui ».   (Propos recueillis par Pétole Cent-Deux)  
(A Perpignan) J’ai réussi à trouver chez l’ami Comte « Anthologie de la littérature grecque » de Troie à Byzance, un pavé de 900 pages imprimé fin, qui va de Homère aux Pères de l’Église, vingt-trois siècles de littérature, pour moins de dix euro! En allant à notre auto-laverie du village, je rencontre Jean-Pierre, l’un de nos restaurateurs qui prépare la rentrée espérée pour Pâques, qui me voit lire le tome en question durant les presque deux heures de l’opération lavage… Je ne savais pas que nos restaurateurs avaient aussi des lettres, même si le menu (hors COVID) aurait pu m’y faire penser, les quelques semaines de l’an dernier où il a pu vraiment ouvrir. C’était sa première saison chez nous, hélas pour lui… -Mais, Gérard, vous lisez le grec ? -« Oui, je l’ai étudié plusieurs années et je le lis toujours, du moins le grec ancien, et j’ai même mon diplôme pour célébrer les liturgies ». -Alors, vous savez le véritable sens du mot « agoraphobe ». -« Certes, mais je n’ai pas l’impression que c’est la même que la vôtre ! » -C’est le mot correct pour désigner les abstentionnistes aux élections ! -« Faut m’expliquer ! » -Quand les démocrates de l’époque avaient une décision importante à prendre, ils consultaient le peuple (le démos) en le convoquant à venir discuter et voter sur la place publique (l’agora). Ceux qui ne voulaient pas venir ni voter restaient chez eux, on disait qu’ils étaient agoraphobes, qu’ils ne voulaient pas de l’agora.
(Sur le front-de-mer, à Canet-plage)   -T’as vu, Aliot, Ferrand, Vila et Gauze* étaient sur le même bateau… -« Tu veux dire dans la même auto… » -C’est pareil. Ils sont montés ensemble à Lyon pour aller visiter les locaux de l’Ecole 42, parce que Gauze voudrait en implanter une à Perpignan -« Comment tu le sais ? T’en est sûr qu’ils étaient assis les quatre dans le même véhicule ? » -Ben oui, c’était pas écrit dans L’Indépendant ! -« Puisque Monsieur Je sais Tout est au courant de tout, qui conduisait la bagnole alors ? » -ça je ne sais pas. Peut-être Hermeline Malherbe ? -« La présidente socialiste du Département ? Là tu déconnes, tu te fous de moi ! Et pourquoi pas Carole Delga tant que tu y es ?! » -Oui bien sûr car avec elle ils seraient partis dans cinq bagnoles différentes, cela nous aurait coûté un bras, et avec des véhicules électriques… donc pas encore arrivés ! En tout cas pas encore signalés sur le chemin du retour… -« Tout ça ne nous dit pas pour autant qui conduisait… » -Langue au pangolin !   *Louis Aliot (RN), maire de Perpignan, Alain Ferrand (DvD), maire du Barcarès, Robert Vila (LR), maire de Saint-Estève et président de la communauté Urbaine Perpignan-Méditerranée Métropole (PMM), Laurent Gauze (DvD), élu à Rivesaltes et vice-président de la Chambre de Commerce et d’Industrie des P-O (CCI’66)  
Dos d’Âne à Port-Vendres…     (Ou quand un ancien maire rencontre un ancien maire, sur le quai Pierre Forgas, au coeur d’une polémique depuis que la municipalité a installé des coussins berlinois – pour ralentir la circulation -, sans l’autorisation du gestionnaire de la voirie) -J’ai eu vent d’un projet de jumelage de la mairie -« Ah bon ?!… » -Oui, un jumelage entre Port-Vendres et Berlin -« Personnellement, je n’en vois pas l’intérêt. Berlin n’est même pas une ville marine » -Détrompes-toi et tu as tort, car ce serait sympatoche ; on aurait ainsi des cousins berlinois ! Et là ce serait béton, aucun lézard !
Entendu à Argelès-plage, sur le marché de plein vent…   -Alors, le couvre-feu à 18h pendant quinze jours, t’en penses quoi ? -« Que je ne suis pas prêt de refaire l’apéro à un comptoir… ». -D’autant plus qu’à mon avis bars et restaurants ne rouvriront pas avant la deuxième quinzaine du mois de mars. -« Faut se résigner. De toutes façons, c’est bien connu, le Français râle toujours. Quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, à droite comme à gauche, au centre et ailleurs, les Français sont des éternels râleurs. Ils sont même parfois, souvent même, d’une mauvaise foi… ». -Tu veux dire ? -« Regarde, le Premier Ministre Casse-Tête avance de deux heures le couvre-feu à cause du COVID, passant donc de 20h à 18h, et aussitôt c’est une levée de boucliers dans toute la France, commerçants en tête… ». -Normal, on leur enlève deux heures de chiffre d’affaires ! -« Oui, ils disent même que pendant ces deux heures là ils réaliseraient 30 à 50% de leur chiffre d’affaires ! Je l’ai entendu de mes propres oreilles sur tous les plateaux télés depuis jeudi soir. Alors autant qu’ils n’ouvrent que l’après-midi, car à quoi bon se lever le matin s’ils reconnaissent eux-mêmes qu’ils n’ont presque pas de clients hors le créneau de 18-20h. Quant tu sais en plus que la plupart d’entre eux baissent le rideau à 19h… donc il réaliseraient près de la moitié de leur chiffre d’affaires quotidien en une heure, de 18h à 19h ?! C’est incompréhensible. Et les journalistes qui véhiculent ce type de propos, ça ne les interpelle pas ?… ».  
Alain Ferrand Argelès-plage Argelès-sur-Mer Baixas Banyuls-sur-Mer Barcelone Canet-en-Roussillon Carole Delga Christian Bourquin Collioure Communauté de communes Albères/ Côte Vermeille/ Illibéris COVID-19 Elne Emmanuel Macron Estagel Fernand Siré FN France François Calvet Hermeline Malherbe Jacques Cresta Jean-Marc Pujol Jean-Paul Alduy Joseph Jourda Laurent Gauze Le Barcarès Le Soler Louis Aliot Municipale 2014 Paris Perpignan Pierre Aylagas Port-Vendres PS Pyrénées-Orientales Romain Grau Saint-Cyprien Saint-Estève Saint-Génis-des-Fontaines Saint-Laurent-de-la-Salanque Sorède Ségolène Neuville Tribune Libre UMP Zoom
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